5 février 2023
Reportage

Symposium : déontologie et vaccination obligatoire

Ce samedi 4 février, s'est tenu à Genval, dans la commune de Rixensart en région wallonne un symposium intitulé « déontologie et vaccination obligatoire ». Il était organisé par le conseil provincial de l'Ordre des médecins de Bruxelles et de Brabant wallon.

Plus de 500 personnes ont bravé, dès 8h du matin, le vent et la pluie pour venir exprimer leur souhait d'un débat sur le sujet de la vaccination et la gestion des effets secondaires. Dans le calme, de très nombreuses personnes tenaient des pancartes. Ils souhaitaient dénoncer la corruption des laboratoires pharmaceutiques, l'omerta sur le grand nombre de victimes d'effets secondaires et leur prise en charge, la corruption des médias complices et les conséquences sur les enfants subiront. Ils étaient également présents pour venir en soutien des personnels soignants suspendus pour ne pas avoir accepté ces injections expérimentales.

 

Symposium : déontologie et vaccination obligatoireSymposium : déontologie et vaccination obligatoire
Symposium : déontologie et vaccination obligatoireSymposium : déontologie et vaccination obligatoire

Kairos Presse était sur place et a retransmis en direct (ici).

36'25 : l'interview d'Aubry, organisateur de l'évènement, indique que Christian Melot, président du Conseil de l'ordre des médecins dénonce lui-même les conflits d'intérêts majeurs. Il rapporte que les lanceurs d'alerte ont signalé les mensonges depuis le début de la pandémie, notamment le refus de prise en charge précoce par des traitements qui fonctionnaient. Il rappelle qu'un vaccin nécessite 10 années de recul afin de pouvoir être commercialisé. Il témoigne de l'indignation de la promotion et de l'obligation d'un vaccin que l'on sait particulièrement toxique, non immunisant et n'empêchant pas la transmission. Il s'insurge contre la pression mise sur les médecins et dénonce Bill Gates et la corruption des institutions de santé. Il dénonce la censure et réclame la liberté de parole.Il rappelle que bien évidemment les médecins qui dénoncent cela ne sont pas des « anti-vax » et souligne l'ineptie d'un tel qualificatif. Il rappelle l'augmentation de mortalité chez les sportifs, les myocardites et les inflammations, l'augmentation inquiétante de la mortalité. Il rapporte aussi les signalements de Laurence Kayser, gynécologue, qui dénonce la terrible augmentation de fausses couches et l'aberration de vacciner une femme enceinte (historiquement toujours protégées de toute médication).

1h09'25 : un avocat qui ne ménage pas ses mots s'exprime sans tabou sur de nombreux points de la crise et sa gestion. Il témoigne de l'oubli du principe de « primum non nocere ». Il indique que nous sommes aujourd'hui en état de légitime défense. Il constate le crime organisé autour de ces vaccins et dénonce l'organisation de Davos. Il rappelle les versements fait aux Conseils de l'ordre à travers l'Europe et le consentement libre et éclairé qui doit être respecté pour tout acte médical et bien évidemment pour une vaccination. L'obligation vaccinale ne peut pas être légale compte tenu du « primum non nocere » et rappelle le Code de Nuremberg. Il rappelle aussi que même les nazis avaient respecté le secret médical ! Il affirme que, présentement, nous sommes dans le non-droit, la non-science et la non-médecine  : « On terrorise les médecins qui donnent des traitements et guérissent les gens. Lorsque la pseudo-pandémie est arrivée il y a eu une rupture de la continuité des soins. Il a été dit de ne pas aller chez son médecin généraliste, c'était le début de la catastrophe ».  Il parle de génocide et des trop nombreuses personnes à ne pas s'être fait avoir. « Nous en sommes à un hôpital MacDonald avec une déshumanisation totale ».

Kairos était toujours sur place à la sortie du symposium (ici).

Le docteur Alain Colignon, spécialiste en chirurgie vasculaire a déclaré que « ce qui est incroyable dans ces débats, c'est que les conclusions dans les deux camps étaient les mêmes : il n'y a aucune raison d'imposer la vaccination. L'unanimité se fait sur la non-obligation des soignants et par voie de conséquence l'obligation dans la population générale. Je le ressens de façon amère car ils ont dû attendre que ces injections expérimentales aient fait la preuve de leur inefficacité ». Ils ont reconnu qu'il y a beaucoup plus d'effets secondaires que ceux déclarés officiellement. « Nous reconnaissons que la pharmacovigilance n'a pas fait son travail. (...) Ils n'ont pas le choix aujourd'hui. On vient de marquer d'énormes points. C'est une grande victoire naturelle et évidente ». Il faut imposer un mode de déclaration des effets secondaires beaucoup plus simple. L'atmosphère décomplexée de ce lieu va leur faire réaliser que le débat est possible. Nous devrions avoir d'ici 1 mois ou 2 des possibilités de débats ouverts. Le professeur Christian Meulot, vice-président de l'Ordre national a témoigné de sa volonté à ouvrir la porte à un débat constructif.

Le Docteur Benoît Ochs espère que ce qui se passe ici en Belgique permettra d'avancer au Luxembourg et en Belgique.

29'03 : un médecin qui exerce depuis 45 semble ne pas reconnaître l'ivermectine comme traitement efficace. Lors de son interview, Benoît Ochs l'interpelle sur les décès de patients à domicile sans avoir été traités ou emmenés à l'hôpital. Il lui confirme les statistiques et le fait qu'il y a avait bien des places à l'hôpital et que ces patients auraient pu et dû être pris en charge. Il lui explique son protocole (à Luxembourg) : ne pas prendre en charge un patient sauf à ce qu'il soit ne puisse plus monter une marche et lui demande s'il trouve cela normal. Alors que ce médecin ne semble pas contester la nouvelle technologie employée (ARN), Benoît Ochs lui rappelle que l'inventeur lui-même (Robert Malone) s'oppose à ces vaccinations. La conversation s'achève, ce médecin croit en la vaccination et est lui-même vacciné. 

Interpellés à la sortie du symposium, plusieurs ne voudront pas s'exprimer devant les caméras de Kairos et Bam. Certains, cependant, ont exprimé leur satisfaction sur ces débats contradictoires et ouverts qui se sont tenus et qui ont été qualifiés de constructifs.  « Pour quelqu'un qui a fait la maladie cela n'a plus aucun sens d'être vacciné ». L'un d'eux confirme que la vaccination n'a plus de sens compte tenu de ce que l'on sait aujourd'hui. Un autre confirme qu'ils sont d'accord pour ne plus vacciner les enfants ou adolescents car les enfants en font pas de Covid sévères. Il pense toutefois que le vaccin protège les personnes plus âgées. Benoît Ochs confirme une étude à Bâle qui a trouvé 2,8% de CPK élevés ce qui induit un risque élevé de myocardites. Cependant ce gynécologue estime ces risques comme étant faibles, peu de victimes. Il persiste à penser que le vaccin protège. Benoît Ochs lui confirme que la propagande bat toujours son plein sur la vaccination des enfants. Il ne connaît que peu d'effets secondaires concernant les femmes et les troubles menstruels. Benoît Ochs lui confirme que la pharmacovigilance ne rapporte que 1% à 10% des effets secondaires. Ce gynécologue est persuadé que le vaccin a évité des morts et de la transmission. Benoît Ochs lui confirme l'effet positif de l'hydroxychloroquine a été avéré dans les études, par exemple au Japon, en Afrique. 

55'00 : le Docteur David Bouillon sort du symposium en dénonçant l'omerta. Il dénonce le fait que les personnes n'aient, volontairement, pas été prises en charge (soin de médecine générale). Il rappelle que les anticorps et D-dimères devraient être vérifiés avant vaccination. À chaque décès on devrait se poser la question de savoir si la personne décédée a reçu cette injection expérimentale. Des personnes ne savent pas que certains sont morts en raison de cette injection. À la question sur les effets secondaires au niveau gynécologique, il n'est rapporté que quelques retards de cycles malgré les morts, les fausses-couches... La médecine générale qui est au premier rang n'a pas été évoquée ici. Lorsque nos enfants auront des problèmes cardiaques et respiratoires dans l'avenir qui sera responsable ? Je ne cesserai pas le combat. Au Congo, ils ont soigné de suite et notamment les personnes âgées. Ici, ils se sont même moqués de la vitamine D. Le Dr Bouillon a réalisé des prises de sang pour tout ses patients. On ne traite pas un virus mais une maladie (thrombose, pneumonie, etc.). Je pense qu'après la vaccination du H1N1 et de la Covid il y aura autre chose. Son conseil : « fortifiez votre immunité ! sport, sommeil... ». Ce qui s'est passé aujourd'hui (le débat) aurait du se passer depuis longtemps. Le représentant de l'ordre ici refuse de dire que ces vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l'OMS a confirmé devant les caméras de RTL : « ceux qui se font vacciner sont des cobayes ». 

Un autre médecin témoigne que tout acte médical comporte des risques mais confirme que la maladie a plus d'effets secondaires que ces vaccinations. Il est d'accord avec le fait qu'un patient doit être consulté lorsqu'il est en insuffisance respiratoire. La vaccination des enfants n'est plus à l'ordre du jour. 

Il est confirmé qu'il a été difficile de parler des effets secondaires et de la prise en charge des victimes. 

1h23' : ce médecin confirme que beaucoup de médecins présents sont dans une irréalité. Ils ont cru à qui leur a été dit. Le Docteur Goldman croit que ces vaccins ont sauvé des millions de gens. Ils vont rapidement réaliser les dégâts de ces vaccins. Il est urgent d'arrêter ces injections expérimentales. Cela a été dit notamment pour les personnes en âge de procréer.

1h30' : une autre médecin témoigne des poursuites qui lui sont faites par le conseil de l'ordre. Je suis un peu sceptique sur la poursuite des débats. Il va être très difficile pour ceux qui ont prôné la vaccination d'accepter qu'ils se sont trompés et ont été trompés.

1h36' : un médecin : tous ont été d'accord pour dire qu'on ne doit pas vacciner les moins de 25 ans. c'est un grand pas. Il a demandé combien de patients auraient été sauvés s'ils avaient été soignésComment faire confiance à un système qui prône l'obligation vaccinale des soignants tout en favorisant la censure et en exerçant une chasse aux sorcières des médecins qui soignent ? Beaucoup d'enfants ont été victimes de l'instrumentalisation de la peur. Je me méfie des mea culpa car une technique de la CIA consiste à reconnaître certains faits pour en occulter d'autres. Il ne faut surtout pas que cela se reproduise. Pour le H1N1 ils avaient moins la presse de leur côté, on a oublié le passe du H1N1. Les débats sont interdits, les gens sons menacés. il faut mettre un stop. Il y a un déni des victimes. Petit à petit avec le regroupement des témoignages, ils devront faire face à la réalité.

1h51' : Laurence Kayser : « j'ai eu mal au ventre et des nausées à entendre ce qui s'est dit. On a bien entendu qu'ils sont prêts pour la prochaine pandémie ». Nous avons eu droit à une belle propagande et un avertissement sur les prochaines pandémies. Le dernier intervenant nous a promis une catastrophe en Chine. Rien sur les effets secondaires féminin ! Je suis gynécologue je n'ai jamais rien vu de tel. On peut au minimum se poser la question sur ces fausses couches. Le collectif « Où est mon cycle » avec lequel je collabore, a 10 000 témoignages de femmes qui ont des problèmes gynécologiques. Ils n'ont parlé ici que de quelques jours de retard de règles. C'est un mensonge c'est un scandale ! J'ai chanté pour attirer l'attention et j'ai parlé de l'avenir... que donneront ces injections sur les enfants, les femmes, dans 10 ans ? Comment peut-on prétendre les avoir sauvé d'une forme grave d'une maladie quand on ne peut pas dire les avoir tuer d'un cancer, d'une AVC ou les rendre stériles ? C'est horrible. je suis émue, choquée... Oui ce débat était pas mal mais nettement insuffisant et je reste dans les douloureuses convictions que l'on a pas fini d'en voir de toutes les couleurs. Protégeons nos enfants, demain les vaccins pédiatriques contiendront des ARN messager. C'est un mensonge de dire que l'on sait.

 

Un grand merci à Kairos pour ce reportage et leur présence tout au long de la journée. Penser à soutenir ce média indépendant dont les actions sont vitales pour nos libertés.

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BAM : témoignages de Lucy et Pierre (3 min) : deux manifestants qui ont des effets indésirables invalidants depuis 16 mois. Le diagnostic est enfin tombé pour Lucy : une mauvaise irrigation du cerveau qui entraîne des problèmes neurologiques. "on a failli m'envoyer en psychiatrie pour un problème vasculaire" ... 

 


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