Il y a quelques temps encore un grand nombre d’enfants naissaient avec le péché originel.
Il est exact qu’il y en a de moins en moins et la solution pour effacer ce handicap réside toujours dans l’eau bénite qui efface le péché.
La solution est simple, très peu onéreuse et efficace.
Mais aujourd’hui un enfant dès sa naissance naît avec une dette de 48 000 €. La dette originelle a remplacé le péché.
De quel droit l’enfant naît-il avec un passif ? L’a-t-il demandé ? Bien évidemment que non.
Alors pour effacer cette injustice, il suffit de comprendre le particularisme alsaço-mosellan et d’appliquer une solution difficile de contestation pour résorber la dette nationale et garantir à la relève française une arrivée sans ardoise. La solution préconisée offre bien d’autres avantages.
L'article central de ce dossier publié dans les Dépêches Citoyennes traite du particularisme alsaço-mosellan et évoque dans son article détaillé n°16 que la loi commerciale du 1er juin 1924, fait du PIB alsaço-mosellan un produit en faveur du Reich allemand.
La loi civile du 1er juin 1924, quant à elle, maintient la fiscalité au profit de ce dernier.
Les deux spécificités ne semblent pas avoir été présentées de cette manière aux indigènes locaux (comprenez les Alsaciens-Lorrains compte tenu de leur statut actuel).
Aussi, il ne faut pas exclure qu’ils soient consentants à une action récursoire auprès des bénéficiaires du stratagème pour récupérer plus de 100 ans d’impôts versés au Reich allemand, puisqu’il existe toujours.
La mesure permettrait non seulement :
- de réduire le montant des impôts des citoyens (chose à ne pas négliger) et des entreprises nationales,
- d’augmenter les dotations aux collectivités territoriales et de financer de nouveaux investissements, d’éviter toutes ponctions sur les recettes, de recruter lorsque le besoin s’en fait sentir,
- de redresser les finances de la République française et obtenir ainsi une meilleure notation de la part de Standard & Poor's, Moody's et Fitch, ce qui renforcerait l’attractivité de la France. Une notation consécutive de rang AAAAA+, nouvellement créée à cette occasion n’est pas à exclure, mais aussi de garantir à nos enfants un meilleur avenir.
Le montant total des péages d’autoroutes concernant les tronçons dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle pourrait éventuellement faire l’objet d’un retour dans l’escarcelle française. L’idée n’est pas à écarter.
Enfin, pour conclure, l’État français en récupérant la masse salariale sur plus de 100 ans concernant tous les fonctionnaires d’État mis au service du Reich allemand qui existe toujours et qui sont toujours en emplois fictifs, assurerait un avenir serein pour le peuple de France.
Bien évidemment, les propos tenus dans le présent article demandent la contradiction, sans quoi il ne peut y avoir d’échanges entre élus et citoyens.
Nota Bene : La participation des parlementaires alsaço-mosellans au vote du budget 2025 nécessite une approche attentive puisque depuis plus de 100 ans ils représentent juridiquement les intérêts du Reich allemand.