30 janvier 2024
Reportage

Strasbourg : hommages aux victimes des injections Covid-19

Ce samedi 27 janvier, à Strasbourg, les collectifs « Anti-Pass 67 » de Strasbourg et les « Loups de la Liberté » d’Haguenau ont organisé une manifestation statique. Ces deux collectifs sont nés peu après le discours du 12 juillet 2021, ils souhaitaient marquer leur total et profond désaccord avec la politique sanitaire mise en place par le gouvernement, l’instauration d’un pass sanitaire puis d’un pass vaccinal. 

Ces collectifs ont mené de nombreuses actions dans le Grand Est (Strasbourg, Haguenau, Obernai, Célestat, Colmar, Saint-Dié, …) pour venir en soutien à l’ensemble du personnel suspendu, pour dénoncer les effets indésirables des injections Covid-19 et pour rendre hommage aux victimes. D’autres actions sont d’ors et déjà prévues, la prochaine se déroulera dans les Vosges.

D’autres collectifs les ont rejoints cet après-midi pour rendre un hommage aux victimes des injections Covid-19 en posant en place publique les portraits de nombreuses victimes qui n’ont pas survécu mais aussi en donnant la parole à plusieurs victimes qui ont pu s'exprimer publiquement concernant les effets secondaires qu’ils subissent.

Le Syndicat Liberté Santé, Solidekla, Les Parents en Colère, UNIC 67, Les citoyens libres du 67, les Loups de la liberté, l’UFLF88 étaient présents. Le collectif Action 200 de Belgique qui était attendu, n’a finalement pas pu rejoindre la manifestation statique.

 
Il y avait un peu plus de 70 personnes, certaines étaient membres de ces collectifs d’autres simplement sensibles à ces hommages et la manifestation de la vérité en place publique, venant contredire les mensonges ignominieux de personnalités médiatisées, politiques, scientifiques ou journalistiques qui clament comme l’ancien ministre de la Santé (Aurélien Rousseau) le 3 octobre 2023 ou insinuent plus sournoisement qu’il n’y avait pas d’effets secondaires. Peut-on imaginer le traumatisme infligé par ces paroles publiques niant la mort, les souffrances physiques de ces milliers de victimes mais aussi leurs souffrances psychologiques, financières, familiales qui en sont les conséquences directes ?

   

 

L’UFLF88 avait apporté une vingtaine de portraits de personnes dont le décès est soit déjà reconnu, lié à ces injections, soit suspecté. Ainsi que l’indiquait Amine Umlil, pharmacien spécialisé en pharmacovigilance mais aussi juriste, dès lors qu’aucune autre cause n’a pu être établie, la responsabilité du vaccin dans la cause de la mort ne peut être écartée. Il se trouvait aussi le portrait de Julia Walter qui souffre d’effets indésirables terriblement invalidants.

Les citoyens engagés sont allés à la rencontre des passants afin de pouvoir entamer une conversation, donner un tract, expliquer les aides que peuvent apporter les associations. En effet, Solidekla aide à réaliser les démarches de déclarations d’effets secondaires à la pharmacovigilance. Le Syndicat Liberté Santé apporte également son aide pour ces déclarations. Il est l’auteur de plusieurs « interpellations » au Conseil de l’Ordre des médecins, à la Haute autorité de Santé ou encore à l’Académie de médecine, de tribunes pour les « suspendus » et  participe à des plaintes comme celle déposée contre les « 9 bonimenteurs », entendez « médecins de plateau télé ».  

Les prises de parole publiques.

Joël du collectif Anti-Pass 67 a notamment rappelé que ces inoculations n’ont jamais été des vaccins mais des injections d’ARN messager, un traitement expérimental qui n’a jamais dépassé la phase 3. C’est en effet ce qu’Amine Umlil, docteur en pharmacie et juriste, spécialiste de la pharmacovigilance indique dans son mémoire pour son audition à l’OPECST, édité sous le nom de « L’impossible consentement » : « Les essais cliniques de phase III sont des recherches interventionnelles sur l’être humain. La fin de l’expérimentation chez l’homme (essai clinique de phase III) ne peut être constatée qu’après la restitution des résultats visant à mesurer les effets du médicament. » Amine Umlil a été suspendu pour 3 ans, c’est dire à quel point son analyse était « atrocement et insupportablement » pertinente.

Joël a poursuivi en dénonçant le mensonge de cette politique vaccinale consistant à affirmer que le « vaccin » protégeait de la transmission. Or, en octobre 2022, lors d’une réunion au parlement européen, Janine Small, vice-présidente de Pfizer a avoué que le « vaccin » n’avait même pas été « testé sur sa capacité à empêcher la transmission ».

Un membre des Loups de le Liberté a témoigné pour ceux qui n’a pu se déplacer :  

  • Julia Walters, 37 ans. Elle a reçu deux injections de Pfizer en 2021 et a déclaré une péricardite post vaccinale puis une spondylarthrite ankylosante. Cette jeune femme ne peut non seulement plus travailler mais il lui est impossible d’effectuer certains gestes de la vie quotidienne.
  • Marc Gérombeau du collectif Action 200 Belgique. Sa fille Jennifer est décédée d’une embolie pulmonaire après la deuxième injection Pfizer alors qu’elle était en parfaite santé générale et cardiaque plus particulièrement. Elle avait 41 ans.

Joël cite Dominique Baudinaud dont la fille, Karin, est décédée après la troisième dose de Moderna. Ce papa dévasté a créé une carte de France pour répertorier les décès et effets indésirables suite à ces injections. https://victimes-des-effets-secondaires.ufomotion.xyz/

Il rappelle l’existence de plusieurs associations et rend hommage à plusieurs victimes :

  • Verity France, fondée par 3 familles de victimes : Maxime Beltra, Sofia Benharira et Mélanie Macip, tous trois décédés.
  • AAVIC TEAM 03 : fondée par Mathieu Dubois et Mélanie Maupas, eux-mêmes victimes d’effets indésirables.
  • Marie-Charlotte Bouttier, 34 ans : injectée à trois reprises, elle souffre d’une encéphalomyélite myalgique sévère et d’une myofasciite à macrophages.
  • Mauricette Doyer : décédée en mai 2022 de la maladie de Creutzfeld-Jacob après avoir reçu deux injections Pfizer.
  • Eva Musso, 30 ans : elle est décédée 8 jours après une première injection en décembre 2021.

De nombreuses personnes et souvent même des médecins ignorent la liste des effets indésirables. Joël va en citer quelques-uns. Derrière ces mots, ces noms se trouvent des souffrances incommensurables, interminables, des vies brisées, des projets anéantis, des parcours du combattant à devoir affronter le déni des médecins (nombreux ont d'abord été diagnostiqués malades psychosomatiques), avoir à assumer tous les coûts médicaux des examens nécessaires, puis la recherche de traitements qui, à défaut de guérir, permettrait de réduire les douleurs. Christine Cotton notamment ne cesse de dénoncer ces laissé-pour-compte, ces abandonnés de la médecine.

spondylarthrite ankylosante - péricardite aiguë - syndrome de Guillain-Barré - thrombose - diabète - AVC - turbo cancer -    troubles menstruels – infarctus du myocarde - hypertension artérielle - paralysie faciale – maladie de Creutzfeld-Jacob – atteintes oculaires (troubles de la vision, …) – douleurs articulaires...

Enfin, Joël dénonce le silence concernant les effets indésirables et les si nombreuses victimes qui rend monstrueusement complice les médias de grande écoute. Il rappelle le rassemblement qui a eu lieu le 16 janvier 2024 devant l’Agence Française de Presse à Paris et qui a été organisé par les associations Verity France, les Désenfantés et Contre-Attack, défense des droits humains. Nexus était présent : 

 

 

Andreas, membre de l’Union Fait La Force 88 a pris la parole pour rappeler l’importance de s’opposer au futur traité qui nous livrera en pâture à l’OMS pour une gouvernance mondiale. Le vote interviendra le 24 mai 2024. Il a également informé concernant les rencontres citoyennes autour des effets indésirables des vaccins, et des covid longs qui auront lieu à Vierzon le 3 février. Enfin, il a tenu à rendre personnellement hommage à Sofia Benharira dont la marraine, Sonia Gilbert, est très active au sein de Verity France et présente dans de nombreuses manifestations.

 

 

 

Les Dépêches Citoyennes remercient Joël pour cet article.

De nombreuses associations luttant contre l'obligation vaccinale et pour l'aide aux victimes existent depuis longtemps. La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations fêtera ses 70 ans cette année. L'association E3M, ou pour des vaccins sans aluminium sans oublier le Réseau des Victimes d'Accidents Vaccinaux et l'Alliance Nationale des Associations de Victimes de Produits de Santé.

N'hésitez pas à les faire connaître et à leur faire un don, beaucoup de victimes n'ont qu'elles pour les soutenir tandis que leurs actions sont essentielles en tant que contre-pouvoir au totalitarisme sanitaire.


Dépêches Citoyennes

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