Hervé Seligmann analyse les données de dossiers d’assurances maladies tchèques recueillies dans un article affirmant que la mortalité des plus de 50 ans est double chez les non-injectés.
Il relève un paradoxe arithmétique duquel il déduit que possiblement les morts injectés ont été pour partie classés en statut vaccinal non-injectés.
Il souligne que la mortalité des non-injectés est proportionnelle aux injections tandis qu’elle ne l’est pas pour les injectés.
Enfin, il retrouve une corrélation entre l’injection des plus de 5 ans et la mortalité des moins de 4 ans.
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