16 septembre 2022
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Université d'été résistante : vendredi 16 septembre : matinée

Guillaume Zambrano : (0min) : expose sur les scandales de santé publique passés. Le Covid est un scandale politique plus que sanitaire. Il parle de la création de l'illusion d'une crise sanitaire et fait des parallèles avec d'autres exemples par la passé où on été crées, inventées des maladies. Il explique ce qu'est la corruption à travers la capture du régulateur. Big Pharma est le plus grand corrupteur qui met la main sur les politiques pour les faire travailler dans son intérêt. Il revient sur les milliers de morts que représente le scandale des opiacées et prononce le mot génocide. Il explique que ce n'est pas impensable dans le monde mafieux de l'industrie pharmaceutique. Connaissez vous la branche du droit qui s'appelle "conspiracy" ? elle étudie tout ce qui concerne les complots économiques. Il revient sur l'illusion de cette crise planifiée, créée de toutes pièces au travers des statistiques trafiquées. Il raconte comment les laboratoires oeuvrent à la dissimulation de tout ce qui peut porter atteinte à l'industrie pharmaceutique. La corruption de l'exécutif, du judiciaire et des médias est indispensable. La clause d'impunité pour une immunité totale est la preuve de la complicité judiciaire de l'état qui s'est lui-même prémuni d'une action en responsabilité en obligeant ces injections sous contrainte mais sans la caractère obligatoire. Il explique le "faisceau d'indices" pour établir le lien de causalité qui a pris plus de 20 pour être affirmer par une court européenne. L'ONIAM ne peut indemnisé si le vaccin n'était pas obligatoire. Maître Jean-Pierre Joseph : (28min40) confirme les décisions des cours d'appel à Valence et Rennes sur la présomption du lien de causalité lorsque les experts ne savent pas trouver la cause de la pathologie. La structure de notre système économique est un terreau fertile à la corruption dans ce marché particulier qu'est celui des brevets avec une exploitation maximum de 20 ans avant de tomber dans le bien public (générique). Maud Marian : (31min01) rappelle le changement de la définition de "pandémie" à l'époque du H1N1, la notion de bonne santé qui évolue, la notion de santé publique et le doute qu'il est permis d'avoir concernant les contrôles dont l'état à la charge. Invraisemblable que les sénateurs aient pointé du doigt les dysfonctionnements lors de la crise du H1N1, et que tout se soit aggravé. . Les enquêtes sénatoriales ne sont pas suivies d'effets pour les citoyens. L'administration ne fonctionne pas. le judiciaire non plus et ce sont des années de procédures pour des dommages qui ne sont même pas punitifs. Il y a inversion des valeurs, manipulation du droit et incapacité de la justice à prendre en charge les dossiers. Il n'est pas scandaleux que les entreprises veuillent faire du profit mais nier que le profit puisse entraîner la malhonnêteté n'est pas réaliste. Vincent Pavan : (48min01) : il revient sur le fait qu'il n'y ait eu aucune corrélation entre les simulations et la réalité. Tout a été décidé sur ces simulations. Notamment le confinement, l'article de Cauchemez et Fontanet, n'est pas d'eux et est totalement truqué. Encore pour la pass sanitaire. Ils ont refusé de donner leurs sources. Une plainte a été déposée pour faux et usages de faux. Cédric Villani aurait du voir cette fraude mathématique. Maud Marian : (1h04) le nombre de plaintes finira par interpeller les magistrats. La goutte d'eau fait déborder le vase, toutes les petites actions sont à regarder ainsi. Maître Brusa, la plainte de Maître Joseph, ...  David Guyon : (1h30) : "il n'est point de bonheur sans liberté et il n'est point de liberté sans courage" Périclès VeS. Il reprend la définition de la liberté "faire tout ce qui ne nuit pas à autrui" avec ces lois liberticides. La liberté collective est une dérive dangereuse. Il rappelle la peur, l'urgence, la propagande. La population ne doit pas assumer des choix politiques désastreux. Ce n'est pas l'information qui fait les médias mais les médias qui font l'information. Les injections forcées sont illégales et la population a été contrainte par la force étatique. il faut garder espoir, cela va prendre du temps. ce que nous vivons n'est pas normal, n'est pas juste n'est pas légal. Martine Wonner : (1h57) : revient sur son mandat de 5 ans. Elle avait interpellé dès les gilets jaunes par le mal être de la population. Bien qu'élue dans le parti de Macron, elle s'est très vite éveillée. En 2019 déjà la France avait été repérée comme ne respectant pas les doits de l'homme. Elle reprend le déroulé de la pandémie et le peu d'intérêts de ses collègues. Ignorée et insultée, elle aura tenté de soulever l'article 49.2 pour déposer une motion de censure. Elle évoque leur "toute puissance" : carrière, salaire, recette de la peur, manipulation, propagande, déstabilisation... Nous devons rester en lien et aller vers ceux qui n'ont pas compris qu'ils avaient perdu leur liberté.

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