17 septembre 2022
Reportage

Université d'Été Résistante

Les Dépêches Citoyennes, partenaire de La Concorde TV  a vécu ces 3 jours intenses de l'Université d'Été Résistante organisée par l'UFLF88 (Union fait la force 88, collectif résistant d'Épinal dont le président est le Docteur Gauthier Bein) et Cécile du Doctothon. Cet évènement se déroulai sur 3 jours et était dédié à la mémoire du Professeur Zelenko.

L'évènement se déroule à guichets fermés, les 500 places ayant été vendues très rapidement. L'intégralité des conférences ont été retransmises en direct sur plusieurs médias (Nexus, Kairos, La Concorde TV, les Dépêches Citoyennes). 

Nous découvrons ce havre magnifique qui fait honneur à cette région typique et à la majestueuse ville d'Avignon (ancienne résidence des Papes, certains Français). Une étendue verdoyante, un patio avec une piscine centrale, plusieurs niveaux, de petits îlots où se poser pour se restaurer, des persiennes de-ci delà qui créent de l'intimité, une étendue juxtaposée avec transats et alcôves. Enfin, ce mas provençal pierre, en forme de U, deux grandes salles où se tiendront les conférences et la cour centrale, dallées de pierres couleur crème. La plus grande des deux salles a des poutres apparentes entre lesquelles se faufilent de multiples petites ampoules qui en feront, le soir, un ciel étoilé. https://www.lecastel.biz

 

 

 

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Plus de 300 personnes en ce vendredi matin. L'ambiance est déjà enchanteresse, d'abord dans ce lieu inspirant où chacun aura découvert le patio pour y prendre un café et une viennoiserie. Les sourires s'échangent, nombreux sont les participants qui se reconnaissent ; ce sont des retrouvailles après les marches blanches ou la Marche de l'Indignation. La joie de partager ces moments est palpable, la gratitude pour ces retrouvailles, ces rencontres, une quasi-euphorie à l'idée d'entendre ces conférenciers qui nous en apprendrons encore un peu plus sur cette crise avec chacun leur point de vue, leur prisme professionnel.

Cécile et Gauthier ouvrent les conférences, rendant hommage au Professeur Zelenko ainsi qu'au propriétaire des lieux qui a subi des pressions pour ne pas accueillir l'évènement. Un grand merci est aussi adressé aux 71 bénévoles. Chloé Frammery animera les conférences.

Vous trouverez dans cet article un court résumé des interventions de chacun avec le minutage de la vidéo qui se trouve liée dans le sous-titre (conférences ou visio).

Vous trouverez sur nos chaînes, quelques entretiens que nous avons réalisés sur place.  

Université d'Été Résistante

VENDREDI 16 SEPTEMBRE : 

Les conférences

 

Plus de 300 personnes sont rassemblées.

Guillaume Zambrano (0 min) : il expose sur les scandales de santé publique passés. Le Covid est un scandale politique plus que sanitaire. Il parle de la création de l'illusion d'une crise sanitaire et fait des parallèles avec d'autres exemples par la passé où ont été créées, et inventées, des maladies. Il explique ce qu'est la corruption à travers la capture du régulateur. Big Pharma est le plus grand corrupteur qui met la main sur les politiques pour les faire travailler dans son intérêt. Il revient sur les milliers de morts que représente le scandale des opiacées et prononce le mot génocide. Il explique que ce n'est pas impensable dans le monde mafieux de l'industrie pharmaceutique. Connaissez vous la branche du droit qui s'appelle «conspiracy» ? elle étudie tout ce qui concerne les complots économiques. Il revient sur l'illusion de cette crise planifiée, créée de toutes pièces au travers des statistiques trafiquées. Il revient sur l'affaire des traitements hormonaux de substitution et le Docteur Wilson qui vantera le « feminine forever » en 1966. Ce gynécologue était payé par les laboratoires et peut dès lors être comparé à un VRP. Il fait sourire l'auditoire en rappelant qu'il avait fait passer la ménopause pour une maladie et justifiait ses hormones pour que  « les femmes restent agréables et toujours attrayantes ». Les ventes flamberont jusqu'à ce que l'on se rende compte que ces œstrogènes augmentent les risques de cancer de l'endomètre. Les ventes alors divisées par 4, l'industrie pharmaceutique rebondira avec un médicament, le « prempro » qui se révélera également dangereux (risques d'infarctus et de cancer su sein) dans une annonce fracassante en juillet 2002. L'amende s'élèvera à un milliard de dollars.

Il explique comment les laboratoires pharmaceutiques ont des sociétés spécialisées dans la rédaction des articles scientifiques qu'ils font ensuite endosser par un véritable universitaire. Ces derniers ne sont pas forcément payés pour cela. Une simple promesse de publication de leurs futurs travaux suffit, ce qui fait d'eux dira-t-il, les prostituées les moins chères. Le secteur est corrompu jusqu'à la moelle. 

Il raconte comment les laboratoires œuvrent à la dissimulation de tout ce qui peut porter atteinte à l'industrie pharmaceutique. La corruption de l'exécutif, du judiciaire et des médias est indispensable. La clause d'impunité pour une immunité totale est la preuve de la complicité judiciaire de l'État qui s'est lui-même prémuni d'une action en responsabilité en obligeant ces injections sous contrainte mais sans le caractère obligatoire.

Il explique le « faisceau d'indices » pour établir le lien de causalité qui a pris plus de 20 ans pour être affirmé par une cour européenne. L'ONIAM ne peut indemniser si le vaccin n'était pas obligatoire.

Me Jean-Pierre Joseph (28 min 40)  il confirme les décisions des cours d'appel à Valence et Rennes sur la présomption du lien de causalité lorsque les experts ne savent pas trouver la cause de la pathologie.

Il évoque l'Oxycontin, le Dr Curtis Wright de la FDA (Food and Drug Administration, NDLR) qui valida sa commercialisation pour entrer 2 ans plus tard dans un comité de direction de Purdue Pharma.

La structure de notre système économique est un terreau fertile à la corruption dans ce marché particulier qu'est celui des brevets avec une exploitation maximum de 20 ans avant de tomber dans le bien public (cas des médicaments génériques).

Me Maud Marian (31 min 01) : elle rappelle le changement de la définition de « pandémie » à l'époque du H1N1, la notion de bonne santé qui évolue, la notion de santé publique et le doute qu'il est permis d'avoir concernant les contrôles dont l'État à la charge. À partir de l'après-guerre, il y a ingérence de l'État dans le domaine de la santé. La dérégulation du système et l'inceste entre les acteurs, État, politique, experts et industrie pharmaceutique. Aucune intervention citoyenne n'est possible. Il est Invraisemblable que les sénateurs aient pointé du doigt les dysfonctionnements lors de la crise du H1N1, et que tout se soit aggravé. L'intérêt du citoyen et de sa santé n'est pas protégé. Rien n'est là pour rattraper ces dérives. Les enquêtes sénatoriales ne sont pas suivies d'effets pour les citoyens. L'administration ne fonctionne pas. Le judiciaire non plus et ce sont des années de procédures pour des dommages qui ne sont même pas punitifs. Il y a inversion des valeurs, manipulation du droit et incapacité de la justice à prendre en charge les dossiers. Il n'est pas scandaleux que les entreprises veuillent faire du profit mais nier que le profit puisse entraîner la malhonnêteté n'est pas réaliste. Elle pointe le deux poids deux mesures pour les agriculteurs avec l'abattage d'élevage en comparaison à de grands groupes alimentaires. Les tribunaux populaires auraient une valeur symbolique et permettraient de reprendre notre pouvoir et faire valoir ce que l'on attend du système.

Vincent Pavan (48 min 01) : il revient sur le fait qu'il n'y ait eu aucune corrélation entre les simulations et la réalité. Tout a été décidé sur la base de ces simulations. Notamment le confinement, l'article de Cauchemez et Fontanet, n'est pas d'eux et est totalement truqué. Encore pour la pass sanitaire. Ils ont refusé de donner leurs sources. Une plainte a été déposée pour faux et usages de faux. Cédric Villani aurait dû voir cette fraude mathématique.

Me Maud Marian (1 h 04) :  le nombre de plaintes finira par interpeller les magistrats. La goutte d'eau fait déborder le vase, toutes les petites actions sont à regarder ainsi. Les actions de Me Brusa, la plainte de Me Joseph, ... 

Me David Guyon  (1 h 30) : « il n'est point de bonheur sans liberté et il n'est point de liberté sans courage »  Périclès (Ve siècle). Il reprend la définition de la liberté « faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » avec ces lois liberticides. La liberté collective est une dérive dangereuse. Il rappelle la peur, l'urgence, la propagande. Deux ans de régime particulier - pas de débat à l'Assemblée. Le pouvoir exécutif a par nature une propension à l'atteinte aux libertés, des règles discrétionnaires décorrélées de la réalité. La définition de la crise sanitaire est restée floue pour laisser une marge de manœuvre au gouvernement. La population ne doit pas assumer des choix politiques désastreux. Ce n'est pas l'information qui fait les médias mais les médias qui font l'information. Les injections forcées sont illégales et la population a été contrainte par la force étatique. Il faut garder espoir, cela va prendre du temps. Ce que nous vivons n'est pas normal, n'est pas juste n'est pas légal.

Martine Wonner (1h57) : elle revient sur son mandat de 5 ans. Elle avait interpellée dès les Gilets-Jaunes par le mal-être de la population. Bien qu'élue dans le parti de Macron, elle s'est très vite éveillée. En 2019 déjà la France avait été repérée comme ne respectant pas les Droits de l'Homme. Elle reprend le déroulé de la pandémie et le peu d'intérêts de ses collègues. Ignorée et insultée, elle aura tenté de soulever l'article 49.2 pour déposer une motion de censure. Elle évoque leur « toute puissance » : carrière, salaire, recette de la peur, manipulation, propagande, déstabilisation... Nous devons rester en lien et aller vers ceux qui n'ont pas compris qu'ils avaient perdu leur liberté.

Les visio-conférences

Valérie Bugault est analyste géopolitique et monétaire : elle explique les rapports de force : nous sommes en guerre. Elle conseille d'identifier clairement les enjeux afin de pouvoir reconstruire les institutions. Les décideurs réels ne sont pas nos gouvernants. Elle parle du dévoiement des institutions, de l'imposture généralisée et de la nécessité de revenir à la base pour pouvoir trouver une solution ; " Révoludroit " est le site sur lequel elle nous invite. Les contre-pouvoirs ont disparu, la situation est dangereuse et préoccupante. Nous devons réagir pour la vie en commun : la politique est la vie en commun.

Julie Levesque (17 min 20) depuis le Québec : journaliste et lanceuse d'alerte, elle évoque le constat général concernant la justice : partialité, calomnies des avocats qui défendent les citoyens et les « psychiatrisent ». Elle évoque les décès en CHSLD (Ehpad). Les conseils de santé publique n'étaient basés sur aucune science, aucune étude. Elle confirme la parodie de justice et l'imposture. 

Deepali N Ohja (35 min 53) depuis l'Inde : elle évoque la « Bombay High Court »  et le décès d'une jeune femme dont le père est allé en Justice. Les médias se sont emparés de l'histoire et cela commence à se savoir. Ces criminels sont accusés de crime contre l'humanité.

« La face cachée des vaccins » : (1 h 16 min 22) : projection du film.

SAMEDI 17 SEPTEMBRE : 

Les conférences

Laurent Montesino (3 min 36 et 1 h10 min 50s) : il expose la vie bouleversée voire dévastée de ceux qui ont des effets secondaires, donne de l'espoir quant aux solutions possibles.

Dr Benoît Ochs (17 min 38) : il reprend ses constatations sur les D-Dimères et CRP (protéine C-réactive) et revient sur la censure que ces constats lui ont valu, avec distorsion de ses propos.

Dr Denis Agret  (33 min 33) : il intervient rapidement concernant les bénéfices de l'aspirine.

Laurence Kayser (36 min 10) : elle raconte une expérience avec un patiente et parle du respect du patient.

Dr Olivier Soulié (48 min 50) : il expose la propagande (pollution) - Les écoles de commerce et finance sont les temples de la destruction de la planète - Les loups chassent en meute - Le chaos du monde naît de l'insaisissable appétit des puissants - Les humbles veillent - Les compagnies d'assurance constatent les effets secondaires : + 160 % / 190% de mortalité pour les moins de 40 ans.

Corinne Lalo (1 h 23 min) : elle-pose une question concernant les nano-particules qui se trouvent dans les vaccins, qui circulent dans le corps... NDLR : une nano-particule a la taille d'un milliardième de particule.

Hélène Banoun (1 h 39 min) : elle aborde la protéine Spike, les inflammations du microbiote, et elle explique que les anticorps facilitants (ils facilitent l'infection) était un risque connu bien avant le début de la vaccination et que c'était connu depuis le Sars-Cov-1, il y a plusieurs années. Les anticorps facilitants du vaccin vont perdurer plus longtemps que ceux du virus ; ils sont retrouvés chez les personnes atteintes de Covid grave. Les anticorps neutralisants (ceux qui protègent) ont une durée de vie moindre. La Spike du vaccin est plus toxique  que celle du virus et perdure dans le corps. La Spike dérégule l'immunité et empêche le corps de se défendre (augmentation des varicelles, zona, etc...).

Hervé Seligmann (1 h 58 min) : il a très tôt étudié les données en Israël puis en Europe (Euromomo). En septembre 2021, il a vérifié la corrélation taux de fertilité par pays / taux de vaccination, le vaccin affecte plus les femmes. Pour toutes les classes d'âges l'efficacité du vaccin est négatif et plus on est plus jeune plus cela se vérifie. La maladie de Creutzfeldt-Jacob est plus rapide en fonction du nombre de doses, la  causalité est très suspectée. En avril 2021, il trouve une corrélation avec proportionnalité entre la mortalité infantile et les injections des adultes. Mieux vaut ne pas toucher les vaccinés. À partir de début juin 2021, il trouve une surmortalité (excès de mortalité des moins de 15 ans - non vaccinés) jusqu'à +812 morts pour 2021. On a déjà dépassé ces 800 morts en 2022. Cet effet dure 20 semaines après les injections de la première dose. Il ne retrouve pas cela pour la troisième dose.

Marc Doyer (2 h 08 min) : il décrit le parcours de l'injection du vaccin jusqu'à la mort de son épouse. Ce qu'ils ont vécu dans les services de santé, la non-prise en charge de son épouse. L'aide qu'il a sollicitée du ministre de la Santé, Olivier Véran. Des mots émouvants aux larmes, des mots durs pour les politiques. Il parle d'humains et non de bénéfice-risque. Comme suite à son appel à témoins, il a reçu 60 témoignages. Personne ne l'a contacté suite à ses alertes, ni les politiques, ni l'ANSM, ni la pharmacovigilance. Il emploie le mot « assassinat » pour qualifier la mort de son épouse, Mauricette.

Question de Myriam Palomba (2h34) à Hervé Seligmann concernant le vaccine shedding. Difficilement entendable, Hélène Banoun prend le relais pour la réponse qu'elle mesure. Emmanuelle Darles prend la parole pour expliquer la pharmacovigilance passive. Laurence Kayser et Benoît Ochs interviennent également. Chacun témoigne de la très probable transmission de la Spike et de l'augmentation de mortalité. Prudents, ils ne veulent pas affirmer la causalité sans plus de preuves. Laurent Montesino confirme le risque de transmission. 

Les visio-conférences

Reprise avec son : Gauthier Bein reprend la polémique de la transmission éventuelle de la Spike sur les enfants qui entraînerait une surmortalité. 

David Bouillon : généraliste depuis plus de 30 ans a créé un centre Covid et a traité plus de 20 000 patients. Il évoque les traitements précoces, les injections expérimentales, fait état de sa colère contre les autorités, les médias mainstream et pointent leur responsabilité.

Antoine Méchin : triathlète nantais, victime d'une embolie pulmonaire. Gauthier Bein intervient pour indiquer que les fédérations font taire les athlètes qui sont victimes. Il parlera plus tard à 51 min...

Mme (15 min 39) : son fils fait du handball, ce sport lui avait permis de se remettre d'un harcèlement. Ils se sont vus interdire l'entrée au gymnase, la décision est donc prise de se faire vacciner. Elle exprime ses craintes et indique qu'il n'y a pas de consentement éclairé. Après 7 jours, elle a accumulé des pathologies, et souffrait d'une fatigue énorme, notamment des essoufflements très importants. Elle a pris en charge seule son parcours de soin et fait son signalement à la pharmacovigilance elle-même. Rapidement le CHU de Montpellier lui a répondu que très probablement son état était dû à ce vaccin. Aucune aide, aucun soin ne lui ont été apportés. En revanche, elle doit travailler maintenant sur la prise en charge. Son fils, vacciné le même jour n'a pas été malade. 

(23 min 24) : une personne de l'auditoire conseille de l'homéopathie en indiquant qu'un ami a vu ses symptômes disparaître après ce traitement. Un médecin de « Soignez heureux » confirme la possibilité de prise en charge et de soins.

Dr Damien Lafont (25 min 23) : physicien (possède un Ph. D), expert en performances de pointes, entraînement. Il est en Australie. Il évoque les émissions de fréquence des vaccinés, la nocivité des rayonnements (Robert Young). Il rapporte des symptômes aussi sur des enfants non vaccinés. Il témoigne des soucis de santé des athlètes dont il s'occupe. Il rapporte des cas d'enfants qui font des AVC mais ne sont pas vaccinés.

Antoine Méchin (41 min 03) : 32 ans, entraîneur et triathlète, a mis un terme à sa saison suite à une embolie pulmonaire. Il ne souhaite pas être considéré anti-vax, il ne témoigne que de son cas personnel. Il ne voulait pas se faire vacciner mais y a été contraint. Il a ressenti des effets indésirables 2 jours après la première dose. Il a ressenti qu'il ne pouvait plus s'entraîner en intensité, bridé au niveau du souffle. Son médecin lui a dit que c'était psychologique. Il a du faire une 2ème dose pour continuer ses entraînements. Il est devenu l'ombre de lui-même dans les classements, a ressenti des douleurs cardiaques et au sternum. Son cardiologue n'a pas souhaité faire une IRM cardiaque car il ne pourrait pas juger là dessus compte tenu du fait qu'Antoine est un grand sportif. Le Dr Denis Agret s'étonne de cela. Pour pouvoir continuer il lui a été demandé de prendre une 3e dose. Malgré ses atteintes le médecin ne pouvait pas faire une attestation de contre-indications. Le Dr Benoît Ochs précise que la contre-indication ne concerne que les myocardites. Ce n'est pas tabou mais en off les gens parlent beaucoup plus et ont négocié pour ne pas faire les doses suivantes ou même aucune. Jamais, ceux qui critiquent ne posteront rien sur les réseaux sociaux, en public. La fédération française de triathlon souhaite arrêter la vaccination obligatoire pour les athlètes. Il a le soutien d'une avocate de La Rochelle et de l'association du Docteur Bein.

Dr Dominique Chazal (1 h 05 min 43) docteur depuis plus de 30 ans en Nouvelle-Calédonie, attaqué par les institutions car il dénonçait la politique de santé. Il est intervenu au congrès de la Nouvelle-Calédonie, notamment sur le contenu gardé secret des composants des injections. Il constate la démarche d'évitement des patients pour faire le lien entre l'injection et les symptômes (fatigue chronique, essoufflement à l'effort, dermatoses, hirsutisme, vertiges et turbo-cancers). Beaucoup d'apparitions de symptômes au bout de 8, 10 mois. Il voit chaque jour beaucoup de monde dans les cimetières, ce qui est inhabituel. Il constate une augmentation de l'indice de mortalité pour les moins de 60 ans. Les autorités ne communiquent plus les données. Sur libre.nc, il reçoit des témoignages de fausses couches brutales et morts fœtales

 

DIMANCHE 18 SEPTEMBRE : 

Les conférences

 

Caroline Escartefigues : présentée par Chloé, elle est psychologue clinicienne, maîtrise l'Art-thérapie, la communication non violente, organise des ateliers de communication pour les enfants. Cette crise qui manipule le mental permet aussi l'éveil. Les résistants présentent plusieurs caractères : le discernement, le courage, la foi (faculté du psychisme). Les autres personnes sont dissociées, mais cela s'explique à travers l'état d'urgence, la peur et la propagande. Elle évoque le jeu de la résilience. C'est un renversement de nos connaissances. Elle parle de Freud, Edward Bernays. Le bien du peuple a toujours été la lubie des tyrans. La manipulation passe par l'inconscient. L'endoctrinement se fait toujours par la langage et la construction de l'ignorance. La stratégie de soumission des peuples existe depuis toujours (cf. Sun Tzu, L'art de la guerre). Le cœur sacré peut transformer la peur en courage. Il faut penser moins et ressentir beaucoup plus, générer de la gratitude et de la compassion.

Yoanna Micoud (24 min 03) : psycho-traumatologue, elle est praticienne d'EMDR (intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires). Elle explique comment ont été réalisés des chocs traumatiques à répétition, puis la manipulation sociale, neuro-biologique, émotionnelle et inter-personnelle. La peur est la plus dangereuse. Le cerveau d'un traumatisé fait tourner des images en boucles comme BFM TV. L'ingénierie sociale est un piratage de votre psychologie. Nous avons dégagé progressivement nos conditions de vie. L'infantilisation de la population transforme sa colère en culpabilité. À force de traumatisme, le psychisme se protège en réalisant une dissociation : on ne réfléchit plus. Elle explique le pourquoi de la colère venant de ceux qui ne veulent pas entendre. Elle conseille d'apprendre les techniques de manipulation ce qui permet de ne pas en être victime, de se mettre en lien et de se reconnecter à notre saine colère, elle est l'énergie de notre positionnement et permet de dire « stop ». L'heure n'est plus à essayer de convaincre mais d'activer les neurones miroirs en nourrissant ce qui est bon.

Sonia Delahaigue (42min23) : psychologue, psychothérapeute, formatrice, fondatrice du centre Chrysalide : elle pense que l'obéissance est toujours plus dangereuse que la désobéissance. Elle n'est pas étonnée que nous en soyons là. Un conditionnement à l'obéissance, nous avons expérimenté l'impuissance apprise, la soumission et la résignation. La vidéo a dû être coupée quelques minutes car il n'y avait plus de son. Elle expose sur l'éducation des enfants et comment les armer contre l'obéissance. 

Courte vidéo / Corinne Lalo (1 h 14 min 44) : 

André Bercoff (1 h 20 min 08) : il nous parle de totalitarisme, des vaccins, de la sidération puis des médecins des plateaux télé, du confinement, de la peur et des conflits d'intérêts et des sommes astronomiques concernant les vaccins et de la non-transparence des achats par la commission européenne par Ursula Van Der Leyen. Les contrats présentés à Michèle Rivasi étaient biffés. Où est la transparence ? Pourquoi toutes ce doses ? Aucune corrélation reconnue entre ces injections et ces millions d'effets secondaires. Machiavel disait déjà que le discours de peur est très efficace. L'augmentation des décès d'enfants ? « Rien n'a rien à voir avec rien ! ». Il compare la propagande avec celle des pays totalitaires. Le mot de la fin : « la peur est la métastase cancérigène la plus dangereuse. Toujours garder cet esprit de contestation sans lequel nous ne sommes que des moutons ».

Corinne Lalo (1h35min53) : elle revient sur le virus H1N1 et évoque les deux regrets de Roselyne Bachelot : « les gens n'ont pas eu assez peur et nous aurions du verrouiller internet ». Il n'y aurait pas eu de pandémie si les médias avaient fait leur boulot. Tous les journaux ont été rachetés, les marque sont été gradées mais ils sont devenus des coquilles vides aux mains de quelques oligarchies. En 40 ans, il y a eu une perte de la diversité dans les médias et la fin des débats contradictoires. Elle reconnaît à Hanouna, la possibilité de débattre sur son plateau. Nous voyons la censure aujourd'hui totalement décomplexée. Elle explique « pointer » ce qui procède de la censure dans le monde entier. Derrière cet organisme se trouve MacKinsey. Il n'y a plus de contre-pouvoir, ni les partis politiques, ni la presse. Le Conseil de l'Europe a été récupéré et infiltré, idem pour la Cour Européenne de Justice et la Cour européenne des Droits de l'Homme. 

 

Marc Daoud (1 h 57 min 00) : il est journaliste indépendant, directeur de publication chez Nexus. Nexus est un magazine qui produit des dossiers, complets, sourcés et très instructifs. Il parle de la guerre de l'information, la manipulation par l'émotion. À travers les subventions, on voit que l'intégralité du paysage audiovisuel français (Paf) est détenu par quelques-uns. La presse façonne les esprits. Il reprend un article du monde qui parlait d'une fuite sur le dark web de document de l'AEM (agenda européenne du médicament). Il confirme que l'émotion permet la confusion de faits et d'opinions. Il incite à soutenir tous les médias indépendants, à croire en sa propre faculté de discernement et s'informer sur les réseaux alternatifs, tels Odysee, Crowdbunker....

Myriam Palomba (2 h 14 min 52) : ex-patronne de presse que l'on a pu voir sur TPMP (Touche pas à mon poste, émission de Cyril Hounouna). Elle reprend le 1er article de la charte de Munich. Elle explique que la population ne lit plus aujourd'hui. Les journalistes, en télétravail n'avait plus qu'une source d'information : l'AFP. Le citoyen ne veut plus s'informer et c'est aussi un problème. Elle termine sur l'article 9 de la charte de Münich qui veut qu'un journaliste ne confonde pas son métier avec celui de publicitaire ou propagandiste. 

Quelques questions du public (2 h 25) : Corinne Lalo répond à une question sur le Canard enchaînéMédiapart, etc... elle invite à se rendre sur Telegram, elle utilise le site de Silvano Trotta qui remplace l'AFP. Sur Telegram, il n'y a pas de censure. Myriam Palomba indique que seul le buzz permet de transmettre l'information sur les médias mainstream que la majorité de la population suit. Marc Daoud explique que Telegram appartient à un Russe qui fait partie du Forum économique mondial. La responsabilité du citoyen est de faire suivre les infos, sur Twitter par exemple.

 

Les visio-conférences

Sonia Vescovacci : policière espagnole en activité (https://www.police-pour-la-verite.org).

Catherine Garnier : commandant-divisionnaire, retraitée de la police nationale française. 

Stéphane Bern : commissaire-divisionnaire de la police fédérale belge.

Margot : sapeur-pompier volontaire. Hommage à Max, un pompier volontaire qui a mis fin à ses jours le 17 sept 2021. Sonia et Margot sont en uniforme pour rendre la dignité à leurs corps de métier. L'association Police pour la vérité réunit des pompiers, gendarmes, militaires, actifs ou retraités. L'objectif de l'association est de soutenir tous ceux qui ne souhaitent plus participer à l'instrumentalisation politique dont ils sont l'objet depuis trop longtemps. Défendre les intérêts des gouvernements et lobbies ne font partie de leur mission. Ils appellent à la dignité et à la fin du silence. Ils appellent à l'union. À noter : une séance d'applaudissements debout des quatre intervenants.

Pierre Barnérias (20 min 33) : réalisateur des films Hold-UpHold-On et Hold-Out, il a travaillé pour tous les médias mainstream. « Nous sommes dans un régime nazi aujourd'hui ». Il a lu un livre d'Ariane Bilheran qui étudie les comportements totalitaires depuis 20 ans : L'internationale nazie. Il explique comment l'AFP (« Agence FrancePresque :-) ») a entraîné et permis 17 milliards d'injections grâce à son matraquage médiatique. Il lance « citizen light », des journalistes professionnels qui se mettront au service des citoyens. L'idée est d'utiliser ce canal pour leur transmettre une information que les journalistes étudieront. L'agence se met en place. 

Prof. Ryszard Zajaczkowsky : (46 min 41) : professeur de philosophie à l'Université de Lublin en Pologne. Il évoque la notion de bien commun, connue au temps de Platon et Aristote et affinée par Saint Thomas d'Acquin n'est que peu présente dans les réflexions scientifiques contemporaines et disparaît dans les discussions de la société. La tyrannie est une mono gouvernance au profit d'un seul, L'oligarchie fait profiter les riches et la démocratie est en faveur des pauvres mais aucun de ces systèmes ne rend ce qui est dû à la communauté. Le bien commun est possédé par tous et il croît avec les efforts communs. L'accomplissement du bien commun est indispensable à la vie biologique et au développement psychique de l'homme. Les pays contemporains se sont détachés du bien des citoyens, ils sont perçus comme des outils d'exploitation. Le pays a cessé de s'identifier à la Nation, il s'est éloigné du bien et des individus. Nos gouvernants agissent au nom des intérêts extérieurs, menant les pays vers le chaos. La vérité demande de la discussion et de l'ouverture, c'est une valeur essentielle à maintenir. La fuite de la vérité, n'est pas possible à la longue. 

Cécile Maïchak confirme qu'il y a beaucoup de résistance en Pologne comme dans beaucoup d'autre pays, ce qui ne nous est pas dit, évidemment, par les médias. 

Jim Stark (1 h 16 min 54) : responsable de la technique et de TWEB et ACID (agence collaborative d'information et de diffusion). Ils félicitent tous les médias citoyens pour leur collaboration lors de cette université. Avec uns simple clef USB, ces médias pourront être vus sur un poste de télévision. Ces émissions en direct ont été diffusées sur une trentaine de chaînes. Demain, ce bloc médiatique sera meilleur que les médias mainstream

Tara Roberston, Dr Benoît Ochs, Dr Gautier Bein : les mots de la fin.

Les entretiens

 

Dr Denis Agret : il revient sur les alertes qu'il lance sur ces vaccins, les sanctions qui lui sont infligées. Il souhaite que ces informations circulent, que les réseaux sociaux soient inondés (#principedeprécaution). Le corps social doit s'emparer de ce sujet afin que la censure ne puisse plus se faire. 

Medhi Belhaj Kacem : a passé son enfance en Tunisie. Il écrit son premier roman dès l’adolescence et est vite remarqué. Autodidacte, il fait un tournant « philosophique » en 2000 et travaillera avec Alain Badiou pendant plus de 10 ans. Colaricocovirus est un livre enrichissant, drôle, sans langue de bois. Il y taille des portraits pour ne pas dire des costards et en remet plus d'un à sa place. Leçons de philosophie, rectifications du narratif covidesque, regards politiques et économiques, tout y est. Son langage est soutenu mais accessible et ses pointes d’humour familières font de la lecture de ce livre un remède. Il met des mots que l’on a parfois du mal à trouver et en cela il soulage, Oh combien ! Vous suivrez ses chemins dans l’aventure covidique qui mènent à la compréhension de la crise.

Mehdi nous a offert un peu de son temps lors de l’Université d’été résistante : il est un homme affable, inspiré, talentueux, sensible, attachant et dont l’humilité n’a d’égal que son talent hors du commun.

Alexandre Juving-Brunet : il revient sur la crise Covid qu'il considère comme l'Apocalypse, les révélations de ce que nous sommes. Il ne croit pas à la continuité de l'État français en tant qu'État de droit. Il prône la légitimité, ce qui est juste. Il parle du terrain politique mais pas seulement. Parmi les armes se trouvent la monnaie, qui est aux mains des oligarques. Le Franc libre est un succès. Il souhaite monter des fonds d'investissement extra-territoriaux pour être à l'abri des banques dont les investissements seront en France pour créer des structures de résilience. 

Emmanuelle Darles : enseignante et chercheuse à l’Université spécialisée en simulation informatique, modélisation et données massives (big data) et s’est orientée vers l’intelligence artificielle. Son statut académique lui permet une totale neutralité sans pression ou objectifs commerciaux. Elle est l’objet de procédures disciplinaires à la suite de ses positions publiques et pour des « propos » anti-vax après avoir parlé d’un rapport public de l’ANSM. Dans le domaine informatique, le statut de femme lui fait subir parfois des propos sexistes. Elle reçoit sa convocation suite à son audition au Sénat dans le cadre de l’OPECST, sans savoir exactement pourquoi et sans base légale. S’agirait-il de harcèlement ? Son livre à télécharger ou acquérir. On ne peut pas parler d’incompétence, au mieux de malhonnêteté. Le totalitarisme s’appuie sur la manipulation des masses mais aussi sur la soumission. Elle relève la négation de l’autorité parentale, les parents ne sont plus parents. En Savoie, les parents ont exigé que l’École ne parle pas de vaccination : leur choix a été respecté. Elle en appelle aux papas. Elle témoigne de l’intérêt de la participation des citoyens aux actions de « courriels ». Enfin elle témoigne de la nécessité de reconnaissance et indemnisations des victimes. Le rapport d'Emmanuelle Darles et Vincent Pavan à l'OPECST.

Christian Cotten : Christian Cotten : Psycho-sociologue, conseiller et formateur pour l'État et les grands laboratoires pharmaceutiques pendant de nombreuses années. Le système politique actuel est terminé, nous sommes dans un période de transition. Les bandes criminelles organisées internationales utilisent les institutions de la République pour des intérêts étrangers. La souveraineté nationale appartient au peuple, c'est lui qui commande. La 5ème République a violé Marianne en 2005 (refus du traité européen) qui nous a été imposé en 2008 par un changement de constitution, la République Française est putative. La transition se fait par le verbe (le droit) et les armes. Les agents de l'État doivent prendre leurs responsabilités. Ils ont l'obligation légale de désobéir. La guerre est dirigée contre les populations, les hauts fonctionnaires doivent agir. Le soutien de la population est absolument nécessaire. La population française se réveille, c'est un choc traumatique. Les injections ont un but de dépopulation, de stérilisation. "En 1940, l'Allemagne a perdu la guerre, les nazis l’ont gagné."

Me Jean-Pierre Joseph : il se bat contre le mensonge vaccinal depuis 20 ans. Au travers de graphiques sur des maladies témoignant de la chute de cas bien avant les débuts des vaccinations, il a demandé pourquoi à plusieurs scientifiques qui ne répondent pas. Ces statistiques témoignent du mensonge vaccinal. Il revient sur Pasteur et ses mensonges. Il tourne en ridicule, le masque et les mesures sanitaires.

Martine Wonner (14 min 55) : elle intervient lors des tribunes. Elle revient sur la politique politicienne, les partis politiques et cette association qu’elle a créée « Ensemble pour les libertés ».

Me Carlo Brusa (38 min 47) : il parle du complotisme, de ceux qui sortent de la caverne, qui tiennent à leur esprit critique. Il remercie les lanceurs d’alerte. Il évoque la Constitution de 1958 qui a été construite pour écarter le peuple de la question publique, à l’apparence trompeuse… ne pas confondre le Droit et la Loi. La constitution a été imposée, elle n’a pas été rédigée par le peuple. Il était difficile de comprendre ce qui se passe. La dictature sanitaire a permis de mettre en exergue tout ce que nous vivons. Des projets de loi ont été rédigés d’après des décrets passés par le gouvernement… Ce devrait être l’inverse. Il parle de la non-indépendance du pouvoir judiciaire. Il parle des produits des injections expérimentales. La cause initiale ? comprendre pourquoi. Le moyen de nous contrôler (jusqu’à l’état émotionnel de l’injecté) et nous considérer de sujet de droit à objet de droit. Il n’a pas confiance en la justice mais en le peuple réveillé.

 

Salim Laïbi : Salim est chirurgien dentiste. En 2006, il fonde LLP(LeLibrePenseur.org), un site d’information indépendant. Cette plateforme participative est dissociée de tout intérêt privé et compte parmi les sites alternatifs d’actualité les plus populaires dans l’espace francophone. Salim Laïbi anime des décodages de l'info presque quotidiennement sur ses chaînes Odysée, Crowdbunker et Rumble. Il est également présent sur Facebook et Twitter et collabora aux émissions "L'info en questions" et maintenant "Libérez l'info".

Jean-Pierre Eudier : Président de la LNPLV (Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations) et de EFVV (European Forum for Vaccine Vigilance) https://www.infovaccin.fr/la-ligue/. « Notre santé nous appartient, nous en sommes responsables, nous voulons pouvoir choisir »

Guillaume Ageorges : vice-président du REVAV : réseau de victimes d'accidents vaccinaux. Cette association vient en aide aux victimes. 

Mamans Louves : Christelle : Une association née de la dynamique de mamans françaises pour protéger les enfants des mesures sanitaires. Elle veille au respect des droits de l'enfant, son bien-être, sa santé physique et mentale. Elle est non-violente et promet la diffusion d'informations, le soutien aux enfants et aux familles, recherche le dialogue avec les pouvoirs publics et réalise des études de terrain avec des professionnels de l'enfance. https://www.mamanslouves.org

Synergie : Celine : Synergie est un mouvement de mise en lien qui vise à rassembler des collectifs afin qu'ils articulent, cumulent, partagent leur compétences, leur actions, leurs idées. C'est la mutualisation des efforts, savoir-faire et des outils. Synergie est un regroupement naturel pour le bien commun qui prône la responsabilité individuelle et maintient l'indépendance de chacun.

Martine Wonner : "Ensemble pour les Libertés"

Cécile Maïchak :  revient sur l'évènement, l'idée, l'organisation, l'enthousiasme, la réussite. 

Michel : un citoyen s'exprime.

Marc Morisset : Marc Morisset
Elu municipal EELV, d’opposition à Saint Médard-en-Jalles (2014-2020) Elu dans la majorité municipale via la liste citoyenne Saint-Médard-en-Jalles Demain (2020), et élu communautaire à Bordeaux Métropole, exclu de la majorité municipale en novembre 2020, métropolitaine en septembre 2021, d’EELV en décembre 2021, donc élu libre, anti-pandémie, défenseur de la démocratie réelle, de la gouvernance citoyenne par tirage au sort à tous les niveaux décisionnels et de la reprise en main de la création monétaire afin d’inscrire dans la constitution un nouveau droit humain selon l’idée du revenu de base mais d’in montant suffisant pour éradiquer l’esclavage moderne.

Hervé Seligmann :  a obtenu votre doctorat à Jérusalem en Israël en 1991 et plus de 100 publications à son actif. Il est compétent dans les domaines de la virologie, la biologie moléculaire de l'ARN, la biologie évolutive . Il est biologiste statisticien, chercheur médical et a travaillé à l'IHU de Marseille avec le Professeur Raoult. Il revient sur son intervention (conférence du samedi 17 sept) qui a entraîné des réactions dans le public concernant la mortalité infantile.

Une infirmière témoigne après avoir entendu Hervé Seligmann en interview.

Réjean : présent à la Marche de l'Indignation raconte son expérience à l'Université d'été résistante.

Un gilet jaune : témoignage : nous savons


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