Cher Atout Cœur a renouvelé en ce 1er février, ses Rencontres Citoyennes Internationales dont le succès de 2024 a été plus que grandement dépassé en 2025. Ce sont 53 collectifs et associations qui s’y sont retrouvés, quelques 180 participants et 600 visiteurs, soit plus du double par rapport aux rencontres de 2024. L’équipe de Cher Atout Cœur fut la première surprise d’un tel engouement et il leur a fallu, avec l’aide de plus de 70 bénévoles, assurer l’organisation de ces rencontres qui s’est préparée sur plus de 3 mois. Ils auront servi 180 repas le vendredi soir, 215 le samedi midi, 180 le samedi soir, auront permis le logement de quelques 70 personnes, accueillies généreusement par des habitants de la région. Inutile de dire que ce fut un véritable défi qu’ils n’ont pu relever qu’au prix d’innombrables heures à planifier l’organisation, à échanger avec les participants, à modifier leurs plans afin de faire face aux nombreux participants… En bref, un véritable tour de force, unanimement salué et digne de véritables professionnels de l’évènementiel. Toutes les régions de France y étaient représentées mais également l’Irlande, l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, l’Autriche, l’Espagne et l’Angleterre !
Les objectifs de Cher Atout Cœur étaient globalement les mêmes que l’an dernier concernant les victimes : les soutenir de manière pratique dans les démarches juridiques, leur venir en aide moralement et sur un plan thérapeutique, permettre l’information, la sensibilisation concernant les pathologies liées au Covid long et aux effets non pas indésirables ou secondaires mais bien « primaires », c’est-à-dire attendus et connus des injections expérimentales. Mais aussi donner l’opportunité de la mise en liens des collectifs, associations, victimes, médecins, avocats, thérapeutes et auteurs. Quatre ans après la crise Covid, trop nombreuses sont les souffrances, les errances médicales et l’isolement des victimes.
Les bénévoles de Cher Atout Cœur ont réalisé, cette année, une bien plus ample diffusion de l’information concernant ces rencontres que l’an dernier. Ils ont participé à des émissions en amont et plusieurs médias ont participé aux rencontres : Nicolas Bouvier, Nexus, Le média en 442, Thérèse Live Média, Dosumani, Louis Fouché, La chaîne citoyenne, Le reporter citoyen belge, TV ADP…
À peine ces rencontres terminées, ils recevaient déjà une multitude de courriels de félicitations, de remerciements, de témoignages de gratitude et également quelques conseils concernant des points à améliorer en toute bienveillance. Les visiteurs aussi se sont manifestés, ce qui est notable car ce ne fut pas le cas l’an dernier.
Si quelques difficultés avaient été rencontrées l’an passé avec la ville de Vierzon, ce ne fut pas le cas cette année. Le relationnel avec la ville fut excellent et il fut même permis de poser dans la ville des panneaux pour flécher la journée de rencontres.
Le bilan financier est à venir, l'article sera mis à jour.
Rermerciements :
À Thérèse Live média, qui est venue du Luxembourg pour filmer en direct les conférences qui se déroulaient dans l’auditorium 1, vous pouvez les retrouver ci-dessous (décrites et minutées). Retrouvez Thérèse sur facebook, TikTok et Telegram.
À Andreas et Clotilde pour leur aide dans la rédaction de cet article, aux personnes qui ont filmé ces conférences et tables rondes que vous retrouverez sur la chaîne de CherAtoutCoeur.
À tous les bénévoles qui ont donné de leur temps et de leur énergie pour faire de ces Rencontres Citoyennes Internationales, un événement marquant et incontournable.
Les 27 interviews réalisées par les Dépêches Citoyennes ont fait l'objet d'un autre article : ICI. Vous y retrouvez des témoignages poignants de victimes, d'avocats, de soignants et de collectifs et association.
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Le témoignage de Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste, qui plaide en faveur de la liberté de prescription du médecin, du libre arbitre, de l’indépendance du danger de l’Intelligence Artificielle dans tous les domaines. Il reprend les différentes procédures devant l’Ordre des Médecins, conciliation, procédure plénière, chambre disciplinaire. Il revient sur les griefs faits au médecins concernant le masque ou les doutes relatifs aux injections, mais aussi ces délations de patients. Le médecin projette les réponses qu’il a faites à l’Ordre. Il rappelle notamment ce qu’est un consentement libre et éclairé. [Marc Montagnier, avocat, dans son interview en aparté confirme qu’aucun de ses clients n’a reçu les informations permettant ce consentement mais également, lui-même, lorsqu’il est « parti » à la recherche de la délivrance de ces informations. La seule chose qui lui ait été dite, et après avoir répété sa question maintes fois, fut les potentiels maux de tête !]
Le Dr Jean-Jacques Coulon affiche une réponse de l’Ordre : « la liberté d’opinion d’un médecin n’est pas absolue et ne saurait permettre de faire entrave par des propos outranciers à la politique menée par les autorités pour poursuivre l’objectif de protection de la santé publique, en particulier de la vaccination Covid19 ». Il revient sur la modification des définitions d’épidémie et pandémie.
16min : Léo Dubois présente son livre « Plus jamais ça » (interview en aparté). Étudiant, il est l’auteur de ce livre qui est un réquisitoire contre la gestion calamiteuse de cette pseudo-crise sanitaire ; il offre une analyse globale des chiffres officiels de l'épidémie et un retour sur un épisode inédit dans l'histoire de l'humanité. À partir de ce constat, il tente d’en comprendre les raisons : corruption, influences et le rôle des médias. Il évoque également des pistes quant à l'origine du virus et les exercices de simulation de pandémie et ce à quoi s'attendre pour l'après-Covid ?Un livre qui reprend plus de 750 références scientifiques.
21min Le Dr Jean-Jacques Coulon et Léo Dubois reviennent sur les tests, le réseau sentinelles et le réseau Publique France et leur comptabilisation et fait état de la différence entre les courbes de tests positifs et celles des réels malades. Ils rappellent le décret Rivotril, produit administré aux personnes malades et en insuffisance respiratoire alors qu’il est, dans ce cas totalement contre-indiqué. Les statistiques établissent le lien entre les prescriptions de Rivotril et le nombre de morts. Ils exposent les hospitalisations, le nombre de lits disponibles, et les conséquences du manque de prise en charge.
40 min : Doliprane et à la maison. Pouvions-nous faire autrement ? …Ivermectine, azithromycine … ?
48 min : Le Dr Jean-Jacques Coulon aborde le Covid long, les symptômes, et insiste sur le traitement possible notamment avec l’Ivermectine. Il témoigne de la grande souffrance des malades à qui l’on demande de « faire avec ». Cette pathologie concerne 2 à 2 millions et demi de patients.
53min : quelques questions du public.
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2min Le Dr Frédéric Goaréguer, pédopsychiatre fait état de sa procédure en appel et de sa suspension. Les enfants n’ont pas été protégés et ont traversé une crise sans précédent durant laquelle ils ont été maltraités. Il met en évidence l’explosion des taux de suicides. Il expose la souffrance pour les jeunes de la distanciation sociale, véritables maltraitances tout à fait inutiles et délétères. Les conséquences sont un massif décrochage scolaire qui a pratiquement doublé. Il mentionne les injections massives et « sauvages » des enfants et confirme les chiffres établis par Pierre Chaillot qui atteste de nombreuses victimes. L’école s’immisce de manière perverse dans l’intimité des enfants avec des séquelles potentiellement graves à long terme. « Nous devons tous réparer et modifier le paradigme sociétal pour permettre à nos enfants de croire à nouveau en nous. »
11min Léo Dubois reprend les études sur les masques set leur toxicité mais aussi les vaccins Covid dans leur processus d’évaluation et de fabrication incluant les dangers de l’ARN, de la spike et de l’ADN bactérien.
17min 50 Hélène Banoun en visio expose la similitude des symptômes du Covid long et des effets de la vaccination.
23min Léo Dubois expose la diversité des effets indésirables des vaccins Covid : troubles cutanés, hématologiques, neurologiques, cycles menstruels, troubles immunitaires et cardiovasculaires. « Conclusion : vaccins Covid 19 vers le plus grand scandale sanitaire mondial ? »
27min Le Dr Jean-Jacques Coulon reprend la parole pour quelques exemples dans sa clinique.
32 min : Solidekla présente ses aides pour la déclaration des effets secondaires.
46 min : le Syndicat Liberté Santé
1H07 : Le Dr Éric Menat revient sur la liberté de prescription, les conflits d’intérêts et confirme que personne ne pourra dire « On ne savait pas » puisque les chiffres étaient connus. L’avenir ? que faire demain ? L’Evidence Based Medecine n’est pas ce que veut nous imposer la doxa française ; 3 notions identiques : la science sur laquelle l’art de la médecine se base – (on nous a imposé le doliprane alors qu’aucune étude au monde ne prouve que non seulement il est efficace mais que de surcroît il n’est pas dangereux avec cette pathologie) – l’expérience du praticien - les circonstances particulières du malade et aussi sa volonté) –
1h21 : un reportage sur la censure européenne version Van der Leyen et des rappels de ce que certains ont pu dire sur les plateaux télé.
1h26 Laurent Mucchielli pour un hommage au Professeur Luc Montagnier. Il expose les systèmes de croyance auxquels le citoyen doit adhérer sous peine d’être stigmatisé. Ce sont des religions d’État.
1h35 prise de parole du secrétaire général de Debout la France. Très ému par tout ce qu’il a entendu.
1h45 Hommage au Professeur Luc Montagnier et puis Corinne Lalo rend hommage à Michèle Rivasi, décédée d’une dissection aortique qui fait partie des effets secondaires du vaccin Pfizer dont elle avait reçu 2 doses.
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Cécile Maïchak de Dosumani explique que les victimes s’épuisent à essayer de se faire entendre. (son interview en aparté). Elle a donc eu l’idée de mettre en place un parrainage, un lien du cœur, « La Grande Famille » qui permet à une personnalité publique de faire connaissance avec sa ou son filleul(le), de rester en contact et de suivre son parcours difficile pour en témoigner publiquement. Sur 17 appels qu’elle a passés, 15 personnalités ont immédiatement accepté le parrainage.
7min SOS écoute effets indésirables. Marisa présente cette nouvelle plateforme téléphonique d’écoute empathique qui vient en soutien moral et psychologique aux victimes. Des conseils peuvent être apportés. Elle annonce également la mise en place du réseau des « sentinelles du cœur » vise à organiser des visites chez les personnes isolées. Si vous souhaitez participer, n’hésitez pas à contacter l’association.
Si vous souhaitez faire un don : https://www.helloasso.com/associations/echo-sentinelle/formulaires/1
11min 23 Frédéric Goaréguer, pédopsychiatre, intervient pour parler des enfants. L’enseignement est en péril, il y a perte de sens, compétition, changement des programmes éducation autoritarisme, anxiété et perte du lien social. Il y a eu culpabilisation et maltraitance avec les mesures sanitaires, du stress post-traumatique, des dépressions, des psychoses, etc… L’EVRAS (Belgique) ou EVARS en France est un programme fait d’effractions psychiques. La question avait été posée à Caroline Désir, ministre de l’Éducation en Belgique : « en quoi la pornographie présentée aux enfants peut-elle être utile ? ». Elle n’a jamais pu répondre.
23min Brigitte Gevaudan, orthophoniste du Conseil National des Orthophonistes de France expose la maltraitance faite aux enfants avec le masque. Des effets terriblement délétères avec des enfants qui ne pouvaient plus trouver de réconfort ni affectif, ni émotif, ni physique. La perte de capacités cognitives est effrayante. Elle évoque aussi le TOC lié au gel hydoalcoolique.
33min Stéphanie Dussurgey, enseignante, passionnée du développement de l’enfant, de sa curiosité et de son équilibre psychique et émotionnel mais aussi des adolescents aux émotions exacerbées. Elle fut le bureau des pleurs face aux pressions au sein de la famille, à l’école, avec les autres enseignants, à la radio. La parole ne fut jamais donnée aux enfants ou adolescents. Ils ont subi des menaces, des injonctions permanentes. Ils ont ressenti beaucoup de colère, d’émotions négatives voire des crises de panique et se sont sentis totalement impuissants dans la crise.
45min Léo Dubois, étudiant et auteur de « Plus jamais ça » raconte son expérience en tant qu’étudiant, les coercitions, les réactions face à ceux qui essayaient de désobéir ne serait ce que pour respirer, les dénonciations pour un masque légèrement soulevé par un enseignant, un CPE, un étudiant. Il fut jugé insolent car il posait des questions et fut effaré de l’obéissance de ses camarades. Il parvint tout de même à en faire réfléchir certains.
53 min Vincent Pavan parle de la résistance universitaire et des dissonances et contradictions imposées aux enfants.
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Témoignage en visio d’un pharmacien, en voyage d’études en Chine. L’IA dans le cadre de la médecine. Elle a des avantages pour les diagnostics mais se base sur des normes. Être hors norme ne veut pas dire être malade. L’IA amène au protocole et n’est pas concluante. 2 grands problèmes : la corruption et le remplacement du professeur par l’évidence base médecine. Nous avons pu voir comme la corruption s’épanouissait au sein des comités d’experts. Contrôler des milliers de médecins est compliqué mais contrôler un comité est beaucoup plus simple. Des médicaments ont été validés par des experts alors qu’ils ne l’auraient jamais été par des médecins de terrain. La corruption de l‘IA est la porte ouverte à tous les abus. Ainsi, nous avons pu voir comment l’IA peut falsifier l’histoire en en effaçant des parties.
12min : Maël Camerlynck. L’IA est un modèle implanté, on a pu voir la stupidité des modélisations présentées durant la crise Covid. L’IA n’a pas vocation à remplacer l’humain. Une start-up israélienne propose des décisions pour quelques centimes. Mais si l’IA se trompe, qui sera responsable ? Quid du respect RGPD des données ? Il peut y avoir des portes dérobées ouvrant une brèche dans la sécurité des données ; données qui partent aux USA et sont utilisées par les compagnies d’assurance.
19min Florence, radiologue parle de la pénurie de radiologues, de la dégradation de la qualité des soins. L’IA nous aide déjà à réaliser un diagnostic, à rédiger un compte-rendu, à détecter une erreur, à prioriser mais on sent qu’in fine il y a l’idée de remplacer le médecin. On ne voit dans le formatage des nouveaux médecins, qui appliquent des protocoles et consultent en visio et ne souhaitent plus voir les patients. On sait aussi que les investisseurs visent la réduction des coûts. Elle déplore la déshumanisation et la baisse de la qualité des soins.
25min : l’IA ce sont des couches d’algorithmes, l’IA peut faire des erreurs. Et puis si l’IA fait on ne saura plus faire nous-mêmes. L’IA est vendue à tous les médecins en formation, les étudiants adorent apprendre avec l’IA et donc ils n’apprennent plus, ne réfléchissent plus.
30min Astrid Stuckelberger conteste toute la chaîne de l’IA dans son ensemble. Les PCR n’ont jamais été validés, ils ont été déployés sans aucun sens et font partie de cette chaîne. Me Virginie de Araújo-Recchia a confirmé la violation du consentement, la maltraitance, l’atteinte à l’intégrité physique. Personne n’a validé cette technologie. De technologie non validée en technologie non validée on en arrive aux statistiques aberrantes de Véran et à la modification des taux de mortalité. Cette technologie a permis la mise en place en même temps de mesures identiques dans le monde entier. L’IA n’est pas intelligente et dépend de celui qui programme l’algorithme. Les normes peuvent être changées et amener à décider qu’une personne est malade ; le protocole programme la pensée humaine ! Le médecin a l’expérience du corps humain, des choses simples qui ont disparu (regarder la langue, prendre la fièvre, observer les selles…). L’IA efface les documents, et il n’y a pas de juridiction des données de big data. Qui est responsable de ces mensonges ? Les patients consentent-ils à l’IA dans le cadre de sa relation avec son médecin ?
L’IA est dangereuse car elle dirige la télémédecine, le système de santé, l’armée. L’IA se nourrit des données mais peut modifier les réponses. Les données sont volées à des fins délictuelles ou commerciales
48min Flore Lelache explique la rencontre médecin/patient, l’écoute, la liberté de prescription, le consentement. La bascule est venue en 2010 avec le H1N1, il y a eu pressions sur les médecins, protocoles, procédures…histoire très bien racontée par Nicole Delépine. Pourquoi les administratifs dirigent les médecins ? Petit à petit, nous cesserons de réfléchir. L’obligation de réparer établie par le Code Civil s’adressera à qui ? au programme de l’IA ? Le médecin est soumis au secret professionnel mais quid de l’IA ? La patient a-t-il le choix ? Le patient consent-il ? donne-t-il son autorisation ? et est-il en état de le faire (faiblesse, vulnérabilité). S’il refuse, sera-t-il signalé ?
55min Maël Camerlynck confirme qu’il y a des possibilités qui apportent des solutions comme des logiciels à installer.
1h01 IA dans la société Flore Lelache cite « Ce que ce maître a de plus que vous, ce sont les moyens que vous lui fournissez » Discours de la servitude volontaire. Les RGPD indiquent que ce droit fondamental n’est pas absolu. Le Conseil d’État considère que peut être prioritaire la protection de la population. Elle parle des paradoxes en droit concernant la surveillance, la vidéo protection », le fichage, la géolocalisation. Il y a atteinte au respect du Code Civil « respect de la vie privée ». Nous devons agir nous-mêmes.
L’IA peut copier notre identité virtuelle, nous met en danger de devenir un numéro, elle peut même copier une voix. Il y a beaucoup de vides juridiques, les lois sont faites depuis longtemps par ceux qui ont le pouvoir. Les recours sont très chers, les tribunaux sont tenus par un réseau de l’ombre (FM).
L’IA est à regarder comme un outil, avec bon sens, intelligence, méfiance et discernement. N’attendez pas de l’État qu’il vous protège, l’intelligence est humaine.
1h11 Vincent Pavan parle du flou de la sémantique dans le droit et dans les démonstrations. C’est le raisonner faux qui domine, dans l’écriture, dans le langage, dans les règles de calcul, les symboliques.
1h19 François Dubois, ancien gendarme officier de police judiciaire. Il expose l’impact de l’IA sur le modèle de société. L’impact n’est pas encore perçu alors qu’il est colossal et est présent dans notre vie de tous les jours. Une véritable dystopie afin que l’homme soit remplacé par l’IA. Il rappelle que l’investissement Stargate dans l’IA représente 500 milliards de dollars. L’IA consomme en énergie l’équivalent de la consommation énergétique du Danemark. Les enjeux géopolitiques sont majeurs. L’IA est un outil mais aussi une arme, mais pour quel modèle de société ? Le problème sociétal se trouve dans le fondement même de la société. Ce sont les structures économiques et matérielles qui déterminent les institutions. La vision est totalement matérielle vise la compétition dans un monde de marchandisation. Des professions disparaitront vers la dystopie, monde dans lequel il restera des alphas et des esclaves, un monde transhumaniste. Lorsque l’argent sera maîtrisé par l’IA, nous en arriverons à protéger nos bourreaux.
1h30 Maël Camerlynck : Il y a, en France, une fuite des cerveaux. (son interview en aparté) L’IA et la nutrition, elle détectera ce que vous mangez grâce à une photo, mais jamais l’IA ne remplacera le nutritionniste. Chat GPT devient Dieu pour certains. L’IA dans l’agriculture contrôle l’hygrométrie et les maladies.. L’IA ce sont des algorithmes, le système ne réfléchit pas, il calcule.
1h36 Christophe Tricart présente sa bande dessinée sur l’IA, les pressions qu’il a subies et les refus d’édition car non politiquement correcte. (son interview en aparté). Il a donc lancé une campagne participative. L’IA ne peut pas remplacer la culture car rapidement tous les livres, les photos et les films se ressembleront puisque l’IA est un perroquet. L’Art et la culture sont uniques, avec une émotion, une sensibilité particulière et irremplaçable. Elle est, par ailleurs, un véritable gouffre énergétique.
1h47: Le Conseil d’État estime qu’il n’y a pas de souci à transférer l’ensemble des données de santé aux USA et sous-traitées à l’étranger.
IA santé cadre légal, zone de non droit avec l’aspiration des données
Big Data + IA + 5G mènent à la société de surveillance. Ensemble, ils vont siphonner les datas. Cette infrastructure mène à une société de surveillance en allant dans nos données les plus intimes. Nous devons agir pour mettre un terme à cette folie.
1h53 Réponses : Flore Lelache : nous devons commencer par nous-mêmes. François Dubois rappelle que dans le modèle chinois, le rapport à la liberté est différent. Il y a des algorithmes qui cherchent à détecter si quelqu’un est potentiellement criminel. Le WEF est une technostructure politique et financière dirigée par de grandes entreprises. Il y a régression du droit naturel (transcendance de l’homme) au profit du droit positif. L’Europe est au sein d’un problème géopolitique majeur. Elle est vassalisée par les USA et se met en danger en sous traitant l’IA aux USA. L’ingénierie sociale génère un narratif nécessaire aux objectifs à atteindre, la solution est l’autonomie d’un peuple qui choisit pour lui. Maël Camerlynck : l’IA peut se gérer en local, tous les systèmes d’information ont un équivalent français.
2h00 Q° dans le public : On notera que l’IA est utilisée pour la météo, ce qui est la preuve qu’elle n’est pas sûre. L’attention des jeunes est passée de 21min à 7 min, les éducateurs le voient sur le cerveau des jeunes. Les serveurs de l’IA pompent dans les nappes phréatiques des millions de m3 d’eau. Google gagne plus de 60 millions par jour. Les USA ont racheté nos brevets sur les centrales nucléaires.
Pourrait-on utiliser l’IA à notre profit et renverser la perspective ? Le cœur humain est intelligent, la crise est philosophique, nous devons sortir du projet économique. La spiritualité face à la déliquescence de la morale, face à l’inversion des valeurs, face à l’attaque du vivant en faveur du mortifère, du transhumanisme indissociable de l’IA. La recherche est celle de l’immortalité, du malthusianisme. Il faut revenir à l’essentiel, la morale et l’humain. Gardons l’espoir, aucune dictature n’a jamais résisté.
TEMOIGNAGES DES VICTIMES FRANÇAISES / https://crowdbunker.com/v/XDc5jfWdBF
Merci à Andreas pour la résumé de ces témoignages :
Julia fait partie du grand nombre de victimes graves. Elle a contracté une péricardite chronique et souffre d’une fibromyalgie et d’une encéphalomyélite myalgique. Julia qui est également affectée de troubles cognitifs a dû arrêter son travail. Elle a engagé en février 2022 une expertise auprès du tribunal judiciaire de Paris pour établir le lien de cause à effet de l’injection Pfizer et les nombreuses maladies qui en découlent. La procédure suit son cours. Elle appelle tous les citoyens qui remarquent des anomalies et des troubles après les injections à faire une déclaration des effets indésirables à SOLIDEKLA. Cette association a été créée en mars 2023 par des soignants issus du Syndicat Liberté santé, de Réinfo Covid et d’autres collectifs locaux.
La mission principale de Solidekla est l’aide à la déclaration à la pharmacovigilance des effets et événements indésirables survenus suite à l’injection des vaccins anti-COVID 19.
Sonia a présenté sa nièce, Sofia, qui est décédée en septembre 2021 seulement dix jours après l’injection Pfizer à l’âge de 17 ans. L’Éducation Nationale et les enseignants ont contraint Sofia à se faire vacciner pour faire valider ses stages car elle voulait devenir puéricultrice. La maman de Sofia culpabilise énormément car elle l’a amenée au vaccinodrome mais de toute façon Sofia pouvait à 17 ans décider toute seule pour se faire injecter et elle voulait coûte que coûte poursuivre son rêve professionnel. La famille a porté plainte mais le Procureur voulait fermer le dossier. C’est pourquoi, la famille a dû payer une caution afin de porter plainte contre X pour empoisonnement. En octobre 2024, un expert est nommé et l’affaire suit son cours. Sofia, une fille en pleine forme sans aucun problème de santé est décédée d’un malaise cardiaque quelques jours après l’injection.
Même Pfizer et l’Agence Européenne du médicament reconnaissent des problèmes de thromboses comme effets secondaires. Pourquoi continuer un traitement à haut risque et ne pas déclarer immédiatement un MORATOIRE pour réfléchir ?
Alain, papa de Mélanie, raconte la douloureuse histoire de sa fille atteinte de la maladie de Charcot après deux injections Pfizer. La neurologue dit à Mélanie le 7 novembre 2022 lorsque le verdict brutal tombe que la maladie de Charcot tombe du ciel, ce n’est pas dû au « vaccin » mais il faudrait quand même faire une déclaration à la pharmacovigilance. Il annonce à la famille brutalement que le pronostic vital de Mélanie est engagé et qu’il ne lui reste plus que 3 à 5 ans à vivre. Mélanie est traitée de « complotiste sataniste » lorsqu’elle évoque un lien avec l‘injection. Avant, Mélanie était une fille dynamique et toujours souriante. Maintenant, elle ne peut plus rien faire. C’est un coup très dur pour le moral à côté des douleurs et des souffrances physiques. Mélanie est comme un bébé de 6 mois à qui il faut tout faire. Malheureusement, le traitement « Himalaya » qui semblait être bénéfique pour Mélanie a dû être interrompu car d’autres patients subissaient des effets secondaires de ce médicament en phase test. Le pharmacien de Moulins qui a administré la première injection à Mélanie reconnaît qu’il a fait une grosse erreur et a fait une dépression de 6 mois. Mélanie se bat pour la justice. Elle a transmis son dossier médical à la pharmacovigilance et le retour fin 2024 illustre une imputabilité au vaccin. Maintenant, l’ANSM doit prendre contact avec Mélanie. C’est le deuxième cas de maladie de Charcot dont l’imputabilité est reliée au vaccin.
Macha était préparatrice en pharmacie. Aujourd’hui elle se sent trahie. Avant Mache était une jeune femme pleine d’énergie, elle faisait des semi-marathons, des sorties de trail de 2h, faisait de la natation et du vélo. Aujourd’hui, après 3 injections Pfizer Macha a perdu 22 kg, elle est atteinte d’une maladie neurologique incurable. Elle a des tremblements comme si elle « avait été écrasée par un camion ». Elle marche avec des béquilles en raison des paralysies des membres inférieures. Elle tombe dans la rue ou devant ses enfants. Elle souffre en permanence et parfois elle ne peut plus rien manger. Son système immunitaire est « flingué ». Son bilan médical témoigne de 5 pages d’effets indésirables et parfois elle hurle de douleur. Sa vie est devenue tellement une souffrance qu’elle avait envie d’en finir ! Macha explique que toute la famille souffre puisqu’ elle se sent abandonnée. Mais elle rajoute que des médecins, des petits colibris autour d’elle l’aident et elle se bat pour la justice. Pourtant, l’indemnisation et la reconnaissance officielle pour Macha tardent sans explication.
Aline témoigne du décès de son fils Alexandre. Il était en pleine forme, ne buvait pas ne fumait pas. Il voulait simplement vivre sa jeunesse et aller au restaurant avec les copains. Une semaine après l’injection, il a eu des symptômes énormes et a fait un arrêt cardiaque. Les résultats de l’autopsie ne sont toujours pas connus. Aline explique que les vaccins ont fait beaucoup trop de dégâts et elle aimerait que la tête des assassins soient affichées.
Britta de Vienne de « impfopfer.info » explique qu’il y avait 5 confinements en Autiche et un confinement dur uniquement pour les non-vaccinés. Le pass sanitaire en Autriche prévoyait des mesures strictes d’accès : soit 2G, vacciné ou rétabli ou 3G, vacciné, rétabli ou testé. Le gouvernement autrichien a dépensé 175 milliards d’euros pour les mesures « sanitaires » et la dette publique a atteint un record de 400 milliards d’euros. Les effets secondaires ne sont pas reconnus et on envoie les victimes chez les psychiatres. L’Autriche était le premier pays dans l’Union Européenne à imposer la vaccination.
Les méga-manifestations organisées par la figure emblématique dans la résistance en Autriche, Martin Rutter, ont fait barrage à l’obligation vaccinale. Des millions d’autocollants « Impfen Tötet » le vaccin tue, ont été distribués et affichés. L’association « impfopfer.info » continue son combat pour l’interdiction du vaccin ARN messager et se mettre en réseau. L’association avait invité en novembre 2024 de nombreuses associations internationales et françaises, dont « On a eu not’dose », « Vérity », « Viac19 », « AAVICTEAM », « l’union fait la force 88 », « Action 200 Belgique… et de nombreux scientifiques, médecins et avocats pour rendre hommage aux victimes à Vienne et pour échanger autour de nombreuses conférences.
Laurence qui intervient pour Action 200 Belgique et l’association des avocats « Notre bon droit » a perdu son fils Antoine le 16 décembre 2021 suite à deux injections. Pourtant Laurence a essayé de convaincre son fils de ne pas se faire injecter. Le juge d’instruction nommé a cherché dans tous les domaines la cause de son décès, sauf la responsabilité de Pfizer.
Le collectif Action 200 Belgique est particulièrement actif et œuvre pour la reconnaissance des victimes. Marc Gerombeau a perdu sa fille Jennifer, 42 ans, suite à la deuxième injection Pfizer le 8 avril 2022. Marc a rencontré divers collectifs pour agir en faveur de la reconnaissance des victimes. En octobre 2020, le matraquage tout vaccin commence en Belgique et au printemps 2021 le pass sanitaire, « Covid Safe Ticket » est introduit en Belgique. Mais l’association « Notre bon droit » obtient une victoire devant le tribunal de Liège. Le juge a constaté l’apparente violation du principe de légalité du décret wallon du 21 octobre 2021 relatif à l’usage du « Covid Safe Ticket » et à l’obligation du port du masque et évoque l’absence de proportionnalité des mesures restrictives de liberté. Cette opposition explique également le fait qu’aucun projet de loi d’obligation vaccinale n’ait été voté. Tandis que les associations de victimes voulaient faire annuler dans les contrats avec les labos les clauses d’exonération de responsabilité, peu de gens voulaient faire reconnaître leurs symptômes d’effets indésirables.
Sabrina, Christian et Heinrich se sont exprimés à Vierzon pour représenter les associations allemandes « Pflege für Aufklärung » les soignants pour la reconnaissance et pour la « WMGFD », les scientifiques et médecins pour la santé, la liberté et la démocratie. Sabrina a été infirmière suspendue avec le même destin que les soignants non-injectés en France.
Très vite une association a été fondée et soutenue par des personnes issues des professions gyrophares (Blaulicht-Familie) police, pompiers, services de secours. En outre, les membres proviennent des soins infirmiers, des enseignants et des médecins, de l'administration publique et de l’armée, (Bundeswehr). Ces groupes professionnels dont l'importance intrinsèque est de servir le bien commun et les peuples, se sont mobilisés contre l’obligation vaccinale en Allemagne pour les soignants, pour le maintien de la fondamentale et pour la reconnaissance.
Sabrina raconte que les médecins en Allemagne non-conformes à la doxa étaient particulièrement touchés. Ils ont immédiatement été criminalisés avec des perquisitions de leurs cabinets et la confiscation de leur matériel et de leurs dossiers. Des soldats non-injectés étaient également frappés par la violence de l’État. Un soldat, qui a refusé de se faire injecter, a fait de la prison ferme durant 4 mois.
Christian également infirmier allemand actuellement à Berlin raconte que lui et Werner Möller (décédé en juin 2024) ont créé « Pflege für Aufklärung » car ils ont remarqué très vite au premier confinement que la politique et la presse étaient mises au pas.
Le Dr Heinrich Fiechtner qui s’est exprimé par une vidéo à Vierzon est un lanceur d’alerte de la première heure. En raison de sa résistance contre les mesures criminelles, il est de nouveau convoqué au tribunal à Stuttgart en mars 2025 et il risque presque un an et demi de prison ferme et 72 000 euros d’amende. Le Dr Heinrich Fiechtner explique qu’il traite dans son cabinet beaucoup de patients souffrant d’effets indésirables. Il donne des pistes de traitements et de thérapeutiques pour absorber les effets indésirables. Le Dr Heinrich Fiechtner complète ainsi un des objectifs prioritaires de la rencontre citoyenne à Vierzon.
En Italie les mesures étaient, comme en France, particulièrement violentes. Franziska, présidente de l’association « Zero Spike » accompagnée par un avocat, raconte que la suspension pour les soignants a duré un an et demi sans salaire et même le certificat de rétablissement après avoir contracté le covid ne donnait qu’une liberté à court terme de 3 mois. Comme en France les autorités et certaines enseignes privées accordaient des cadeaux aux personnes qui se faisaient vacciner. Il s’agissait même de cadeaux sexuels et l’imagination ne connait pas de limites. 3 virologues italiens ont enregistré une chanson pour inciter à la vaccination.
Les enfants italiens devaient avoir un pass à durée limitée pour prendre les transports scolaires. Il est arrivé qu’un conducteur de bus « vire » un enfant car son passe sanitaire était périmé depuis 3 minutes.
L’ancien membre du Parlement néerlandais Wybren van Haga, a représenté l’association « Corona Schade » pour soutenir les victimes des vaccinations. L’association s’est opposée à la politique vaccinale et plusieurs actions judiciaires ont été menées. Beaucoup de personnes ont perdu leur travail et leur santé aux Pays Bas. Pourtant, le gouvernement néerlandais refuse de reconnaître sa responsabilité et ne met aucune enquête parlementaire en place.
Cécile de Dosumani a présenté un nouveau projet. Etant donné que l’omerta reste omniprésente, Cécile souhaite découpler la parole. Des personnes publiques parrainent une victime et en parlent à chaque occasion. « Je suis la marraine de ………………… et je parle de la personne.
Un autre projet a vu le jour. « Effets indésirables Vaccinations et Covid «. Il s’agit d’une plateforme d’ écoute des victimes, une mise en palce des sentinelles du cœur.
ACTIONS JURIDIQUES ORDINALES, PRUD’HOMALES ET ADMINISTRATIVES : https://crowdbunker.com/v/xNLJnigu1h
3min Elodie infirmière, est radiée de sa profession car l’Ordre a porté plainte contre elle concernant les faux pass qu’elle a fait. Ses associées l’ont dénoncée. (son interview en aparté). Elle risquait 7 ans de prison et 750 000 euros d’amende. Elle a certainement sauvé des vies ou au moins réduit considérablement les effets indésirables à ses patients. Élodie a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende. Après 4 procédures, elle a été radiée.
8min Maître Florence Bessy, avocate au barreau de Chambéry a obtenu 3 victoires devant le Conseil des Prud’hommes pour les soignants suspendus avec paiement rétroactif. (son interview en aparté). Mais les soignants n’ont pas encore été indemnisés. Maîte Bessy insiste sur le non-consentement, sur la violation de l’article 8 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, à savoir une atteinte à la vie familiale et privée.
Une plainte est déposée contre l’ANSM par Christine Cotton. Un médicament doit être retiré si une seule des 5 conditions n’est pas respectée : 1/ si le produit est nocif 2/ s’il ne permet pas d’obtenir des résultat thérapeutiques 3/ s’il ne présente pas la composition déclarée en termes de qualité et de quantité 4/ si la balance bénéfice risque est défavorable 5/ si les contrôles sur la qualité des composants n’ont pas été effectués. En l’occurrence, Christine Cotton démontre que les 5 conditions sont réunies. Pourtant, le directeur de l’ANSM ne retire pas ce produit du marché.
16 min Une femme médecin spécialiste en gériatrie en EHPAD témoigne qu’elle n’a pas donné son accord pour les injections compte tenu des données qu’elle a lues. La campagne de vaccination fut réalisée et elle constate immédiatement les effets indésirables, notamment les clusters qui arrivaient juste après la vaccination. Elle fut suspendue et a tenu à prouver qu’elle avait raison. Durant son absence, les vaccinations étaient faites aux résidents. Elle dénonce plusieurs phases d’intimidation par l’Ordre des médecins. Elle refuse de payer sa cotisation à l’Ordre considérant qu’il ne faisait pas son travail mais aussi parce qu’elle avait été suspendue. Elle a initié plusieurs recours..
25 min Maître David Guyon explique que nous sommes dans un dogme. La liberté d’expression est bâillonnée... Maître Guyon rappelle l’affichage à Toulouse en août 2022 par Réinfo Liberté. « Vaccination Covid : Un effet secondaire grave sur 100 et si c’était votre enfant. ». Le Préfet de Haute Garonne reproche à Réinfo Liberté d’avoir dissuadé les gens de se faire vacciner, un arrêté d’interdiction concernant ces affichages fut publié mais aucune plainte ne fut déposée. Elle aurait permis un débat.
28 min Me Thomas Bénages, il représente médecins et pharmaciens, notamment le Dr Amin Umlil, pharmacien et juriste. Il avait brillamment exposé lors de l’OPECST les effets secondaires, la pharmacovigilance et l’illégalité. Ces propos lui valurent d’être sanctionné par le Conseil National de l’Ordre des pharmaciens. En appel, en janvier 2025, le Conseil National de l’Ordre annule la décision au motif qu’elle est mal motivée mais il est tout de même radié pour 1 an en violation manifeste des droits de la défense. Une procédure est en cours devant le Conseil d’État.
Le Professeur Christian Perronne, défendu par Maître Thomas Benages, a gagné totalement en première instance, il est le seul. Il était parfaitement en mesure d’apporter une parole contradictoire en raison de son parcours et de son expérience professionnels. Mais le Conseil de l’Ordre a fait appel, il risque d’être sanctionné.
Il évoque aussi Alain Houppert, médecin sanctionné de 3 mois de suspension en appel pour des paroles tenus au Sénat et dans le cadre de son mandat parlementaire alors que la parole parlementaire ne peut être sanctionnée. Le combat continue, il dénonce la chasse à l’homme par le Conseil Nationale de l’Ordre des Médecins et les Conseils départementaux sur tous ceux qui ont oser émettre une voix discordante par rapport à celle du gouvernement, c’est un véritable problème.
37 min Maître Jean-Pierre Joseph a mené des plaintes collectives pour empoisonnement. Il a démontré que les juridictions sont dans une « religion » et non dans la science. Comment s’adresser à ces juridictions ? Maître Jean-Pierre Joseph ironise de nouveau sur le port du masque, est inutile ; le virus passe dans les deux sens. Il fait état de ses plaintes en cours.
43 min Elsa des « Collectifs Unis » a été suspendue . Elle dénonce la façon dont les droits fondamentaux ont été bafoués. Elle rappelle le devoir de respecter le refus, les conditions de travail, les aberrations de refuser la présence de soignants non vaccinés mais d’accepter les soignants malades. Nous devons continuer à revendiquer nos droits fondamentaux, nos droits sociaux, nos droits à la retraite. Le Conseil d’État confirme que ce n’est pas légal. Elle incite à ne pas se laisser faire et mettre ces décideurs face à leurs responsabilités.
54 min : prise de parole de Nicolas Lefèbvre : il est interdit de faire des expériences sur les humains sans consentement, information et indemnisation. Il alerte sur l’ARN messager introduit dans tous les vaccins infantiles.
RECOURS JURIDIQUES CIVILS ET PÉNAUX : https://crowdbunker.com/v/VFuu1G3eEG
1min 22 Me Mauro Franchi : il évoque les discriminations, les sanctions, les obligations vaccinales aux plus de 50 ans. Alors que la Cour Constitutionnelle avait, en 2018, reconnu la valeur suprême du droit à la vie et à l’intégrité physique. En 2023/2024, elle a renversé ce principe.
7min Me Florence Bessy reprend les possibilités d’indemnisations par l’ONIAM. Ces indemnisations ne concernent que les vaccinations obligatoires ou réalisées dans les mesures d’urgence sanitaires. Elle explicite la procédure, les pièces à joindre au dossier, l’expertise médicale, l’évaluation des préjudices et l’avis de causalité. Les offres d’indemnisation sont extrêmement basses, il est fréquent de saisir la justice administrative ensuite. C’est toujours à la victime de prouver le lien de causalité. En 2024, le Conseil d’État a déterminé comment le juge doit estimer l’éventuel lien de causalité et le délai « normal » de survenance des effets indésirables. Il faut d’armer de beaucoup de patience. Les procédures peuvent durer plus de 10 ans. Les préjudices estimés sont patrimoniaux et extra-patrimoniaux. Un effet indésirable doit être en tout premier lieu déclarer à la pharmacovigilance.
17min Me Marc Montagnier : L’ONIAM est une phase obligatoire. Il conseille de faire dès le départ appel à un avocat qui peut apporter de l’aide immédiate en matière d’indemnisation mais aussi évite de commettre des erreurs dans la procédure, erreurs qui ne peuvent plus ensuite être corrigées. Il explique ce qu’est un médecin de recours, souvent payé par les mutuelles et qui permet d’être représenté, aide à apporter des analyses objectives (tests médicaux) mais aussi à détecter certains symptômes comme les dégâts psychologiques et être exhaustif. Il rappelle le jugement de la Cour de Cassation : « même si le vaccin ne fait que déclencher une maladie, supposée être en la personne préalablement, le vaccin est responsable et la personne a droit à un dédommagement.
26min Me Philippe Prigent rappelle que le code pénal ne concerne pas que les infractions. Il rappelle que nul ne peut être puni pour un acte autorisé par la loi ou un règlement mais aussi qu’un acte précédemment répréhensible, dès lors qu’il est postérieurement autorisé ne peut plus être sanctionné, même s’il est intervenu antérieurement. L’escroquerie est un délit large et protéiforme, commis par des gens intelligents et charmants. « employer des manœuvres frauduleuses ou d’user d’une qualité ou règle qui inspire confiance pour obtenir une remise de fond ou un acte opérant obligation à décharge ». Le contrat concernant le vaccin reposait sur des qualités qui n’étaient pas. Les manœuvres frauduleuses ont permis de conclure le contrat d’achat de vaccins. L’escroquerie en bande organisée est punie de 750 000 euros d’amende mais peut obliger à la restitution des fonds (aux États). Le droit pénal punit aussi le facilitateur, considéré comme complice, qui subit les mêmes sanctions. Aux USA, les sociétés pharmaceutiques ont moins menti qu’en France.
36min Sonia pour Verity France souhaite donner de l’espoir. Grâce à Frédéric Baldan, l’intégralité des documents ont été obtenus (contrats non biffés) ; il prouvent les mensonges concernant ces produits expérimentaux.
39 min Nora et Élodie pour Contre Attack expliquent que leur association souhaite fédérer et relayer les combats des associations. Elle souhaite que l’information circule sur tout l’historique des empoisonnements, des effets secondaires des vaccins et connaissent leurs droits et notamment celui du consentement éclairé. Élodie rappelle qu’ils sont partenaire du CSAPE (ANTI CORRUPTION COLLECTIF SYNDICATS ET ASSOCIATIONS PROFESSIONNELS EUROPEENS).
46min Me David Guyon rappelle les procès après la seconde guerre mondiale, intervenus plusieurs dizaines d’années plus tard. Beaucoup de victimes ne font pas le lien avec la vaccination sur leur pathologie, beaucoup n’ont pas fait de déclaration à la pharmacovigilance. Les victimes ne doivent pas culpabiliser à se faire indemniser. Le tribunal administratif de Montpellier, le 9 décembre 2024, reconnaît pour la première fois en France un effet secondaire imputable au Covid19. La victime n’a touché que 63 000 euros alors que sa vie est détruite. La décision du tribunal administratif de Lille rendue en avril 2024 concerne la vaccination H1N1 et attribue plus d’un million d’euros en réparation du préjudice. Les laboratoires seront moins enclin à opérer en France si les français deviennent procéduriers.
52 min Me Jean-Pierre Joseph revient sur le lien de causalité. Il devrait revenir au fabricant de démontrer l’innocuité de son produit. Il confirme que l’escroquerie en bande organisée est une bonne idée. Il confirme que si la vaccination est obligatoire, le produit injecté n’est pas un vaccin mais une thérapie génique expérimentale. Lorsqu’une loi a des conséquences graves pour un citoyen on a non seulement le droit mais aussi le devoir de ne pas la respecter. Dès les premiers mois de la vaccination, les rapport de l’ANSM faisaient état de plus de 20 000 déclarations d’effets indésirables dont 25% graves. Aujourd’hui, il y en a plus de 200 000, ce qui correspond à 1% de la réalité. L’escroquerie est mondiale et en bande organisée.
IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DE LA CRISE SANITAIRE : https://crowdbunker.com/v/HFzz1Z9DtU
1 min Elsa revient sur le clivage vaccinés/non vaccinés, malades /non malades, les enfants traumatisés, injectés, les soignants désespérés, privés de droit pour avoir fait valoir leur devoir de désobéir à un ordre illégal pour protéger leur santé et leurs patients, le manque et le défaut de soin, les restaurateurs, etc…ce n’était pas obligatoire mais la pression était bien présente. Nous devons être prêts, unis et devons prendre la parole, ne pas rester dans le silence. Hommage à Michèle Rivasi dans sa lutte contre les maltraitances à l’humain.
7min Jean-Bernard, ambulancier suspendu qui a dû vendre sa maison et vit depuis en camping-car. (son interview en aparté). A repris son travail en juillet 2023, et a est maintenant dans une petite structure familiale dont il apprécie grandement les valeurs humaines. J’ai pris conscience du bien précieux qu’est la liberté, qui n’a pas de prix. Aujourd’hui, je suis agacé par le port du masque qui revient et dont on sait qu’il ne sert à rien. Il évoque ses procédures mais continue à réclamer les indemnités concernant les 606 jours de suspension et le préjudice de la vente de sa maison. J’agis aussi pour les soignants suspendus et ceux qui sont décédés, ceux qui n’ont pas été assez soutenus. Je regrette de ne pas avoir crié « n’allez pas au vaccinodrôme ». Les propagandistes des plateaux télé devraient être traînés en Justice.
15min Jean-Louis, fondateur du collectif Les Essentiels qui s’est constitué suite aux annonces de juillet 2021. Il n’est pas directement impacté par ces mesures même si nous le sommes tous. Il dénonce les conditions dramatiques de nombreuses victimes dont des soignants. Cette suspension a été un véritable rejet d’une partie de la population. Il dénonce les déserts médicaux et l’accoutumance de cette pénurie et l’acceptation par la population d’un traitement expérimental. Il évoque les milliards dépensés qui nous endettent. Les médias sont toujours aux ordres, nous devons continuer à en parler.
25 min Elsa évoque la complexité de la prise en charge. Elle explique ce qu’est l’UPGCS et le Covid Long. Les patients doivent supporter le déni médical qui est effroyablement délétère. L’isolement est à dénoncer mais aussi les refus d’allocations handicapés à des personnes qui ne peuvent plus vivre normalement. C’est de la maltraitance administrative et institutionnelle. L’UPGCS aide à faire valoir ses droits. Elle invite à déposer des plaintes pour non-assistance à personne en danger, pour maltraitances, pour non-assistance à personne en détresse, pour homicide involontaire par négligence ou imprudence. Elle évoque le cas d’un enfant qui demande presqu’à être euthanasié tellement il souffre et n’est pas pris en charge. Des enfants ont été placés et subissent la maltraitance institutionnelle.
35min Mathieu Dubois, président d’AAVIC TEAM. Les soutiens sont importants, j’ai eu plus de 600 victimes au téléphone, il y a des choses absolument horribles que je ne pensais pas possibles. Nous avons pu aller à l’Assemblée Nationale et au Parlement Européen, nous avons demandé un texte de loi. Il incite à aller déclarer ses effets indésirables même si ceux-ci arrivent plusieurs années après. Nous voulons remettre l’humain au centre par rapport à ce monde matérialiste.
42 min le père de Mélanie, atteinte de la maladie de Charcot témoigne. Ils ont dépensé leurs économies à modifier leur maison pour accueillir leur fille handicapée et l’accompagner pour sa fin de vie. Elle peine à communiquer et commence à perdre pied. La voir dépérir est très très dur. « J’ai une liste noire dans la tête » dit-il en pensant notamment à cet hématologue qui les a traités de satanistes lorsqu’ils ont évoqué l’éventuelle responsabilité du vaccin dans la maladie. Il attend que tous ces gens qui ont incité aux injections soient condamnés.
Hervé Seligmann reprend ses analyses sur le shedding et les preuves faites par les corrélations statistiques : l’excrétion plus importante des jeunes, la surmortalité infantile, l’effet shedding décuplé sur les injectés, la durée de l’effet dans le temps, l’augmentation de l’effet avec l’addition des doses injectées. (son interview en aparté)
Les questions du public amènent Hervé à d'autres informations.
retrouvez Hervé Seligmann : https://www.bitchute.com/channel/t9YbK81tG4ZP
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