La Peste de la corruption a connu un succès instantané aux États-Unis d'Amérique. Il reprend les tricheries et la corruption que cette virologue, diplômée de biologie moléculaire a rencontrées durant ses 35 années de carrière, contre lesquelles elle s'est battue, et le déferlement d'attaques qu'elle a subies. Elle raconte ici son histoire, sa vie, prenant le lecteur à témoin comme elle le ferait devant un jury. La publication de ce livre est, pour Judy Mikovits, la seule liberté qui lui reste face à des tribunaux, des médias, des politiciens, des scientifiques corrompus, vendus ou réduits au silence. Vous trouverez ci-dessous un résumé, des extraits de son livre de 294 pages. Vous apprendrez ses découvertes sur les vaccins, le système immunitaire, le lien entre vaccination et autisme, le lien entre les modification génétiques sur les animaux et le cancer, la corruption au tribunal du vaccin aux États-Unis mais aussi les découvertes sur la suramine, le cannabis et le deutérium. Son livre est publié aux éditions Le Jardin des Livres. N'hésitez pas à l'acquérir, il renferme toutes les sources.
« Mon désir était de sauver la vie des gens. C'est là que je puise ma plus grande satisfaction »
Les symptômes sont : nausées, sensibilité à la lumière, perte d’équilibre, épisodes de paralysies, difficulté à soulever ses membres, problèmes respiratoires, maux de tête, douleurs lancinantes, insomnies, difficultés de concentration et troubles de la mémoire… Les malades peuvent entrer en dépression et vivent comme en hibernation.
Le SFC a débuté entre 1934 et 1935 à Los Angeles : en plein épidémie de poliomyélite, 198 médecins, infirmières et techniciens médicaux furent touchés. Ils avaient tous reçu un vaccin anti-poliomyélite conservé au moyen de thimérosal, un dérivé du mercure. Le SFC ne toucha que le personnel hospitalier et aucun patient ? Quel indice peut-on y voir ?
Ces victimes furent indemnisées à hauteur de 6 millions de dollars en 1939 (équivalent de 100 millions de dollars de nos jours). Tout tend à prouver que c’est la fondation Rockefeller qui finança ces indemnités après avoir partiellement financé la première utilisation de tissus de souris.
Dans son livre retraçant l’histoire de la poliomyélite et publié en 1971, le Dr Paul consacre un chapitre entier à cette maladie. En 1953, lors d’une réunion organisée par l’OMS en Ouganda, le Dr G. Stuart soulevait la possibilité de contamination du vaccin par un virus se trouvant dans les cerveaux de souris. Ce virus, bien que latent pour la souris pouvait devenir pathogène pour l’humain, entraînant des réactions graves mettant en jeu le système nerveux central et induisant une encéphalomyélite démyélinisante.
En 2006, le Dr Robert Silverman a publié des recherches concernant la responsabilité d’un rétrovirus dans le développement d’un cancer agressif de la prostate : Silverman et ses collègues prirent de l’ADN de trois patients différents pour créer, à la manière de Frankenstein, un clone moléculaire infectieux qu’ils baptisèrent VP62. Leur but était de lâcher le VP62 afin qu’il supplante le XRMV et fasse ainsi disparaître la responsabilité du XMRV. Ils venaient de créer quelque chose qui n’avait jamais existé dans la nature, des clones de virus Frankenstein dont le développement était 15 à 20 fois plus rapide que le XRNV naturel.
Plusieurs études concernant le XRMV constatent une infection chronique réplicative dans les tissus mais pas dans le sang. Le virus disparaît du sang relativement rapidement mais se réplique à des niveaux détectables lors d’une stimulation immunitaire, comme celle d’un vaccin. En d’autres termes, un vaccin peut réveiller un monstre endormi. Judy et Franck avaient trouvé un agent pathogène responsable de la chaîne de dysfonctionnement immunitaire à l’origine de l’EM/SFC mais aussi que cette même famille de rétrovirus aurait pu donner naissance à l’épidémie d’autisme. Cette découverte, confirmée par d’autres études, faisait l’effet d’une bombe ! Le Dr Antony Fauci, le Dr Francis Collins – directeur du NIH (National Health Institute)– ne comptaient pas laisser cette crise, de plus grande ampleur que le Sida, se produire. Judy Mikovits aura subi le même traitement qu’Andrew Wakefield, tandis que Jeff Bradstreet et Kuan-Tech Jeang moururent dans des circonstances mystérieuses. Le Dr Ian Lipking fut employé pour réduire à néant cette découverte.
En 2009, Judy Mikovits publie dans Science les preuves de la présence de rétrovirus (XMRV) chez 67% des personnes atteintes d’EM/SFC contre 4% chez les bien portants. L’acte de stimulation immunitaire par un vaccin est susceptible de provoquer la réplication du virus VIH qui échapperait au contrôle du système immunitaire. Elle continue ses recherches notamment sur la transmission de la mère à l’enfant de ce virus. Elle fait un parallèle entre l’EM/SFC et la régression autistique après vaccination. Le simple fait de vouloir répondre aux préoccupations de la communauté des autistes au sujet des vaccins est considéré comme de la trahison.
En 2011, la revue Frontiers of Microbiology repose la question : « les produits les plus répandus comportant des tissus de souris sont des vaccins […] Il est possible […] que le virus ait été transmis à la population humaine par voie de vaccination. »
Judy Mikovits : « Non seulement nous avions découvert un nouveau rétrovirus, mais nos collègues affirmaient qu’il s’était propagé dans la population par le biais des vaccins et avait probablement infecté plus de 10 millions d’Américains. » Ceci était une catastrophe financière massive pour les entreprises pharmaceutiques mondiales. Cette même année, il fut découvert que le XMRV et le clone assassin VP62 avaient la capacité de se diffuser dans l’air ! Tous les scientifiques et laborantins étaient positifs.
Plusieurs études ont confirmé cette transmission mais pire encore, elles révèlent que la transmission est silencieuse. Cela signifie que le système immunitaire n’est pas alerté pour combattre l’envahisseur. Une fois installés dans le corps, ces rétrovirus modifient l’expression des gènes de manière imprévisible, favorisent le cancer ou peuvent se combiner avec d’autres agents pathogènes pour créer de nouveaux monstres.
Ces cultures mélangeant tissus humains et animaux brisent les barrières que la nature a érigée pour empêcher le transfert de pathogènes d’une espèce à l’humanité et vice versa.
Les questions étaient dérangeantes et les recherches de Judy Mikovits pointaient en direction de cette possibilité, mettant à jour les terribles erreurs commises des décennies plus tôt et mettant en péril la santé de l’humanité.
Judy Mikovits refuse de retirer ses articles, de cesser ses recherches et affronte les menaces qui lui sont faites de détruire sa carrière. Elle voit son travail discrédité, elle-même décrédibilisée ; elle est arrêtée, emprisonnée durant 5 jours et rendue inemployable. Ses carnets de recherches lui sont retirés. Ce sont eux qui lui auraient permis d’apporter la preuve du mobile concernant les attaques qu’elle subissait.
En 2013, de nouvelles recherches confirment la présence de rétrovirus, cette fois pour 85% contre 6%, mais la conclusion tirée est qu’on ne peut établir la significativité des résultats et qu’aucune recherche ne sera poussée plus loin. Les études sont censurées et interdites. Circulez, il n’y a rien à voir !
« la science est corrompue par l’influence de l’argent des entreprises. Cette corruption constitue l’origine immédiate de notre mauvais état de santé (épidémie d’obésité, maladies neurologique, autisme, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, troubles mentaux chez les jeunes…). Autant de pathologies qui conduisent, selon certains, à une éradication voire une extinction massive de l’humanité »
Judy Mikovits a travaillé sur la recherche de l’utilisation de l’hormone de croissance bovine pour augmenter la production de lait. Elle devait garantir la sécurité et le fait que cette hormone n’affecterait pas les cellules humaines. Elle constata cependant une différence significative et la production d’autres molécules ayant probablement un impact sur la communication avec les autres cellules. Cette hormone ne passait donc pas le contrôle de qualité biologique. La fabrication devait être arrêtée pour pouvoir établir son innocuité. Toutefois, des entreprises comme Monsanto commercialisaient déjà des produits similaires. Son responsable exigea qu’elle lui remette son carnet de recherches.
En septembre 2015, des chercheurs ont publié des résultats concernant leurs recherches sur le lien entre la présence du virus de la leucémie bovine et les cancers du sein. L’utilisation de l’hormone de croissance introduite dans les années 1980 aurait-elle pu modifier l’expression du virus latent de la leucémie bovine jusqu’alors silencieux dans le génome bovin ? Judy Mikovits, qui avait constaté sans équivoque l’altération cellulaire, réfléchit aux effets sur ce virus pour les vaches traitées aux hormones. Aujourd’hui le possible lien entre cancer du sein et leucémie bovine est redouté !
En 2018, Judy Mikovits reçoit le prix « Dr Jeff Bradstreet Courage in Medecine Award ». Judy Mikovits avait maintenu sa publication dans Science, avait été licenciée, emprisonnée, mise en faillite, la rétractation avait été forcée et la justice restait sourde à ces revendications. Elle témoigne cependant de la chance qu’elle a eu de rencontrer de nombreux « renégats », qui lui ont apporté leur soutien. Judy avait survécu à la « red pill » (pilule rouge de Matrix) mais ce ne fut pas le cas de tous.
En 2015, la conférence sur l’autisme réunit Andrew Wakefield, Del Bigtree, Polly Tommey, Jeff Bradstreet, … Avec les révélations de William Thomson, cet éminent scientifique du CDC qui avait lancé l’alerte sur les dissimulations réalisées afin de cacher les liens entre vaccin ROR et autisme, l’enthousiasme était palpable. « Nous attendions que William Thomson témoigne devant le congrès, protégé par son statut de lanceur d’alerte et pensions avoir compris comment intervenir efficacement en faveur des centaines de milliers d’enfants vaccinés. » William Thomson ne témoignera pas devant le Congrès et Judy Mikovits ne reverra jamais Jeff Bradstreet vivant. Il fut retrouvé mort, une balle dans la poitrine quelques semaines plus tard.
Judy Mikovits relate les pressions, le harcèlement, la surveillance, sa fuite organisée in extremis, ces personnes qui la suivaient, les décès troubles, les perquisitions… le monde qui bascule soudainement avec la prise de conscience difficile qui oblige à remettre en question ses croyances en la recherche, la justice et la foi en l’humain. « Un beau matin nous découvrons un virus fantôme qui déclenche une mystérieuse épidémie et le lendemain le gouvernement nous perquisitionne. Sans doute existe-t-il un lien mais nous ne le saurons que dans 10 ou 20 ans ». Les morts suspectes parmi les scientifiques gouvernementaux ne sont pas un phénomène nouveau. Elle se remémore sont travail au laboratoire P3 de Fort Detrick (1983-1986). Elle avait déjà constaté des falsifications de données, des suicides de personnes honnêtes qui ne peuvent supporter la corruption et accepter de falsifier leurs données ainsi que des morts plus que suspectes.
L’avocat de Judy Mikovits est Mark Hugo. À un rythme exténuant, il a lutté contre les sociétés pharmaceutiques, les producteurs de vaccins et les pollueurs. Il s’exposa à un niveau de méchanceté qu’il n’aurait pas cru possible. L’affaire de Judy Mikovits était la suivante : « l’utilisation de tissus animaux pour cultiver des virus destinés à la fabrication de vaccins et autres produits biologiques, transférant ces virus animaux aux êtres humains chez qui ils provoquent une série de maladies : autisme, EM/SFC, Alzheimer, cancer, qui se caractérisent par un affaiblissement des fonctions du système immunitaire ».
Dans les années 1980, pour ne pas tuer un trop grand nombre d’enfants au même endroit, les doses de vaccin DTC étaient réparties sur tout le territoire, les enfants morts mais aussi ceux ayant subi des lésions cérébrales (dont le nombre était encore plus élevé) restaient ainsi des cas isolés, et un mystère pour les parents et les autorités sanitaires locales. Il fut espionné par ces entreprises comme certains de ses confrères, de manière tout à fait illégale que les auteurs du système judiciaire n’ont pas prévu dans les textes.
Les dossiers de Mike étaient lourds à porter, et celui de Judy n’arrangea rien. Il finit par être puni pour l’exemple et radié du barreau. Il avait affronté les grands et les puissants qui voulaient montrer à tous que nul n’a le droit de les attaquer sans être réglo dans ces jeux de pouvoir.
Voici deux choses qui ne peuvent être vraies en même temps : 1/ les vaccins sont aussi sûrs que de l’eau sucrée – 2/ les vaccins comportent un risque tel que nul ne peut être tenu pour responsable du moindre préjudice. La loi de 1986 relative aux préjudices causés par les vaccins pour enfants, exonère les entreprises pharmaceutiques de toute responsabilité pour les lésions ou décès causés par les vaccins pédiatriques et a créé un tribunal spécifique, « le tribunal du vaccin ». Cette loi est radicalement différente de l’action en responsabilité. L’entreprise ne peut être contrainte à fournir des documents que par la juge, le cas jugé ne peut en aucun cas faire jurisprudence pour une affaire ultérieure et l’information est cachée aux autres parents qui souhaitent déposer une demande similaire. Si les vaccins étaient sans danger, ce système aurait-il une raison d’être ? A-t-on créé un tribunal des sodas ? La vérité est que les vaccins sont si dangereux que les fabricants étaient confrontés à des demandes de dommages 200 fois supérieurs à leurs ventes totales. Ce tribunal qui s’attendait à recevoir quelques 150 demandes annuels en reçut plus de 900.
Depuis plus d’un siècle, avec les vaccins, nous stimulons le système immunitaire des individus sans aucune surveillance de la réponse immunitaire. Chaque intervention accroît la probabilité d’un évènement indésirable. En augmentant les vaccins, on augmente considérablement le risque d’effets indésirables. Par ailleurs, les données d’analyse sur les sels d’aluminium peuvent être interprétées soit comme un biais parental (les enfants sont mieux pris en charge et diagnostiqués), soit il y a un biais inconnu, soit effectivement le thimérosal (mercure) est responsable. Plusieurs scientifiques de renom craignent que l’ADN des cellules humaines et animales utilisées pour la fabrication des vaccins intègre l’ADN de l’enfant vacciné et provoque des dégâts. Nous ignorons tout de l’injection d’ADN humain dans le sang des jeunes enfants. Quid des rétrovirus latents ? Quid d’un réarrangement génétique reconnu cancérigène ? Des preuves solides existent qui confirment la nocivité de nombreux produits chimiques utilisés dans les vaccins. Il est intéressant de noter que les familles de militaires doivent se soumettre aux vaccinations et beaucoup affirment que le taux d’autisme et d’autres infections neurologiques sont bien plus élevés que dans le reste de la population.
Fort Detrick dut abandonner la recherche sur les armes biologiques après la déclaration de Nixon en 1969. Il devint un laboratoire de recherche sur le cancer dans lequel Judy Mikovits travailla avec Franck Ruscetti au début des années 1980. La carte des décès liés au cancer dans les environs de Fort Detrick marquait d’un point noir chaque maison ayant connu un décès lié au cancer. La carte était quasiment noire. Certaines maison avaient vu le décès du papa, de la maman et de leurs enfants. Des plaintes ont été déposées, la fameuse Erin Brokovich est même intervenue. Elle furent toutes rejetées jusqu’à la Cour suprême. La seule réponse à ces dénis de justice sont que quelqu’un très haut placé intervenait dans la chaîne de commandement.
Judy Mikovits, en tant que scientifique estime que son travail consiste à découvrir la vérité et à la publier. Sa thèse a porté sur le VIH infectieux. Si ces découvertes avaient été publiées plus tôt, cela aurait évité beaucoup de contaminations et de morts. Elle déplore les terribles erreurs du CDC. Bayer et 3 autres sociétés ont commis des malversations. Le sang transmis aux hémophiles était contaminé (SIDA et hépatite B). Il aura fallu deux décennies aux États-Unis et trois en Angleterre pour prendre des mesures, les gouvernements s’étant révélé incapables d’enquêter sur ces problèmes. Puis 15 ans de plus de procédures afin que les victimes soient reconnues et indemnisées pour plus de 600 millions de dollars par ces sociétés pour avoir fabriquer des produits dangereux. Les autorités de réserves de sang avaient contesté l’idée que le Sida puisse être transmis par le biais de transfusions sanguines, minimisé les preuves initiales et refusé la mise en place de procédures de filtrage. Les mesures n’ont été prises que lorsque des preuves accablantes ont été révélées.
La société Cerus mit au point la technologie du système de sang INTERCEPT qui permettait de purifier le sang à l’aide d’un dispositif d’éclairage aux UVA (lumière ultra-violette A). Ceci était vraiment révolutionnaire. Le chiffre d’affaires de cette société indique une forte augmentation de ces affaires mais il semble qu’ils aient préféré cautionner les mensonges du gouvernement – les réserves de sang sont totalement sûres – plutôt que de se retrouver perquisitionnés par des agents gouvernementaux. Pourquoi une entreprise gagnerait des millions de dollars pour veiller à la sécurité des réserves de sang si celles-ci étaient saines ? La technologie de Cerus peut sauver des vies mais cette entreprise est criminelle dans sa dissimulation de la vérité sur la contamination par des rétrovirus animaux dérivés de laboratoires et des agents microbiens.
Au début de son parcours Judy était partisane de la propagande scientifique en matière de vaccins. Comme beaucoup d'« antivax », elle a commencé de la même manière. Émettre une question, un doute et voir s’ensuivre une réaction brutale. C’est ce qui arriva à Judy quand elle dit dans une émission télévisée qu’un rétrovirus pouvait être responsable de l’EM/SFC et de l’autisme, que toute stimulation immunitaire pouvait entrainée une réplication incontrôlée d’un virus silencieux et la propagation dans tout l’organisme. Elle allait comprendre comment l’industrie pharmaceutique était intervenue dans la législation pour s’assurer qu’aucun argument solide ne serait avancé contre les vaccins, présenté comme un exemple éclatant de progrès scientifique, et qu’aucune question ne pourrait être posée dans un tribunal ordinaire. Le tribunal du vaccin avait été créé dans le but d’accélérer le processus d’indemnisation des familles. Le magistrat en chef spécial de ce tribunal est comparable au juge de la Cour suprême. Finalement les promesses ne furent pas tenues. À la question sur le lien vaccin/autisme, ce juge répondit : « le[s] juge[s] s’appuie[nt] sur des informations… leur décision n’est valable que dans la mesure où les informations dont ils disposent sont correctes ». Qui contrôle les informations fournies au tribunal ? Toutes les données attestent d’un lien récurrent entre le nombre de vaccins administrés et le risque de développer un problème neurologique. Judy, à la demande de plusieurs avocats chevronnés travailla en tant que témoin expert au tribunal du vaccin. Outre le fait que les vaccins contiennent une multitude d’ingrédients, ils correspondent à l’injection d’ADN humain et animal, pouvant contenir un virus latent mais aussi un réarrangement génétique. Le risque devrait être étudié tout comme la relation entre les réponses immunitaires aux vaccins et les maladies auto-immunes. Les mélanges de tissus humains et animaux sont injectés à des êtres humains. Cela contourne leur défenses traditionnelles comme la décomposition des pathogènes par l’acide gastrique. Tout ceci est corroboré par la science. Pourtant personne n’admet que les vaccins constituent une immunothérapie à grande échelle dont on ignore les effets sur la population. Le tribunal n’a pas souhaité entendre le point de vue de Judy Mikovits, n’a reconnu ni ses diplômes universitaires ni son parcours pourtant impressionnant et a finalement refusé de la payer pour les centaines d’heures de travail qu’elle avait réalisées.
Le Dr Andrew Zimmermann ; expert médical pro-vaccins de renommée mondiale et qui avait certifié que les vaccins ne provoquaient pas l’autisme a signé une déclaration retentissante : « J’ai expliqué que dans un sous-ensemble d’enfants, la fièvre induite par les vaccins et la stimulation immunitaire ont effectivement engendré une maladie cérébrale régressive présentant des caractéristiques de troubles du spectre autistique… Oui, dans certaines circonstances, les vaccins peuvent causer l’autisme ». Il fut promptement congédié !
En 2007, le nombre d’enfants autistes était estimé à 1 million dont 30%, soit 300 000 enfants, souffraient de dysfonctionnement mitochondrial. Le Dr Richard Kelley, expert en la matière, confirme qu’une série de vaccins administrés est la cause immédiate de la régression autistique, les vaccins réduisant les capacité de ces mitochondries à fournir des quantités adéquates d’énergie au cerveau. En 2018, le nombre d’enfants autistes est évalué à 1,8 million.
Les zoonoses représentent 60% des maladies infectieuses connues et au moins 75% des maladies infectieuses émergentes (source CDC). Voici quelques exemples de ces maladies : anthrax, grippe aviaire, dengue, Ebola, maladie de Lyme…la plus grande étant le VIH-Sida. Le journaliste Edward Hooper a interviewé plus de 600 personnes (A journey to the source of HIV and Aids). Il en résulte que le virus du VIH-Sida serait la conséquence d’essais vaccinaux effectués au Congo belge entre 1957 et 1960 où plus de 500 chimpanzés communs et bonobos ont été tués afin d’utiliser leurs cellules rénales pour produire un vaccin oral contre la polio. Judy Mikovits pense que l’utilisation de tissus animaux, pas seulement des chimpanzés, est de nature à contaminer l’humain avec des virus qui sont d’abord latents jusqu’à une stimulation immunitaire. Elle donne pour exemple la polémique sur le virus SV-40 (virus samien 40) présent dans les vaccins antipoliomyélite entre 1950 et 1960. Il est scientifiquement prouvé que le sexe anal et le déchirement des tissus qui s’ensuit favorise l’activation du système immunitaire. De même, l’utilisation de drogues récréatives. Le virus fut souvent retrouvé dans des cellules cancéreuses apparues quelques dizaines d’années après vaccination ou le virus de la leucémie bovine dans des tissus cancéreux du sein.
Cela ne se limite pas au vaccin antipoliomyélite car chaque vaccin est cultivé dans des tissus animaux (singe, souris, oiseaux et vache). Les autorités médicales présument que nous sommes assez forts pour lutter contre ces virus contaminants. Judy Mikovits estime que nous avons tiré des milliards de balles de munitions biologiques sur l’espèce humaine et que c’est le comble de l’arrogance que de croire que nous n’avons causé aucun dommage.
Pour Judy Mikovits, deux concepts prônés sont fondamentalement contradictoires : 1/ s’assurer que notre nourriture, notre air et notre eau sont le plus possible exempts de polluants et d’agents pathogènes ; 2/ la conviction que nous devons renforcer notre système immunitaire à l’aide d’agents pathogènes affaiblis ou morts. L’usage excessif de ces deux concepts produit des effets tragiques et pervers.
En vivant dans un environnement sain avec un régime alimentaire adéquat, notre système immunitaire se développe naturellement. En revanche les vaccins contournent l’immunité critique comme celle de la peau ou de l’intestin. Nous ignorons ce qui se passe en cas d’injections simultanées de plusieurs agents pathogènes différents. Il ne suffit pas de nous protéger des microbes mais il convient que notre système immunitaire doit être suffisamment fort pour vaincre les microbes et parvenir à un état d’équilibre avec eux.
« … au fil des ans, il est apparu qu’un hôte sain n’est pas exempt de microbes et ne combat pas toujours les germes mais peut, au contraire, vivre en symbiose avec certains d’entre eux », War and Peace between microbes, novembre 2009.
Ainsi a-t-il été découvert qu’une exposition naturelle comme la rougeole procure non seulement une immunité à vie mais aussi un réglage du système immunitaire qui diminue le risque de développer certains cancers à un âge plus avancé.
Judy Mikovits a travaillé sur ce virus à Fort Detrick entre 1992 et 1994 dans un laboratoire de biosécurité de niveau 4. Le CDC indique qu’Ebola a été découvert en 1976 en Afrique centrale, que le virus existait bien avant ces épidémies et que la chauve-souris en serait la source. Faut-il croire que les Africains n’ont pas contracté ce virus pendant des milliers d’années de chasse ? Judy Mikovits pense que ce virus vivait dans le corps des Africains jusqu’à ce que nous fassions quelque chose qui a perturbé l’équilibre de leur système immunitaire. Des campagnes de vaccination distinctes ont eu lieu avant les épidémies d’Ebola. Le CDC a confirmé l’ « émergence de poliovirus dérivés de souches vaccinales lors de l’épidémie d’Ebola ». En termes clairs, il convient de comprendre qu’à cause de l’épidémie d’Ebola, les vaccins antipoliomyélite n’ont pu être administrés, ce qui a favorisé la propagation des virus de la poliomyélite présents dans les vaccins. Nos vaccins génèrent de nouveaux virus et dans des régions pauvres et démunis, où le système immunitaire est faible et affaiblit pas de nombreux vaccins, nous menons ces personnes à contracter des maladies virales graves – Ebola, VIH – Zika. Judy Mikovits pense que le cœur des ténèbres ne repose pas dans la jungle africaine mais dans les laboratoires de recherches.
Un aparté de Judy Mikovits concernant les recherches de Petra Dorfsman concernant le Deutérium, un isotope naturel qui joue un rôle biologique important. L'eau appauvrie en deutérium est utilisée en complément de la chimiothérapie traditionnelle. Le deutérium agit comme facteur de croissance et de transformation de tous les virus y compris les rétrovirus et affecte le fonctionnement des mitochondries. Les résultats de la consommation d’eau appauvrie en deutérium pour Judy Mikovits furent spectaculaires. Les mitochondries sont la centrale électrique du corps, elles fournissent l’énergie aux cellules. Les dépolluer revient à décupler l’énergie de toutes les cellules du corps. Il s’agit là d’épigénétique, une véritable symphonie entre notre environnement et nos gènes.
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Découvert en 1987, le système endocannabinoïde est l’un des plus importants systèmes de l’organisme. On l’appelle le superordinateur qui régule l’homéostasie dans le corps. Ces molécules (cannabinoïdes) et leur récepteurs régulent diverses fonctions (appétit, douleur, inflammation, thermorégulation, contrôle musculaire, métabolisme et réponse au stress). Le cannabis possède des propriétés anticonvulsives, antioxydantes, antidépressives, anti-inflammatoires. Le lait maternel en est une source abondante. À cause de la censure et de la corruption, de nombreuses études ont été occultées. Le cannabis est un puissant détoxifiant des métaux lourds.
Dans une découverte récente, il a été démontré que le cerveau est directement relié au système immunitaire par des vaisseaux dont on ignorait l’existence. Cette découverte a des répercussions gigantesques sur l’étude et le traitement des maladies neurologiques. Ce point est capital. S’il est largement admis que les vaccins peuvent perturber le bon fonctionnement du système immunitaire, on découvre que le cerveau étant lié au système immunitaire, les réactions aux vaccins l’affectent donc et fait voler en éclat le postulat que le cerveau était protégé. Le cannabis peut jouer un rôle vital, car il apaise l’inflammation du système nerveux, favorise la signalisation cellulaire et rétablit l’équilibre du système cannabinoïde.
La suramine est utilisée depuis plus d’un siècle et figure sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS (liste des médicaments les plus sûrs et efficaces). Les travaux du chercheur Robert Naviaux ont donné de très bons résultats sur les gamma-rétrovirus, le méthylation et les défauts mitochondriaux. Suramin treatment of autism clinical trial update (2016). La suramine a atténué tous les symptômes fondamentaux de l’autisme : améliorations significatives sur le plan du langage, de l’interaction sociale et de l’expression d’intérêt. La quantité préconisée est inférieure à 5% de la dose administrée en toute sécurité depuis 75 ans. Le problème véritable réside dans la désuétude du brevet. La société Bayer devrait créer une molécule légèrement différente pour pouvoir la commercialiser. La suramine reste inaccessible aux enfants en souffrance.
Si nous parvenons à rétablir le fonctionnement optimal des mitochondries grâce à l’eau appauvrie en deutérium, à réduire l’inflammation avec le cannabis et à envoyer un signal clair grâce à un composé comme la suramine, nous ouvririons peut-être la voie à la guérison de nos maladies chroniques les plus sévères.
Judy Mikovits travaille aux côtés de Robert Kennedy Jr, qui a obtenu l’aveu du gouvernement fédéral qu’aucune étude sur la corruption dans le domaine de la médecine n’a jamais été réalisée en dépit de la loi de 1986 alors que cette loi exigeait qu’un rapport soit soumis au Congrès tous les deux ans pour certifier la sécurité du calendrier de vaccination. Pendant 36 ans les agences de santé ont failli. Aucun rapport ni sur les vaccin ni même sur un seul vaccin !
Le fléau de la corruption est vaste et recouvre de nombreux domaines de notre existence scientifique, médicale et politique. Les sociétés pharmaceutiques ont détourné les lois relatives aux vaccinations et les médias corrompus ont empoisonné l’esprit du public.
Le public ne se pose pas la question élémentaire de savoir si les vaccins sont aussi sûrs que l’eau sucrée ni pourquoi les sociétés pharmaceutiques bénéficient d’une immunité financière absolue et de la protection d’un bataillon d’avocats rattachés au ministère de la Justice américaine.
Les lobbyistes des entreprises pharmaceutiques sont plus nombreux que au Congrès que tous les membres et sénateurs réunis tandis que ces entreprises sont les plus grands donateurs du Congrès américain. Elles soudoient les médias par l’achat massifs d’espaces publicitaires.
Le découragement du public face à une telle puissance juridique, financière et politique est compréhensible. Maintenant que vous êtes au courant, joignez vos efforts à ceux qui, comme Judy Mikovits, luttent et vous ferez partie de la solution.
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