Nous avons rencontré le Professeur Christian Perronne à son hôtel à Luxembourg. Anne-Marie Yim l'avait invité à Luxembourg afin de faire une conférence promotionnelle de son dernier livre Les 33 questions auxquelles ils n'ont toujours pas répondu.
Il a accepté de répondre aux questions des Dépêches Citoyennes et certains qui assistaient à l'interview (ici). L'accueil fut tout autant chaleureux à son arrivée en gare de Luxembourg qu'à l'hôtel où une vingtaine de personnes étaient venues assister à cette interview. Le professeur Perronne est humble, disponible, patient et à l'écoute de chacun.
NB : en italique, quelques addendums
Question n°1 :
D. C. : « Les échantillons de tests PCR réalisés dans les laboratoires privés à Luxembourg et qui se sont avérés positifs ont été testés de nouveau immédiatement après par le laboratoire de référence nationale le LNS. 20% seulement des tests PCR ont été confirmés positifs. Avez-vous une explication ? »
Pr Christian Perronne : « Dans le monde entier, les tests ont été conçus pour créer de fausses vagues épidémiques. Ils ont été calibrés de façon à être positifs. La PCR ne doit jamais être faite en dépistage de masse sur une population saine et sans symptômes, ce que confirmait le créateur de la PCR, Kary Mullis. Les seuls chiffres fiables sont ceux de la première vague durant laquelle il n'y avait pas de tests PCR. Beaucoup de gens sont morts par refus de traitement. »
À savoir : tout test a un taux d'erreur. Celui-ci doit être adapté au phénomène mesuré. Quand l'erreur est d'une grandeur comparable à celle du phénomène, le test n'est pas adapté pour mesurer ce phénomène. Par exemple : si le taux d'erreur du test PCR développé pour la détection de la Covid est de 4% et que la fréquence de contamination réelle dans la population générale est de 1%, alors sur 100 test il y aura 5 positifs dont 4 seront des faux positifs. Cela revient à un taux de 80% de faux positifs. Si le test est appliqué aux seules personnes présentant des symptômes parmi lesquelles la fréquence de Covid serait de 20% ou plus, alors une erreur de 4% devient assez négligeable et le test est alors adapté comme outil aidant à confirmer le diagnostic du médecin.
Question n° 2 :
D. C. : « Qu'en est-il de la collecte des données ADN récoltées par les tests PCR ? »
Pr C. P. : « C'est possible, je n'ai pas suivi mais je sais qu'un célèbre homme politique français a refusé le test. »
Question n° 3 :
D. C. : « Dans la préface que vous avez écrite pour le livre de Robert F. Jr Kennedy, vous faites le constat des sommes faramineuses versées par Big Pharma pour faire de la désinformation scientifique et indiquez qu'elle remonte à plusieurs décennies. Vous indiquez, au sujet de la maladie de Lyme, les raisons militaires, politiques et les énormes conflits d'intérêts. Vous parlez de gigantesque manipulation mondiale. On connaît le rapport du Sénat au sujet du H1N1. Cela dure depuis des années : est-ce que des choses ont été mises en place pour lutter contre cela ou a-t-on regardé sans que personne ne fasse rien ? »
Pr C. P. : « Il faudrait faire un grand ménage, ces gens-là sont protégés par les politiques et les milliardaires. Le peuple est plus nombreux et si tout le monde agit et descend dans la rue de façon pacifique... Si les gens s'éveillent, il suffit de dire non. Il faut que le peuple se réveille, c'est un impératif. »
D. C. : « Mais tous les scientifiques qui constatent cela depuis des décennies, ce qui est plus facile pour eux car ils sont dans le domaine... »
Pr C. P. : « Non parce que les scientifiques font partie du système, je ne dis pas qu'ils sont tous corrompus... Mais s'ils sortent su système, ils perdent leur budget pour la recherche. Si vous êtes opposant, vous êtes immédiatement black-listé, ... carrière terminée... »
Il y a 20% d'augmentation de mortalité au niveau mondial dans tous les pays qui ont inoculés massivement, ...Il y a deux semaines, Le Parisien a reconnu cette augmentation. Une publication dans une revue à comité de lecture a récemment publié que les effets secondaires seraient dus aux non vaccinés qui font peur aux vaccinés et provoquent chez eux des effets secondaires. On se fout de notre gueule.
D.C : «Lors des hommages et témoignages du 10 décembre, nous avons entendu à Brest un témoignage concernant Karine, 46 ans et en bonne santé, injectée 3 doses et qui est décédée sur le parking de l'hôpital 20 minutes après un écho doppler. La cause étant des caillots sanguins massifs et soudain dans le cerveaux, le coeur, les reins, la rate... La cause suspectée par les médecins était les fréquences du doppler sur une personne vaccinée.»
hypothèses : le graphène pourrait être responsable mais on pourrait aussi suspecter le détachement massif et simultané des protéines spike des membranes des cellules épithéliales tapissant les vaisseaux sanguins du fait des fréquences du doppler. Leur afflux soudain et massif dans le sang provoquant des caillots sanguins. D'autres hypothèses sont envisageables.
Question n°4 :
D.C : «Y-a-t-il à votre connaissance des scientifiques qui travaillent actuellement à "guérir" les vaccinés ?»
C.P. : «toutes les données que j'ai viennent de médecins hors des clous, des naturopathes, des médecins généralistes s'échangent des infos. Je n'ai pas vu d'études scientifiques, les autorités vantent ce vaccin.
Ce qui est énorme c'est que l'année dernière l'EMA (agence européenne du médicament) a confirmé ne pas connaître la composition exacte des vaccins. C'est tout de même choquant ! Ils reconnaissent qu'ils ne savent pas ce qu'il y a de dans mais ils le recommandent. J'ai fait le rapprochement avec les herbicides. Je vois un gros flacon de l'industrie allemande, produit qui m'a semblé sérieux car vraiment bien emballé. Le produit était indique "acide acétique" (-> vinaigre blanc). Un ami me précise que les lobbyistes ont obtenu la promulgation d'une loi leur permettant de n'indiquer qu'un seul ingrédient ! Quand je vois cela sur les pesticides je pense qu'ils pourraient faire exactement la même chose pour les vaccins.»
Question n° 5
D.C : «Quid des autres vaccins pour les enfants ? On se pose la question e savoir comment ces vaccins ont évolué.»
C.P : «Jusqu'à présent j'avais une grande confiance dans les vaccins...avant je ne me posais pas cette question. Maintenant que l'on sait que les industriels sont capables de cacher des produits non déclarés, est-ce que, depuis quelques années, ils ne sont pas en train de fourguer des produits qui ne sont pas déclarés aux agences ? A mon avis c'est probable, je n'ai pas la preuve mais le minimum à attendre d'un gouvernement qui cherche à protéger sa population, mettre en place une commission d'enquête indépendante, dénuée de tout conflit d'intérêts, avec des vrais chimistes pour analyser ce qu'il y a dedans...Ils commencent à dire ouvertement qu'ils développent des vaccins à base d'ARN messager pour tout. C'est très inquiétant, on sait que ces produits à ARN messager ne sont pas des vaccins mais des produits dangereux. je l'avais dit quand c'est sorti en 2020. On nous apprenait déjà dans les années 80 que dans les cellules, on avait des gènes qui étaient capables de coder pour des transcriptases inverses...»
à savoir : les transcriptases inverses rétro transcrivent l'ARN en ADN. Ainsi l'ARN du vaccin est intégré dans l'ADN de vos chromosomes.
C.P: «Cela a été confirmé depuis par des études pour ce "vaccin". Ces produits sont très dangereux en fin de phase expérimentale, ils ont sauté toutes les études chez l'animal....tous les rongeurs sont morts...on passe directement à l'homme. Une étude sortie récemment montraient que les petits des rats inoculés avaient des anomalies du squelette. Toutes les agences du médicament dans le monde devront rendre compte d'avoir été contre toute éthique ..
Ils ont diabolisés les traitements efficaces (Ivermectine, Hydroxychloroquine...) car si des médicaments sont actifs, on ne peut avoir une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. l'autorisation définitive demande 10 ans. On ne peut pas rendre obligatoire un produit expérimental. C'est un crime contre l'humanité, ils devront en répondre devant les tribunaux.
D.C : «On se demande si l'on peut avoir confiance dans la justice. Les scientifiques nazis, plus de 1600 sont partis aux États Unis et ne sont pas passés devant des tribunaux. Aujourd'hui la question est vraiment : A qui peut-on faire confiance ?»
C.P : «L'Institut für Anthropologie", qui était un institut de recherche pour les cobayes humains. Les travaux sur la maladie de Lyme, Borreliose y ont débuté et le vétérinaire a continué ses travaux aux USA après la guerre.»
D.C : «Dans le livre de Kennedy, on voit bien avec Fauci, qu'ils ne font que ça tout le temps, ça ne s'est jamais arrêté»
C.P: «Bien sûr, ...au début je n'y croyais pas trop... Des personnes portent plainte contres médecins ... la loi est violée tous les jours.»
D.C : «Quid de la responsabilité car ils avaient dit au départ que les incubateurs ne seraient pas responsables et puis ils ont retourné leur veste. Nous l'avons vu avec Philippe de Chazournes à qui l'ARS a écrit que c'était celui qui inoculait qui était responsable.»
Question n° 6
D.C : «Beaucoup de médecins sont silencieux, Quel est le pourcentage de médecins qui savent ?»
C.P: «Beaucoup de médecins n'ont pas le temps de lire, ils ne se sont pas posés de questions. Certains maintenant sont convaincus, ils n'osent pas bouger.. Ils ont peur et veulent se protéger. Beaucoup de médecins me soutiennent de façon anonyme. On attaque les médecins qui ont prescrit des traitements qui sauvent mais pas ceux qui ont inoculé des substances toxiques. C'est le monde à l'envers. Ça ne va pas durer car toutes les données éclatent de partout.»
D.C: «La confiance en ce qui concerne les vaccins et notamment quand don a des enfants est vraiment problématique aujourd'hui.»
C.P: «Il faut aussi évoquer la responsabilité des laboratoires fabricants. Aux États Unis, il est autorisé d'avoir des liens d'intérêts quand vous siégez dans une commission dès lors que vous les déclarez. En Europe, si vous avez un conflit d'intérêt majeur vous n'avez ps le droit de siéger, de prendre des décisions. Quand je siégeais à la commission, les personnes aux conflits d'intérêts ne participaient pas au vote. Maintenant ce n'est plus du tout respecté»
D.C : «Y a-t-il des sanctions ? S'il n'y a pas sanctions, les personnes font ce qu'elles veulent et c'est bien ce que l'on voit.»
C.P : «Non, bien sûr. Je l'ai dénoncé plusieurs fois il y a même eu un recours au Conseil d'État. L'agence ne justifiait pas que l'on s'égare dans des choses tout à fait illégales. Toutes les décisions étaient censées être enregistrées (écrit et audio). N'importe quel citoyen français devait pouvoir avoir accès au débat. La CADA a confirmé qu'il n'y avait pas d'enregistrements. La loi est violée tout le temps.»
D.C : «Une loi sur la prévention des maladies infectieuses, dans le cadre d'une vaccination recommandée en population générale ou sur les soldats, ils s'autorisent à restreindre voire à ne pas reconnaitre le droit fondamental à l'intégrité physique pour des vaccins auto-propagateurs. On a suivi les travaux d'Hervé Seligmann et Hélène Banoun. Que pensez-vous de ces vaccins auto propagateurs et les problèmes de shedding dont on entend parler ?»
C.P: «Je n'ai pas étudié ça, ...»
A-M.Y : «Lorsque l'ARN est injecté, la protéine spike est excrétée dans les fluides. Robert Malone a confirmé que cela passe au niveau du derme et du lait pour les mères allaitantes.»
C.P : «La personne contaminée par la protéine n'a pas les acides nucléiques pour la reproduire. Il y aura des dégâts autour mais cela ne va pas générer une épidémie. Cela va juste contaminer l'entourage très proche qui a inhalé des particules, il y a énormément de témoignages.»
D.C: «Des gens non vaccinés développent des symptômes identiques à ceux des vaccinés.»
A-M.Y : «La contamination par shedding est uniquement la transmission de la spike»
Hervé Seligmann : «C'est faux, il n'y a aucune raison de penser que l'ARN du vaccin ne passe pas tout comme la spike.»
A-M.Y : «Oui, Hélène Banoun a dit dans on article qu'il y a un autre facteur, transmission shedding de la spike et de l'ARN messager. J'ajoute l'oxyde de graphène. Donc trois niveaux de contamination»
C.P : «Des gens vont évacuer, d'autres l'intégrer pour des mois ou des années...cela dépend des gens, des lots, des marques. il n'y a aucune enquête claire sur ces produits.»
H.S : «J'ai une réponse partielle, la surmortalité infantile associée à la vaccination adulte semble durer 20 semaines après la première injection. Dans les données que j'ai vu cela durait 20 semaines.»
D.C : «Existe-t-il des analyses pour détecter son taux de contamination à la spike ?»
A-M.Y : «Sur simple prise de sang sérologique.»
N.L: «Le nombre de dose est-il important ?»
A-M.Y : «oui»
C.P : «Beaucoup de médecins et soignants ont témoigné en off record de ce qu'ils voyaient...augmentation de cancers, plusieurs cancers en simultané, ...ça devient très fréquent alors que c'était anecdotique. Personne n'en parle. Tant qu'il y aura cette peur sur les médecins, il n'y aura pas de liberté de parole ou de publication dans le domaine.
Cette crise est en train de casser la confiance de l'immense majorité des gens en leur médecin traitant et dans les vaccins. C'est dramatique. Cela me fait peur quand on voit qu'il n'y a aucune transparence, que les labos n(ont aucune responsabilité, que les agences du médicament reconnaissent ne pas savoir ce qu'il y a dedans. Ils peuvent le faire avec les anciens vaccins. Les substances anti-covid induisent une immunologies dépression, certains bacille comme la tuberculose peuvent alors se réveiller.
Au moment de la première campagne de vaccination en Australie, beaucoup de gens qui avaient reçu le vaccin devenaient séropositifs au VIH, la preuve qu'il y avait des séquences du VIH dans le vaccin.»
Josée : «Quid des transfusions sanguines.»
C.P : «Le prix du sang d'un non vacciné coute beaucoup plus cher qu'un vacciné. C'est un problème terrible dont on ne parle pas. Ainsi que le sang des vaccinés qui coule difficilement (coagulation) dans les poches de transfusions sanguines. »
C.P: «Nous avons constaté l'efficacité sur des patients atteints de la maladie de Lyme, des malades que j'ai vu guérir avec l'utilisation d'une machine à micro-courant, alors que les patients avaient des formes chroniques sur lesquelles les anti biotiques ne fonctionnaient pas. On m'a traité de charlatan quand j'ai voulu initier une étude.»
Un grand merci au Professeur Perronne pour cet interview.
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