10 février 2025
Scientifique

Dr Hervé Seligmann : une mise au point s'impose

Hervé Seligmann expose l'effet shedding ou effet allo depuis 2021. Fact-checking, omerta, censure et discrédit se sont abattus sur cette information absolument cruciale. Je développe ici l'historique des analyses d'Hervé Seligmann, qui se trouvent aujourd'hui, officiellement corroborées et lance un "manifeste" pour la vérité et la diffusion de cette information auprès des personnes victimes des injections qui doivent avoir connaissance de cet effet.

1/ Historique des recherches du Dr Hervé Seligmann

Hervé Seligmann est chercheur biomédical avec une large expérience dans des disciplines aussi variées que la physiologie des plantes, la microévolution de la morphologie des lézards, et un grand nombre de découvertes sur le code génétique et les gènes, dont plusieurs mécanismes de mitigation des erreurs de traduction des gènes. Il a publié plus de 100 articles scientifiques dans des revues scientifiques internationales revues par des pairs. Il a travaillé avec le Professeur Didier Raoult à Marseille.

En bref, Hervé est titulaire d’un doctorat et est indéniablement un scientifique confirmé et compétent.

À la fin de l’année 2020, il a été sollicité par plusieurs personnes de son entourage afin de savoir ce qu’il fallait penser de ce nouveau « vaccin » qui était proposé contre le Covid. Hervé a recherché des données officielles afin d’étudier les premiers effets de ces injections.

En avril 2021, il analyse les données d’excès de mortalité toutes causes confondues (puisque la cause « mortalité suite à injection » où le statut vaccinal est connu n’était PAS publié par les organismes officiels) et ce, pour 20 pays européens, pour 6 classes d’âges. Il croise ces données avec le taux d’injection des habitants de ces mêmes pays afin de trouver des corrélations.  Afin de vérifier ses résultats (contrôle négatif), il décide de regarder les chiffres de la mortalité des enfants qui, non injectés à cette époque, ne devaient pas témoigner d’une surmortalité associée aux injections.

Or, non seulement il trouve une corrélation, mais pire encore, elle est plus forte que dans les autres classes d’âges ! Hervé est sous le choc et va passer plusieurs jours à se demander d’où peut bien venir cette erreur ! Il recherche un biais statistique, analyse les corrélations spécifiques significatives… mais il ne trouve pas. Les enfants sont bien victimes de surmortalité en corrélation statistiquement significative avec les injections des adultes ! La tendance générale confirme l’effet pour 15 corrélations positives contre 3 négatives !

En jaune, les corrélations positives, en bleu, les corrélations négatives, cf classe d’âges 0-14 ans

 

En juin 2021, il se décide à publier ces analyses sur son profil Researchgate : les vaccinations augmentent la mortalité des enfants européens non vaccinés.

Le 14 juin 2021, il donne une interview avec Haim Yativ sur le sujet à France Soir et souhaite donner l’alerte : Dr Seligmann et Haim Yativ : plus on descend dans l’âge, plus les vaccins sont dangereux, dans laquelle ils exposent notamment le cas d’un bébé décédé après avoir été allaité par sa mère vaccinée. Il détecte des effets avec une durée d’au moins 20 semaines.

À la suite de cette interview, de nombreux fact-checkers vont publier des « discrédits » des analyses réalisées par Hervé Seligmann sans toutefois aucun argument scientifique ou statistique (iciiciiciici –  ici ). Il est également interviewé par UK Colum.

En octobre 2021, il poursuit et complète ses analyses avec de nouvelles données et publie de nouveau un article, avec Spiro Pantazatos de Columbia University, dans Researchgate  « Vaccination Covid et mortalité toute cause par âge ». Cet article sera lu plus de 556 000 fois, ce qui est extrêmement significatif. (à titre d’exemple, le Professeur Didier Raoult comptabilise jusqu’à 395 000 vues).

Hélène Banoun dépose un commentaire sur cet article.

 

Le Dr Hervé Seligmann fera une mise à jour suite à l’ajout de données : ici

En 2022, il poursuit ses analyses et je rencontre le Dr Hervé Seligmann pour la première fois afin de réaliser une interview dans laquelle il expose cet effet shedding. Je rencontre de nouveau Hervé Seligmann à l’Université d’Été Résistante durant laquelle il expose ces résultats. Il conseille aux injectés de ne plus prendre leurs enfants dans leurs bras, durant quelques semaines. Ces paroles sont certes fort dérangeantes mais comment trouver les mots pour avertir de ce danger ? Hervé Seligmann estime que ces informations sont cruciales pour ne pas dire vitales. Alors que nous discutions, une infirmière qui avait entendu la prise de parole d’Hervé Seligmann vient converser avec lui pour lui confirmer ce qu’elle voit du shedding : elle ressent les effets elle-même, elle le constate chez d’autres mais aussi chez les animaux de compagnie (ses paroles).

Depuis sa prise de parole à l’UER, il subit des pressions plus ou moins amicales afin de ne pas aborder le sujet du shedding, notamment par de grandes figures de la résistance.

Richard Boutry dans La minute de Ricardo fait connaître les résultats du Dr Seligmann : ici.

Elisabeth Eads, médecin dans l’armée aux USA lance également l’alerte et témoigne de ses constats cliniques : ici et ici.

Le Dr Hervé Seligmann tente de lancer l’alerte et adresse ses analyses à de nombreux lanceurs d’alerte ou scientifiques afin qu’ils puissent diffuser l’information, mais il y a déni, censure, omerta ou refus d’affoler la population, ce qui peut être considérer comme de l’infantilisme.

À la fin de l’année 2022, le Dr Olivier Soulier est convoqué par l’Ordre des Médecins pour avoir parlé des résultats sur le shedding publiés par le Dr Seligmann en 2021. C’est à la même période qu’il se voit « éjecté » du CSI et subit une campagne de calomnie et ce que ses amis nomment « harcèlement ».

Selon Ariane Bilheran (Psychopathologie du totalitarime), le harcèlement, est l’outil privilégié des systèmes totalitaires. Il vise généralement un bouc émissaire innocent qui devra, par introjection, porter les sentiments de honte et de culpabilité de l’agresseur ou du groupe harceleur. Mais il peut aussi viser délibérément, celui qui remet en question l’omnipotence du harceleur. Le harceleur est en danger et va donc devoir détruire celui qui instaure le doute ou le questionnement. Pour cela il utilise, entre autres, des campagnes de calomnies. (voir ici).

Le harcèlement subit par le Dr Olivier Soulier pourrait-il être dû, en partie, à son questionnement sur le shedding ?

Le Dr Olivier Soulier décèdera quelques mois plus tard de façon inattendue, à l’été 2023.

En février 2023, lors des conférences Recheck, Le Dr Hervé Seligmann réitère la diffusion de l’information : ici, puis publie en anglais sur sa chaîne Bitchute.

Durant l’année 2023, Hervé Seligmann a pu constater cet effet concernant des personnes atteintes, parfois très gravement, par des pathologies de vaccinés alors qu’elles ne l’étaient pas mais dont le conjoint avait pris plusieurs injections. Il constate, par ailleurs, que la durée de l’effet ainsi que son importance augmentent avec le nombre d’injections.

En 2024, il poursuit ses analyses, en collaboration avec Patrice Taravel, et publie plusieurs vidéos concernant les falsifications des données VAERS, le vieillissement acceléré des injectés, les preuves des falsifications des chiffres de surmortalité infantile qui soudain « disparaît », il continue de lancer l’alerte comme à Haguenau lors d’une manifestation organisée par « On a eu not’dose ». Il atteste des corrélations entre la mortalité toute cause et la vaccination des adolescents. Il suspecte une excrétion plus importante des jeunes en raison de leur métabolisme plus rapide et à l’inverse plus lente chez les personnes âgées. Il confirme également que plus les doses sont rapprochées plus il y a de mortalité (ici) chez les jeunes, ce qui confirme la différence de réaction du métabolisme entre les jeunes et les personnes âgées. Ainsi, la personne injectée une nouvelle fois, trop rapidement, n’a pas eu le temps d’éliminer le « toxique » ; l’ajout est alors fatal.

En 2025, il poursuit ses analyses et publie une nouvelle vidéo. Puis aux Rencontres Citoyennes Internationales, il expose ses nouvelles analyses sur les cancers, avec des corrélations entre certains cancers ORL de femmes et anaux pour les hommes et les injections des hommes ; ce qui laisse suspecter une contamination par voie sexuelle. Par ailleurs, le nombre de semaines d’effet se trouve augmenter jusqu’à 100 semaines de façon significative et au-delà de façon sporadique, c’est-à-dire moindre mais toujours présent.

 

2/ L’article de Pierre Kory et un médecin du Middle West publié dans l’AIMSIB

En ce 2 février 2025, l’article de l’AIMSIB « Le shedding des vaccins Covid et ses effets cliniques », qui est une traduction faite par Hélène Banoun, d’études réalisées par Pierre Kory et un médecin du Middle West en 2024 vient poser des constats et la plausibilité biologique du shedding.

Tous les points repris dans cet article ont été signalés et prouvés par corrélations statistiques par le Dr Seligmann depuis 2021 : le vieillissement accéléré, l’excrétion plus importante des jeunes, la surmortalité infantile, l’effet shedding décuplé sur les injectés, les dangers de l’allaitement, la durée de l’effet dans le temps, l’augmentation de l’effet avec l’addition des doses injectées.

Pierre Kory et ce médecin du Middle West indiquent que « cet effet doit être exposé ! » ; ils se basent d’ailleurs sur l’article d’Hervé Seligmann et Spiro Pantazatos dont ils indiquent la source mais sans citer nommément ces deux scientifiques. Hélène Banoun, qui dit croire être la première à avoir publié les mécanismes et avoir démontré la plausibilité biologique du « shedding » a omis de mentionner  que d’une part, elle avait échangé sur le sujet avec le Dr Seligmann, et que d’autre part, le Dr Seligmann n’a pas démontré la plausibilité mais la réalité de cet effet « shedding ».

Ils exposent dans l’article : « Le piège mécaniste : « l’un des principaux problèmes de la science moderne est que les choses sont supposées ne pas exister, à moins qu’il n’existe un mécanisme reconnu pour les expliquer » ».

Dès lors que nous avons connaissance de cette faille dans notre psychologie, ne serait-il pas enfin temps d’accorder le crédit nécessaire à ceux qui, comme Hervé Seligmann, Elisabeth Eads, Patrice Taravel et Spiro Pantazatos sont des lanceurs d’alerte ?

Pareillement, combien a-t-il fallu de temps pour que les femmes soient entendues ? Pourquoi a-t-il fallu qu’une association se crée pour leur donner de la voix ?  L’article le dit clairement :  « de nombreuses femmes non vaccinées ont connu des changements menstruels ».

L’article pose : « Si vous observez un grand nombre de réactions mineures à un produit pharmaceutique, cela indique qu’un certain nombre des réactions extrêmes se produisent et inversement, si vous observez quelques réactions extrêmes, cela indique qu’un grand nombre de réactions mineures se produisent. »

Cette affirmation est extrêmement grave, car elle atteste d’une forme de complicité à censurer ou ignorer les lanceurs d’alerte dont les affirmations et données devraient à minima être analysées.

« Je pensais que l’avion serait un problème important mais je n’ai reçu que deux rapports de lecteurs. » - Dans un avion l’air est totalement renouvelé toutes les deux heures, ce qui renforce donc le shedding par une vérification négative.

 

3/ Les conséquences

Les conclusions de l’article sont éclairantes : « l’excrétion est bien réelle, varie d’une personne à l’autre, la plupart des personnes sensibles l’ont déjà compris. Le shedding est un phénomène réel et prévisible qui peut s’expliquer par des mécanismes connus propres à la technologie ARN »

Nous comprenons donc que ce phénomène est connu ! Malgré cela, la censure, l’omerta et le discrédit ont été portés sur les lanceurs d’alerte dans le silence de ceux qui se disent « résistants ». Pourquoi ? Quel est le prix qu’a payé et paye encore la population pour ce silence depuis le printemps 2021 ?

La conclusion qui s’impose ici et qui doit être diffusée à tous les vaccinés qui ont des effets indésirables est de limiter leurs contacts avec d’autres vaccinés le temps que la science puisse les guérir ou limiter cet effet shedding tandis que nous devons TOUS aujourd’hui nous soulever pour exiger l’arrêt immédiat de ces poisons qui, dès lors que nous allons jusqu’au bout des constats, ne semble viser que la réduction des populations.

 

4/ Conclusions et pistes de réflexion

De trop nombreux scientifiques talentueux ont été discrédités dans l’histoire, leurs découvertes cruciales ont même parfois été enterrées alors qu’elles auraient pu sauver des milliers de vies et éviter tant de souffrance.

Ne doit-on pas s’interroger sur le paradigme de la science, des relations entre scientifiques, de l’honnêteté intellectuelle pour que les scientifiques collaborent ensemble pour le bien commun avant leur image/carrière ? Plus largement, que doit-on penser de ces personnes qui stigmatisent, ignorent, censurent et pillent le travail de précurseurs ? Où nous mène un système entier gangréné de conflits d’intérêts ?

« C’est seulement en 1971 que ce très grand écrivain et penseur que fut Arthur Koestler entreprit de réhabiliter Paul Kammerer. [..] le conformisme bétonné du monde scientifique fit que celui-ci demeura imperméable à une vérité qui l’aurait ridiculisé [..] les scientifiques sont des êtres humains ni meilleurs, ni pire que les autres, qui n’ont pas plus, que les autres, envie de bousculer leurs routines et d’abandonner leurs confortables habitudes de pensée au premier coup de trompette lancé par un pionnier [..] une campagne de diffamation organisée par les défenseurs de la nouvelle orthodoxie, situation qui se reproduit avec une affligeante monotonie dans l’histoire des sciences » Pierre Lance Savants Maudits et Chercheurs Exclus pages 28-31

 

Il est plus que temps de changer le paradigme du regard populaire (les résistants aussi) qui idôlatre et s’infantilise (https://youtu.be/V1auNMpwgL8?si=csd7nuw6Ct_pf-D1).

Alors que tout indique que les institutions scientifiques sont corrompues, que l’on sait que le 1er outil utilisé pour corrompre un scientifique est l’égo (série Painkiller), et qu’ils sont responsables du désastre sans précédent du Covid et des injections poison, le chercheur est toujours évalué d’après son appartenance à une institution et ce, sans alternative, comme le serait une évaluation directe et objective de son travail, sans référence à un poste occupé.

Problème du costume vide (ou « problème de l’expert). « Certains professionnels ne possèdent pas d’aptitude qui les différencient par rapport au reste de la population, mais pour une raison inconnue, et malgré les résultats qu’ils obtiennent, ils passent pour des experts : psychologues cliniciens, psychologues, universitaires en économie, « experts » du risque, statisticiens, analystes politiques, « experts » financiers, analystes militaires, directeurs généraux, etc. Ils traduisent leur expertise par de belles paroles, un jargon, des mathématiques, et portent souvent des costumes chers. » N. N. T., Le Cygne noir, Incerto II, Les belles lettres, 2020, Glossaire, page 392-393.

 


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