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Une mère combative et courageuse : Julia, porte-parole d'On a eu not'dose

Lors de la soirée organisée le 28juin 2025, nous avons échangé avec Julia, porte-parole de l'association On a eu not' dose. Cette soirée conviviale qui réunissait des victimes, des bénévoles, les membres de l'association et de nombreuses personnes qui soutiennent l'association et les actions qu'elle mène. Chloé Sage, auteur compositeur et interprète, a donné un récital intimiste au cours duquel nous avons pu découvrir les morceaux de son nouvel album.

 

Julia a fait confiance à son médecin et s'est fait injecter en 2021.  Elle s’occupait d’enfants et n’imaginait pas ne plus travailler tant elle appréciait de s’occuper des petits ; elle y trouvait de la douceur, de la reconnaissance, de la gratitude et ces liens qu’elle tissait avec ces enfants la comblaient.

Dès les premiers symptômes, elle se dit que ce n’est pas normal et que quelque chose ne va pas. Elle décide donc d’utiliser les réseaux sociaux afin de témoigner de ses symptômes et voir si d’autres rencontrent les mêmes « effets ». Elle va alors participer à de nombreux directs avec un média sur Facebook et il va lui falloir plusieurs mois pour s’informer, trouver, apprendre et enfin comprendre l’ampleur de ces effets délétères sur la population et les innombrables mensonges propagandistes qui ont circulé et circulent encore. Elle réalise alors que les effets délétères primaires (car connus dès les premiers essais) vont bien au-delà de la péricardite… il y a des maladies de Charcot, des troubles neurologiques, des décès, et caetera.

Pour ce qui la concerne elle cumule :

- une péricardite post-vaccinale en 2021 qui n’est toujours pas guérie : douleurs thoraciques et musculaires,  fièvre, difficultés respiratoires, grande fatigue, essoufflement, toux, œdèmes ;

- une encéphalomyélite myalgique : fatigue sévère et invalidante que le repos ne soulage pas, troubles de la mémoire, troubles cognitifs, douleurs musculaires et articulaires, épuisement après un effort physique ou cognitif ;

- une spondylarthrite ankylosante : inflammation chronique  de la colonne vertébrale et des articulations du bassin avec des poussées douloureuses et un enraidissement, des pertes de mémoire, des troubles cognitifs, …

Julia est invalide à 80% à l’âge 38 ans ! Elle ne peut évidemment plus travailler mais a du mal à gérer sa vie de mère, de femme et la charge quotidienne. 

Elle est contactée par Dominique Baudinaud qui la met en contact avec Cynthia et Joël. Elle n’est plus seule mais trouve un soutien, une écoute, un partage parce que les réseaux sont riches d’échanges mais ils ne sauraient remplacer la rencontre physique avec un autre. Un autre qui vous embrasse, vous serre dans les bras, vous regarde dans les yeux, vous tient la main, vous soutient ; un autre qui reçoit vos paroles, vos pleurs, votre colère, votre désespoir, vos peurs mais aussi vos sourires, vos éclats de rire, votre engouement, votre énergie de vie. Cet autre, ces autres qui sont devenus « sa seconde famille ». En 2021, elle fut la marraine pour le tout premier Doctothon de Cécile Maïchak concernant les effets secondaires.

Julia le dit sans retenue : « elle a peur, peur de crever plusieurs fois, elle sentait son cœur battre la chamade, tel un tambour qui s’emballe, elle a vu arriver la fin de sa vie à plusieurs reprises. »

Elle va puiser dans la colère la force du combattant qui entre dans l’arène hostile de l’administratif, du judiciaire mais aussi du médical. Des déclarations à remplir encore et encore, des procédures qui demandent des expertises à n’en plus finir et des médecins qui parfois rechignent à poser un diagnostic de causalité entre une dégradation alarmante de la santé et l’injection d’un produit que tous les médias, agences de santé, médecins et exécutants garantissent comme « sûr et efficace » en s’appuyant sur une propagande assourdissante qui ne laisse aucune place aux voix qui expriment ne serait-ce que le doute ou le questionnement. 

Bien que Julia soit de plus en plus affectée physiquement, elle refuse de se taire et souhaite même s’exprimer pour être entendue par monts et par vaux dans l’espoir de « sauver des vies » en insufflant ne serait-ce qu’un doute dans l’esprit afin que ceux qui l’auront entendue se refusent à se laisser injecter.  Plusieurs anonymes des réseaux l’ont ainsi remerciée et lui ont confirmé que, grâce à ses prises de paroles, ils avaient ancré le refus en eux. À Padoue, en Italie, il n’y a pas eu de barrière de la langue et les échanges furent très émouvants, extrêmement forts et incroyablement puissants.

Porte parole de l’association On a eu not’ dose, elle propose son aide à tous ceux qui en auraient besoin notamment pour parcourir les méandres administratifs, médicaux et judiciaires, que bien malgré elle, elle connaît bien.

La procédure en justice devant le tribunal judiciaire de Paris de Julia est bien avancée, 3 ans déjà. Elle attend pour la fin juin les conclusions de Pfizer et la plaidoirie à l’automne qu’elle a hâte d’entendre dans la bouche de l’avocat de Pfizer. Que va-il bien pouvoir dire de ce produit expérimental, dont les effets délétères étaient connus dès les premiers essais mais surtout dont on savait qu’il ne protégeait ni de la transmission, ni des formes graves, ni de la maladie pour lesquels des traitements très efficaces comme l’Ivermectine ont été dissimulés et même interdits ?

 

Julia a pris la parole lors de la soirée 

 

 

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Julia Walter

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