Diplômée en médecine spécialisée, Martine Wonner, députée de la Vème République en tant que psychiatre, mène pendant plusieurs années une carrière dans le champ de la médecine publique, privée et associative.
Martine Wonner a participé à la journée de conférences du samedi 9 avril 2022 à Thionville où elle est intervenue à plusieurs reprises. Elle a échangé avec de nombreuses personnes assistant à la conférence. Proche de chacun et toujours dans une écoute attentive, elle parle avec douceur et précision mais ne fait pas dans la langue de bois. Elle témoigne avec pudeur des agressions qui lui sont faites dans l'hémicycle dans lequel elle se sent seule.
Elle réaffirme avec détermination sa préoccupation pour la souffrance psychique des enfants face au protocoles COVID.
Elle présente ensuite Frédéric Angel et Drosana Nasso (suppléante) qui sont les candidats de son mouvement, "Ensemble pour les libertés", dans les circonscriptions de Moselle pour les législatives 2022.
Elle dénonce le dysfonctionnement du Conseil d’État, du Conseil constitutionnel, du poids des lobbies. Elle déplore une France dirigée depuis mars 2020 par un Conseil de Défense. « Il faut s’engager en politique et agir. Je ne dis pas la politique politicienne, mais s’engager dans la vie, dans la Société, dans la Cité et ne pas laisser le champs vide aux politiciens corrompus ».
«Les législatives sont fondamentales car il me faut de l’aide dans l’hémicycle. Le peuple est insulté à travers moi. Le Palais Bourbon est votre maison. Ce dysfonctionnement soit cesser. Il n’y a plus de justice indépendante dans notre pays et plus de contre pouvoir car les médias mainstream ne diffusent qu’un seul message ».
« Cette succession de lois liberticides est du jamais vu en terme de restrictions de libertés. Il faut soutenir les candidats citoyens et leur apporter votre énergie pour les accompagner dans les législatives ».
"Ensemble pour les libertés" accompagne les actions en Justice par rapport aux effets indésirables vaccinaux (Bon Sens, RéinfoCovid...). « Il faut rendre la dignité au peuple, ce mot devra faire partie de la Constitution. Je n’ai pas souhaité aller à cette élection [NDLR : la récente élection présidentielle] telle qu’elle est. Nous devons choisir soit une France mondialisée, soit une France respectueuse. La démocratie doit repartir des territoires de proximité ».