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29 septembre 2023
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Stanislas Berton : « Face au totalitarisme mondialiste, que faire ? »

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Stanislas Berton pose très clairement le sujet dans le titre. Il entame sa conférence en indiquant que nous sommes dans une gravité absolue avec des problèmes qui se chevauchent : vaccin-poison, perte de notre souveraineté notamment face à l’OMS, surveillance généralisée qui s’installe (villes de 15 minutes où les citoyens seront limités en achat de vêtements et consommation de viande). Il poursuit sur la perversion qui s’installe et vise les enfants à l’école (masturbation prônée dès 3 ans, changement de genre à 4 ans). Enfin, la fraude électorale massive. En résumé, nous entrons dans une société perverse totalitaire.

Le projet est cohérent, David Rockefeller l’a confirmé. Si de tous temps, le pouvoir voulait s’afficher (pièces imprimées à l’effigie du roi), aujourd’hui il se cache. Ceux que nous pensons être des gouvernants, nos politiques, ne sont que des fusibles qui permettent au vrai pouvoir de se maintenir. Ainsi, malgré un changement dans le panorama politique, le pouvoir reste dans les mêmes mains et le monde reste le même. Il y a le déni des gens éduqués tandis que ceux qui auraient le pouvoir et le réseau pour contester sont neutralisés.

 

 

Qu’est-ce que le totalitarisme mondialiste ?

Il s’agit du contrôle des corps et des esprits des citoyens et des générations futures. Les citoyens pensent ne rien pouvoir faire, ne souhaitent rien faire ou se demandent ce qu’ils pourraient bien y faire.

 

Une guerre hors limite, invisible, dans l’ombre.

Elle se situe à deux niveaux : l’oligarchie contre les peuples d’une part et contre les États qui résistent (BRICS) d’autre part.

Agir n’est pas simple car les juridictions judiciaires sont sous contrôle. Pour agir il faudrait une masse critique qui ait compris la volonté de chaos mais les médias de masse protègent la mafia trans-nationale et maintiennent un grand nombre de citoyens sous emprise.

La guerre de 5ème génération est celle de l’information, c’est une guerre cognitive. Le cerveau des humains est le champs de bataille, c’est un véritable projet génocidaire.

 

Dans leur projet il y a la caste des maîtres, celle de leurs serviteurs et les indésirables, appelés « inutiles ».

L’école est contrôlée afin de ne pas donner aux générations futures les outils pour comprendre alors même que toute investigation sur le sujet mène aux mêmes conclusions et aux mêmes personnes.

 

Les médias sont justement décrits par Idriss Aberkane  « blanchiment d’informations en bande organisée ». Pour comprendre la manipulation, il convient de s’extraire du cycle de l’information, conçu pour capturer votre attention sur un point et orienter votre pensée, votre réflexion. Voyez comme parfois des sujets tournent en boucle. Être présent sur les réseaux est impératif pour s’informer tandis que sortir, lire, rencontrer des personnes, assister à des conférences est essentiel.

 

On peut agir simplement autour de soi en se positionnant dans une opinion différente, à l’occasion d’une conversation anodine en informant de sources d’informations alternatives. La propagande répète un mensonge mille fois pour qu’il devienne une vérité, il convient que nous répétions encore et encore. Nous ferons ainsi avancer la ligne de front.

 

La souveraineté

Nous basculons d’une souveraineté nationale vers une souveraineté supranationale. La monnaie numérique a pour objectif de suivre chaque citoyen et, programmable, elle contrôlera chacun d’eux. Ainsi, les dépenses pourraient-elles être limitées dans le temps ou par catégorie (limitation d’achat de viande, monnaie limité dans le temps d’utilisation…). Valérie Bugault confirme que le pouvoir appartient à ceux qui contrôlent la monnaie. En France, ceux qui ont le pouvoir de l’argent sont intouchables.

 

La famille

Typiquement, le totalitarisme vise à déposséder les familles de la santé, de leurs valeurs, de leurs enfants. Lorsque l’État a interdit aux médecins de soigner, cela aurait dû rencontrer une opposition massive mais « c’est passé comme une lettre à la poste ».

 

L’individu

L’État vise à devenir la figure d’autorité « parentale » et ainsi contrôler la santé, l’information, l’alimentation, l’éducation jusque dans l’intime et déchoir les parents des droits qui sont les leurs concernant leurs propres enfants. Les enfants sont ciblés à travers les écrans, il convient de les en protéger. La Suède, dans les écoles, revient au papier, abandonnant les écrans après avoir constaté qu’ils détruisent la capacité de concentration des enfants. Le clef du succès réside dans la capacité à endurer et différer le succès. Pas de récompense immédiate, c’est-à-dire tout l’inverse des réseaux sociaux et jeux vidéos).

Remettre en cause l’État revient à remettre en cause ses parents, c’est psychologiquement très compliqué. Ainsi, l’instruction à la maison est devenue très compliquée. Il existe cependant des alternatives comme des écoles hors contrat, par exemple l’école Sainte Odile à Colmar. https://www.ecolesainteodilecolmar.com/

 

 

Sexualisation des enfants

Stanislas Berton nous parle ici de la fenêtre d’Overtone ou comment faire admettre ce qui est inacceptable. https://www.dirigeant.fr/developpement-du-dirigeant/14956/ Dans les rôles traditionnels, la femme est la gardienne du foyer et l’homme le gardien de la cité. Leurs démissions respectives de ces rôles en tant que parent est dommageable.

 

Il nous appartient de refaire de la politique au sens de se mettre en groupe pour déployer une capacité collective qui, dans le monde réel, qui puisse faire bouclier. Un véritable groupe a plus d’impact que la somme des individus qui le représente.

 

Spiritualité

Notre société nie le surnaturel pour ne préférer que du matérialisme. « Si Dieu n’existe pas alors tout est permis ». Si la spiritualité est individuelle, l’organisation de la religion (quelle qu’elle soit) est collective (règles, jours fériés, célébrations…). Vouloir une religion à la carte tend à détruire le collectif et la puissance qui lui est propre.

Les erreurs politiques sont théologiques : promettre le paradis sur terre est typique du mondialisme et du transhumanisme.

Sans le collectif, nous tombons dans une rivalité mimétique, une guerre des uns contre les autres, la division de la famille. Ceci est le modus operandi du Diable (diabolos : celui qui divise). L’État a besoin de diviser la société pour asseoir son rôle d’arbitre ce qui nous maintient dans le triangle de Karpman.

https://www.psychologue.net/articles/les-mecanismes-relationnels-a-travers-le-triangle-de-karpman

 

          

 

Nous n’avons jamais eu autant de preuves du Diable cependant que nous n’avons jamais vu autant de déni et de négation. Satan singe Dieu, il est le père du mensonge et veut littéralement tuer l’image de Dieu. Il s’attaque à ce qu’il y a de plus pur, nos enfants. L’homme est attrapé par son orgueil à se prendre pour Dieu.

Le relativisme est dangereux au sens où il y a des choses sur lesquelles on ne doit pas transiger : la trahison des peuples par les politiques est intolérable, les médecins qui empoisonnent est inadmissible, le sexe entre enfants et adultes est à proscrire totalement et absolument.

 

En conclusion, le combat contre le totalitarisme demande de vrais soldats, cette guerre ne doit pas être prise à la légère, l’enjeu est d’une extrême gravité. L’effondrement économique est à venir, le paiement des dettes sera réclamé. L’effondrement des politiques viendra de leurs trahisons. L’effondrement mental est à envisager pour bon nombre de citoyens quand la vérité sera révélée. Notons que 80% de la planète fait un cordon sanitaire autour de l’Occident qu’ils regardent comme un asile de fous. Nous nous affichons comme allant vers le progrès alors que nous courrons à l’effondrement.


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