Virginie témoigne en mémoire de son frère
Virginie a participé à la soirée organisée par l'association On a eu not' dose le 28 juin 2025. Une soirée conviviale qui réunissait des victimes, des bénévoles, les membres de l'association et de nombreuses personnes qui soutiennent l'association et les actions qu'elle mène. Virginie témoigne ce soir-là pour la première fois, avec dignité, émotions, calme et avec des paroles réfléchies qui reprennent ses recherches, ses questionnements sur plusieurs mois. Si le témoignage est important, il est difficile pour ne pas dire douloureux. S'il vise essentiellement à alerter pour le bien de ceux qui l'écouteront, il permet également d'activer une qualité fondamentale de l'être humain : l'empathie, sans laquelle nous ne pouvons faire société. Merci Virginie.
Virginie a décidé de témoigner en mémoire de son frère et de tous ceux pour lesquels ces injections furent fatales. Ce frère âgé de 47 ans fut injecté en « vaccinodrome » en juin et juillet 2021. Il est décédé brutalement en octobre, dans son sommeil sans qu’il n’y ait eu aucun symptôme pouvant laisser présager un quelconque souci de santé.
L’autopsie réalisée atteste qu’il ne souffrait d’aucune maladie chronique ; il a « agonisé » seul, dans la nuit, asphyxié par un œdème pulmonaire massif, conjugué à une congestion multiviscérale et un trouble du rythme cardiaque dont la cause n’est pas connue. Cependant, et malgré le fait que l’autopsie évoque, éventuellement, un décès d’origine toxique, aucun surdosage aigu en médicament possiblement combiné à la prise de boissons alcoolisées, n’a été décelé. La conclusion posée est celle d’une mort naturelle par accident aigu cardiovasculaire ! Aucune mention n’est faite quant à ces injections anti-Covid-19. Il s’agit pourtant d’un élément qui aurait dû être relevé puisque à défaut de la mise en évidence d’une autre cause, le lien de causalité avec l’injection doit être suspecté comme le rappelle le Dr Amine Umlil dans son livre L’impossible consentement :
« L'ANSM a fixé une méthode d'analyse consistant à ne prendre en compte que les cas où le rôle du vaccin est confirmé ou suspecté, c'est-à-dire quand aucune autre cause certaine n'a été mise en évidence. Cette méthode n'a pas été respectée puisque des décès ont été écartés (44,4%) alors qu'aucune autre cause n'avait été déterminée, ils étaient qualifiés de « cause inconnue ». Par ailleurs, seuls les moins de 50 ans ont fait l'objet d'une analyse approfondie, soit 36 décès sur les 907 cas de décès tandis que le rapport relève 7052 effets indésirables jugés médicalement significatifs. La démission d'un membre du Comité scientifique permanent de pharmacovigilance de l'ANSM a été motivée pour cette raison : le refus de l'ANSM d'inclure les décès pour lesquels aucune autre cause certaine n'a été mise en évidence ne permet pas de protéger efficacement les français des effets indésirables. Même un décès survenant dans les 2 heures après la vaccination sur un patient n'est pas retenu. Il y a inversion de la charge de la preuve, puisque ce n'est pas aux familles d'établir le lien de causalité mais aux experts d'apporter la preuve qui permet d'exclure le lien de causalité. »
Virginie rappelle que le PGR (plan de gestion des risques) de Pfizer du 25 décembre 2020 indiquait qu’il manquait des informations quant à la tolérance à long terme.
Les informations publiées par l’ANSM concernant les troubles du rythme cardiaque furent signalées par Pfizer même, mais ne constituent, pour l’ANSM, qu’un signal « potentiel » qui se trouve être sous surveillance par l’ANSM depuis 2021. En juin 2023, la pharmacovigilance de Pfizer répondait à Virginie qu’une surveillance supplémentaire était activée afin d’identifier rapidement de nouvelles informations relatives à la sécurité du produit. En mars 2025, suite à sa déclaration à la pharmacovigilance, elle a eu confirmation que le lien d’imputabilité au vaccin a été classé comme SUSPECT, selon la grille de l’OMS. En juin 2025, ce signal n’a toujours pas été validé par les « experts européens ». Mais qui sont-ils ?
Virginie exhorte chacun de nous au respect du principe de précaution, et à la nécessité du consentement libre et éclairé dans le choix d’un traitement médical afin que de telles choses ne puissent plus jamais se reproduire.
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