15 avril 2025
Reportage

Gérardmer, Remiremont : alerte, hommage, devoir de mémoire et appel au secours !

Gérardmer, lieu de villégiature des Vosges, son grand lac, son centre animé… Elle est appelée « la perle des Vosges ». En ce samedi 12 avril 2025 ensoleillé, une manifestation est venue interpeller les passants et les conducteurs qui venaient profiter du centre ville.  Elle était organisée par les collectifs UFLF88 et « On a eu not’dose » qui avaient invité l’association AAVIC TEAM.

Une centaine de portraits de victimes d’effets délétères des injections Covid-19 ont été suspendus entre deux panneaux de signalisation. Ces portraits sont un hommage, une alerte pour toutes les victimes qui s’ignorent, un devoir de mémoire mais aussi un appel au secours !

Pour comprendre le pourquoi de cet appel au secours, je vous propose d’exercer votre empathie et de plonger durant quelques lignes dans la vie d’une victime.

Vous êtes marié, vous avez deux enfants de 7 et 10 ans, votre quotidien s’articule autour de votre travail dans lequel vous vous épanouissez, votre famille qui, malgré les tracas du quotidien, est votre refuge et la source d’affection et d’amour. Vous aimez marcher et même aller courir avec votre meilleur ami. Vous prenez soin de vos parents et appréciez ces repas au cours desquels 3 générations partagent leurs souvenirs, leurs rêves, leurs doutes… ces moments intimes au cours desquels on peut se livrer car on se sent en sécurité et aimé. Vous avez des projets de vacances, d’évolution de carrière professionnelle. Votre vie n’est pas parfaite et parfois compliquée mais elle vous rend heureux.

Et puis, une crise nationale, mondiale survient. Un virus dangereux est annoncé et semble causer des morts. On annonce un confinement pour éviter la propagation de ce virus. L’école de vos enfants ferme ses portes. Vous-même devez aller travailler et appréhendez un peu ce contact avec les clients qui deviennent de « potentiels dangers ». Vous hésitez à rendre visite à vos parents et prenez de la distance avec vos amis « au cas où ». Votre projet de vacances est suspendu, on ne sait pas si les mesures sanitaires autoriseront la circulation d’un département à l’autre, s’il sera possible de prendre l’avion… Ce sont tous les pans de votre vie, toutes vos relations qui sont impactés. L’appréhension, la peur, l’incertitude… un danger invisible dont on parle partout…

C’est là que l’État, psychologiquement le père protecteur mais aussi légalement et politiquement l’organe qui veille sur ses citoyens propose une solution qu’il appelle « vaccin ». Il a été conçu très vite, dans l’urgence mais est le sauveur qui permettra le retour à la vie normale. Quelques voix émettent des doutes, mais les médias et les politiques rassurent : le vaccin est sûr et efficace à 95 %. On dénonce ces complotistes, ces réfractaires, ceux-là qui aiment les théories du complot… en bref cette infime partie de la population réputée râler pour rien et pour tout.

La médecine, la science ce n’est pas votre domaine, vous faites confiance à votre médecin et ces figures médiatiques et puis votre employeur insiste, votre famille, vos amis. C’est pour protéger les autres, c’est pour recouvrer la liberté, c’est un acte altruiste ! Alors, vous acceptez, plus ou moins convaincu, suspicieux ou dans le doute.

Vous êtes presque fier de réaliser votre première dose. Vous avez quelques effets secondaires, de la fièvre, des maux de tête, des vertiges, quelques douleurs mais le médecin vous rassure, ça va passer. Puis c’est la deuxième dose, et là les effets sont plus inquiétants, des douleurs au cœur, une fatigue incroyable… Vous allez consulter. Là encore, on vous rassure, les vaccins sont sûrs, efficaces et sans danger. Vos douleurs viennent sans doute de votre appréhension de la seringue. Elles vont passer. Aucune inquiétude à avoir puisque des milliards de gens ont été injectés et aucun signal d’alerte n’a été officialisé. Enfin c’est la troisième dose…et là, patatras… les maux de tête deviennent insupportables, les douleurs invalidantes, votre cœur semble exploser dans votre poitrine et ce n’est plus de la fatigue que vous ressentez mais un épuisement intense comme si vous n’aviez plus aucune force tandis que vous ne parvenez plus ni à réfléchir ni à penser.

Vous allez consulter, votre médecin, les urgences… et sans le savoir vous commencer votre parcours du combattant. Vous allez devoir affronter le déni des médecins qui vous auscultent et qui se refusent à envisager qu’un vaccin pourrait causer le moindre dommage parce que tout de même « les vaccins ont sauvé des millions de vies ». Ce doit être psychosomatique, on vous conseillera de voir un psy. Lorsque vous allez insister, vous serez rejeté, le médecin refusera dorénavant la consultation avec un patient délirant, complotiste voire sataniste. Mais vous n’allez pas bien, alors c’est la traversée du désert pour chercher des médecins, des spécialistes, faire des examens… Vous êtes en arrêt de travail car vous n’avez plus de force, même pas celle de gérer votre quotidien, les enfants, le ménage, l’entretien de la maison… et vous vous rappelez ces courses à pied avec votre ami comme d’un lointain souvenir, presque une autre vie. Vos amis s’éloignent d’abord parce que vous n’êtes plus en état de partager des moments avec eux mais aussi parce que vous suggérez que ce vaccin, qu’ils ont subi aussi, doit être responsable de vos maux. Votre conjoint supporte difficilement votre douleur et la charge du quotidien qui lui incombe maintenant presque toute entière. Vos enfants souffrent de vous voir ainsi diminué et à la fois vous en veulent de ne plus pouvoir être présent.

Enfin, les diagnostics tombent. C’est le coup de massue parce que ce qui vous est annoncé est extrêmement grave, on n’a pas de traitement. Mais finalement, si vous avez de la chance, un médecin va finir par admettre que votre pathologie est due aux injections. C’est la faute à « pas de chance ». Il va, maintenant que vous n’avez plus de force, falloir vous battre pour faire une déclaration à la pharmacovigilance, payer de votre poche les multiples examens pouvant prouver le lien de causalité et faire face aux innombrables demandes de l’administration. Il vous avait été demandé de « protéger » les autres, vous vous êtes montré altruiste mais maintenant, il faut vous débrouiller tout seul.

Vous allez rechercher, des informations, de l’aide et peut-être des gens, qui auraient comme vous, des effets secondaires. C’est là que vous allez vous rapprocher de ces associations qui viennent en aide aux victimes et pallient à la défaillance inacceptable de l’État. Vous allez rencontrer ces mêmes personnes, ces complotistes que vous aviez plus ou moins vaguement entendu dénoncer les campagnes vaccinales. C’est là, que vous allez prêter l’oreille et comprendre que leurs alertes étaient fondées. C’est là que vous allez découvrir à quel point ce « vaccin » n’en est pas un. C’est là que le « masque » de l’État protecteur va tomber pour montrer son monstrueux visage. C’est là que vous allez devoir accepter, digérer, assumer le fait d’avoir été dupé. La violence de cette prise de conscience est immense et bien souvent, rester dans le déni protège, car on pourrait devenir fou !

Vous avez fait confiance, votre vie est « foutue », le système entier vous rejette, vous abandonne à votre sort ; même le statut de victime vous est refusé !

 

On ne peut que saluer le courage de ces personnes qui viennent témoigner de leur souffrance et leur détresse. Il serait tellement plus facile de ne plus en parler, de se recentrer sur soi que de prendre la parole pour presque « revivre » ces souffrances, ces rejets, cette solitude, ces mensonges… Ces quelques secondes où on leur a injecté un poison qui a fait basculé leur vie. Mais aussi la culpabilité, pour certains, de ne pas avoir écouté les avertissements. Une fois de plus, ce système pervers fait de la victime un coupable !

Pourquoi veulent-ils prendre la parole ? La réponse est unanime : ils ne veulent pas que d’autres aient à vivre ce qu’ils vivent !

Les membres de ces associations ont engagé la conversation avec des passants et rapportent des échanges très constructifs. Les passants qui ne s’arrêtent pas seront tout de même marqués par ces affiches. Cela sauvera sans doute des vies, c’est le but de ces personnes qui s’engagent depuis 4 ans pour que la vérité soit. Elles offrent leur temps, financent ces actions et font le choix de l’humanité plutôt que de leurs propres intérêts. Certains vivent aussi la culpabilité de peut-être ne pas savoir trouver les mots pour convaincre et sauver cet « autre » qu’ils ne connaissent pas mais pour le bien et la santé duquel ils se dévouent.

Face à une propagande médiatique écrasante, hypnotisante et manipulatrice ces manifestations semblent bien peu de chose, pourtant ils persistent et confirment : « on ne lâchera rien ».

Ces manifestations permettent de se retrouver, de pouvoir échanger et de puiser dans ces échanges, ces partages et le rétablissement de vérité/réalité, la force qui permet de continuer. Elles sont épuisantes pour les victimes qui « le payent » ensuite par un épuisement aggravé et des douleurs ravivées. Pourtant, ces victimes acceptent ce prix à payer pour redonner vie à ces valeurs fondamentales qui font de nous des êtres humains et sont la seule source de notre bonheur : dignité, amour, charité, amitié et respect.

Ainsi, le soir, ils se sont retrouvés au tiers lieu « Sainplement » à Remiremont. Un repas était offert à chacun et un chapeau recueillait les dons pour les associations.

Ce lieu les aura également accueillis le lendemain matin pour une conférence concernant les nommés «Covid longs» par les premiers spécialistes «lanceurs d'alerte» et les effets délétères (voire primaires*) de ces injections qui peuvent survenir plusieurs mois après l’injection.

Le docteur Jean-Marc Sabatier est intervenu en visio-conférence pour expliquer le plus simplement possible en quoi ce produit expérimental attaque le système rénine-angiotensine, système qui pilote tout le fonctionnement de notre corps et de notre cerveau. C’est pourquoi il existe de si nombreuses et diverses pathologies. Il indique que les pathologies sont plus fréquentes chez les femmes notamment car fortement touchées par la dérégulation de leur fertilité. Ce sont bien des milliers de femmes qui se sont retrouvées dans l’association Où est mon cycle ?  autour de Mélodie pour témoigner de ces effets. Jean-Marc Sabatier conseille la vitamine D, le magnésium, le zinc, les anti-oxydants, la vitamine C et la Quercetine.

Plus largement il a abordé les vaccins plus communs et pédiatriques qui contiennent des sels d’aluminium (1) dont maintes études ont prouvé la toxicité notamment pour le cerveau. Il revient sur les chiffres alarmants d’augmentation d’autisme (et troubles du spectre autistique) chez les enfants (2). De 1/10 000 en 1970 à 1 pour 36 aux USA (1/22 à NYC). Les injections vaccinales faites aux enfants sont beaucoup trop nombreuses.

Cynthia Thevenot, présidente de On a eu not’dose salue le courage et la force des victimes pour s’exprimer et libérer la parole. L’association vient en aide aux victimes de la « crise sanitaire », victimes des injections, soignants suspendus (le nouveau statut d'exclusion dicté par Mme Borne), etc. Elle revient sur ce que doivent traverser les victimes : transcender la maladie, les insultes qui pleuvent (complotistes ou antivax), la puissance des laboratoires pharmaceutiques, les institutions, les procédures judiciaires et les difficultés quotidiennes des victimes dont la liste ne peut être exhaustive tant la situation de chacun est différente.

Hervé Seligmann, chercheur biomédical, revient sur toutes les analyses qu’il a réalisées depuis début 2021 et plus particulièrement ses plus récentes concernant l’augmentation des cancers proportionnelle au cumul des injections dans les organes. Mais aussi cet effet « shedding », « excrétion » des vaccinés (les adolescents entre 10 et 14 ans) qui est corrélé avec la mortalité des adultes injectés (les femmes essentiellement).

Je souhaite souligner ici l’importance de ces chercheurs qui observent et analysent. Ils sont le premier maillon de la chaîne de découverte au sens où leurs observations permettent aux scientifiques de savoir dans quelle direction chercher. Ils permettent aussi de sortir du piège mécaniste qui enferme : « l’un des principaux problèmes de la science moderne est que les choses sont supposées ne pas exister, à moins qu’il n’existe un mécanisme reconnu pour les expliquer » » Par ailleurs, je rappelle que « l’excrétion est bien réelle, varie d’une personne à l’autre, la plupart des personnes sensibles l’ont déjà compris. Le shedding est un phénomène réel et prévisible qui peut s’expliquer par des mécanismes connus propres à la technologie ARN »

Maître Nancy Risacher, avocate au barreau d’Épinal dénonce l’omerta et le mépris face aux évidences, le mur d’incompréhension rencontré dans les tribunaux, le gouvernement qui continue de propager de fausses informations, les institutions qui ne relaient pas ou mal, les parlementaires frileux et les appellations qui musellent (antivax, complotiste, extrême droite). « Nous sommes face à une pieuvre. J’ai de plus en plus de mal à croire en la Justice » dira-t-elle. Nous avons pourtant une boîte à outils juridiques fournie. Elle se demande pourquoi il n'y a pas eu un lever de bouclier du monde médical face à ces couleuvres de plus en plus grosses que l’on veut nous faire avaler.

Elle lance un appel : les avocats ont besoin de médecins experts auprès des tribunaux qui soient objectifs et impartiaux, qui puissent chercher au bon endroit pour établir un lien de causalité probable afin que les avocats puissent conclure et motiver leurs demandes de réparations de préjudices et la reconnaissance du statut de victime.

Christiane, médecin à la retraite, parle de son expérience et confirme que c’est l’Ordre des médecins qui nomme les médecins experts auprès des tribunaux et rappel que c’est ce même Ordre qui suspend, émet des blâmes ou radient les médecins qui questionnent ou remettent en question le dogme vaccinal.

Maimouna qui était l’hôtesse des lieux, a lu le témoignage qu’elle avait préparé concernant son expérience et de sa maladie de Charcot. Elle parvint, en larmes, à le lire jusqu’à la fin mais se retira ensuite, beaucoup trop submergée par les émotions de cette toute première prise de parole durant laquelle elle a tout comme tout revécu dans son corps même. Bien qu’elle ait écrit ces mots, le fait de les dire à haute voix est un autre stade de conscience : « mon témoignage m’a profondément choqué… j’ai réalisé ce que je vivais aujourd’hui dans ma chair, au plus profond de mon cœur, de mon corps et de mon esprit… ce drame ».

Ce que le témoignage de Maimouna a de très spécial c’est cet aveu : « je suis restée sourde aux voix qui la suppliaient d’attendre, de ne pas faire… je les appelais les complotistes, je me disais qu’ils étaient « perchés » ». Combien se remémorent, comme elle, ces avertissements et regrettent, culpabilisent ? Il me semble crucial de rappeler ici, que ces associations sont là pour les victimes qui ne doivent pas porter la culpabilité qui n’appartient qu’à ceux qui sont complices de ce crime.

Aurore, Mathieu, Julia ont également témoigné avec dignité de leurs profondes souffrances et de leurs handicaps au quotidien. Aline, maman de Séléna qui a développé un cancer aux ovaires à seulement quelques mois de vie puis Alain, la père de Mélanie, atteinte de la maladie de Charcot se sont exprimés sur les souffrances de leur enfant et la leur.

Ces témoignages sont bouleversants, poignants, terribles. Ils bloquent la respiration, serrent les entrailles, brisent les cœurs et engendrent des émotions puissantes de colère, de tristesse, de souffrance empathique, d’angoisse...

 

« C’est pourquoi les systèmes totalitaires, toujours fondés sur la « science », n’ont pourtant jamais été réfutés par des preuves scientifiques, mais toujours par des témoignages humains. […] ils ont ouvert les yeux – et le cœur – de  millions de gens sur la réalité concrète, psychologique, spirituelle, de la condition totalitaire parce qu’ils leur ont permis d’éprouver cette horreur de l’intérieur ».

Tribune juive Slobodan Despot 17 Novembre 2020 – Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme, p. 128.

En fin de conférence, j’ai rappelé que les dossiers de scandales sanitaires se succèdent. Sang contaminé, hormones de croissance, Lévothyrox, H1N1, glysophate, AZT, Oxycontin… Malgré le fait que ces scandales soient mis à jour après parfois des dizaines d’années de combat des associations de victimes, nous ne voyons aucune amélioration de la sécurité, aucune mesure pour endiguer la corruption systémique pourtant dénoncée depuis longtemps par les revues scientifiques les plus prestigieuses, les plus renommées.

Pire ! Nous constatons que les rapports officiels établis a posteriori sont utilisés pour corriger les failles de cette corruption afin de  la rendre plus efficace et garantir une impunité toujours plus grande.

Les rapports tels que le Spars17 ou Clade X développent la mise en œuvre de la manipulation des masses, des politiques, des scientifiques, des médias et du personnel soignant.

Grâce aux RKI files, aux Pfizer Papers, aux analyses des scientifiques tels que Christine Cotton ou Amine Umlil, nous avons les preuves que les fabricants savaient à quel point leur produit expérimental était toxique.

Pourtant, l’ANSM et l’EMA a priori, les ARS, HAS les réseaux CRPV n’ont pas agi a posteriori.

L’OPECST en mai 2022 a permis des auditions au cours desquelles, tout a été révélé, prouvé, étayé tandis que les responsables de l’ANSM, des réseaux CRPV et Alain Fischer n’ont répondu que par des arguments d’autorité, c’est à dire sans aucun argument scientifiquement étayé.

Nous sommes près de 3 ans plus tard et ces injections Covid sont toujours réalisées et conseillées.

En conclusion, la propagande et la corruption permettent ces crimes de masse avec la complicité et la participation des agences de santé, des médias et des politiques.

Le système dans lequel nous sommes a toutes les caractéristiques d’un système totalitaire qui est la négation la plus absolue de la liberté, le règne sans partage sur les corps et les esprits. Ce système ne connaît que deux issues : la guerre ou l’autodestruction. Psychopathologie du totalitarisme - Ariane Bilheran, p37-47

La racine de ce problème est la corruption dont je rappelle que le premier outil est l’égo. Cette corruption assassine l’éthique, c’est à dire nos valeurs morales fondamentales.

* Effets primaires : Laurence Kayser, docteur en médecine, chirurgie et accouchements, spécialiste en gynécologie-obstétrique, rn’a de cesse de rappeler que les effets des injections anti-Covid ne sont pas des effets secondaires mais devraient être qualifiés de « primaires ». Pourquoi ?

L’effet primaire est celui qui est recherché par un traitement. L’effet secondaire est celui qui survient sans avoir été désiré.

Nous le savons aujourd’hui  par les contrats révélés en Afrique du Sud, ces substances injectées à des milliards d’êtres humains n’ont pas été étudiées pour éviter d’attraper la maladie, ni pour prévenir les formes graves, empêcher la transmission ou diminuer la mortalité.

Sur quoi portait alors la mise au point de ces produits dits vaccins ? Qu’ont donc révélé les études préalables ? ou plus précisément, à quoi a réellement servi la vaccination de masse ?

Sans notice d’information sur les indications de ces traitements, sans leur composition, leur posologie, les contre-indications, les interactions et les effets indésirables, s’interroger est légitime voire indispensable.  

Rappelons-nous qu’en 2014 au Kenya, 30 % des vaccins contre le tétanos contenaient de quoi déclencher la production d’anticorps anti-HCG, l’hormone de grossesse, provoquant ainsi des fausses couches à répétition et une stérilité vaccinale irrémédiable. Ces produits ont pourtant bien, à l époque, été volontairement administrés à la population sous couvert d’action humanitaire et de précaution sanitaire, dans le but inavouable de stériliser 30% des femmes vaccinées.

John Wyndham dans un article soigneusement référencé (3) cite des preuves, révélées lors d’une action intentée en justice, qui confirment que les vaccins anti-Covid-19 ont été conçus pour la dépopulation.

Le Dr Naomi Wolf, dans un discours au Hillsdale College synthétisant plusieurs découvertes « phares » issues d’analyses de milliers de documents Pfizer, a expliqué comment l’entreprise du « vaccin » anti-Covid cherchait intentionnellement non seulement à « perturber et à altérer la reproduction humaine », mais aussi à « attaquer » et à « tuer » un grand nombre de personnes, en particulier en Occident. (4) Pfizer Papers – Les crimes de Pfizer contre l’humanité, Naomi Wolf.

Le Dr Laurence Kayser rappelle que, dans les essais Pfizer, 80 % des grossesses du 1er trimestre se sont achevées en fausses couches lors de l’administration de ces pseudo-vaccins aux rates gestantes..

 

En conclusion : Ne faut-il pas craindre que les effets de ces injections expérimentales soient bien des effets primaires, à savoir ceux qui étaient effectivement attendus, comme nous l’enseigne l’histoire récente ?

 

 

 

(1) Sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe hautement toxique (AAHS), adjuvant puissent n’ayant fait l’objet d’aucun test de sécurité préalable – Vacciné, non-vacciné Qui est en meilleure santé ? Que dit la science, Robert F. Kennedy Jr, Brian Hooker Ph. D, p. 26

(2) La montée de l’autisme coïncide avec l’administration croissante de vaccins contenant du mercure. Aux USA la fréquence de l’autisme chez les enfants est passée de 1/2000 avant 1970 à 1/1000 entre 1970 et 1990 puis à 1/500 au début des années 1990, 1/150 en, 1/125 en 2004, 1/110 en 2006, 1/88 en 2008 et 1/68 en 2010. Il n’y a pas d'autisme chez les Amish qui refusent les vaccinations par conviction religieuse. Vaccinations les vérités indésirables Michel Georget, p. 103

(3) https://countercurrents.org/2024/10/covid-19-and-the-explosive-pfizer-documents/ 

(4) https://www.cultura.com/p-pfizer-papers-les-crimes-de-pfizer-contre-l-humanite-9782874342509.html#description

(5) https://www.facebook.com/watch/live/?ref=watch_permalink&v=1468992577408362 

 

Articles parus dans la presse locale :

https://www.vosgesmatin.fr/societe/2025/04/12/covid-19-a-gerardmer-des-collectifs-denoncent-les-sequelles-liees-a-la-vaccination

https://vosgesinfo.fr/remiremontinfo/2025/04/remiremont-une-table-ronde-donne-la-parole-aux-victimes-du-vaccin-et-du-covid-long/?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR4lP2RyADu9O-gKvKtVkDrr95Ugc0FJ4qcO_6JhWZxdI1ucjYNOSqj5zFcIaA_aem_XRUyuvkOfTuVVSiQMBxFGA

 


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