20 mai 2024
Reportage

Rencontres autour des effets indésirables à Haguenau le 18 mai 2024

Les pluies diluviennes ont cessé le temps de ces rencontres à Haguenau, en Alsace, ce samedi 18 mai et c'est sous un grand soleil que les collectifs et victimes d'effets secondaires des injections Covid-19 ont pu se retrouver, prendre la parole et témoigner. Julia Walter, victime, était à l'initiative de ces rencontres, aidée par la toute nouvelle association alsacienne « On a eu not'dose ».

Les liens aux vidéos se trouvent dans les photos :-)

C'est à la suite des rencontres sur Vierzon que Cynthia a lancé l'idée de créer cette association pour répondre à un besoin local d'aide aux victimes et de diffusion de l'information pour toutes les victimes qui s'ignorent et sont niées par une grande partie du corps médical.

Plusieurs collectifs et associations se sont présentées, Solidekla qui aide les victimes à déclarer leurs effets indésirables, Verity France, les désenfantés qui soutient les parents en deuil, AAvic Team qui vient en aide aux victimes, Viac19 qui a créé une carte de France pour recenser les victimes sur le territoire français. Julia, Cynthia, Karine, Laure, victimes directes de ces injections ainsi que Michèle et Dominique, dont les enfants sont décédés suite à ces injections ont pris la parole. Tous souhaitent que la parole se libère, que les victimes se fassent connaître afin de contraindre les institutions à mettre fin à cette omerta violente et insupportable sur la toxicité de ces injections. Tous appellent chacun de nous à ne plus accepter aucune injection, à parler dans son entourage pour faire connaître la toxicité de ces injections mais aussi tout l'illégalité qui entoure leur mise sur le marché et le crime que représente l'obligation vaccinale.

Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin est venue et a échangé avec plusieurs victimes
Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin est venue et a échangé avec plusieurs victimes.

 

Laure et Julia, sont deux mères de famille dont la vie est devenue un enfer, le mot n'est pas trop fort. Leur témoignage est poignant et il est difficile pour chacun d'imaginer la souffrance physique et psychologique qu'elles endurent au quotidien. C'est toute leur vie qui est impactée, le travail, la famille, l'adaptation au handicap et cette souffrance qui ne les quitte pas. Les victimes sont aussi collatérales avec des conjoints dans la douleur de voir celles qu'ils aiment diminuées et en souffrance, leurs enfants vivant dans la peur de perdre leur mère, les parents de voir leur enfant traverser une telle expérience, leurs amis dont certains regrettent de n'avoir pas su trouver les mots ou les arguments pour qu'elles ne cèdent pas aux contraintes qui leur étaient faites pour prendre cette injection-poison.

 

Cynthia, elle, n'a pas d'enfant. Malade depuis sa petite enfance, malvoyante puis aveugle à l'âge de 17 ans, elle a connu les opérations les hôpitaux, les interventions et le handicap. Amoureuse de la vie et d'une force de caractère impressionnante, elle subit de graves effets secondaires de ces injections. Elle avait fini par accepter cette « vaccination », son médecin lui ayant maintes fois répété qu'elle était en danger avec son asthme. Cette si jolie jeune femme, pétillante, souriante, et d'une force de caractère sans pareille, aime la vie par-dessus tout, et trouve du réconfort auprès des ses chiens qui ressentent fortement sa douleur et se collent à elle quand elle souffre plus que d'habitude, car Cynthia vit avec la douleur, elle ne cesse jamais. Son témoignage est pour chacun de nous une leçon de vie.

 

 

Karine a perdu son fils, Yann. Son témoignage est court mais Karine est timide et pudique, parler devant une foule ou une caméra lui est difficile. Malgré cela, elle intervient à chaque fois que cela lui est possible pour que son malheur n'arrive pas à d'autres. Son fils avait été contraint de se faire injecter pour pouvoir suivre un traitement. Il est décédé d'une crise cardiaque et n'a pu être réanimé. Dans son témoignage, elle se souvient avoir perdu un bébé âgé de 2 mois et demi et se questionne quand au lien entre ce décès et une vaccination infantile. Il est question de muter tous les vaccins en technique ARN. Il n'est plus même question du doute quand à la toxicité de cette technique. Nous devons protéger nos enfants.

Michèle Musso et Dominique Beaudinaud ont fait le trajet depuis le Sud de la France pour venir témoigner. Michèle Musso est catégorique, des plaintes personnelles doivent être déposées car il est trop facile de rejeter une plainte collective et nier ainsi la souffrance de centaines de victimes. Elle a perdu sa fille et ne cessera pas le combat tant pour ce qui concerne les actions judiciaires et les actions d'informations. Elle est présente dans les rues d'Aix-en-Provence tous les samedis pour dénoncer ces injections-poisons. Ils ont créé deux collectifs, Les Désenfantés et Viac 19.

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« La santé est notre bien le plus précieux ». Toutes ces victimes témoignent pour que cela n'arrive pas à d'autres et leurs efforts pour se déplacer et vivre ces journées de rencontres sont presque au-delà de leurs forces tellement elles « payent » le lendemain ces journées durant lesquelles elles n'ont pu se reposer. C'est par empathie et ce que l'on pourrait qualifier d'amour de leur prochain qu'elles s'oublient elles-mêmes le temps d'une journée pour venir en aide aux autres. Aucune d'entre elle ne témoigne de colère, qui serait pourtant plus que compréhensible.

Enfin, le témoignage de Cynthia et Joël est un message fort. Bien que tous ceux qui alertaient dès 2020 sur les dérives sanitaires et les dangers de ces injections aient été souvent ostracisés, raillés, moqués voire même menacés, ils n'en gardent pas rancœur et veulent donner toute leur énergie en venant en aide aux victimes et informer pour qu'il ne puisse plus y avoir de « si j'avais su » et demander la reconnaissance et une aide médicale adaptée pour les victimes.

 

Photo de Serge Lorber

Hervé Seligmann, venu du Luxembourg pour ces rencontres témoigne du déni de science concernant la technique employé pour ces injections. « Tout scientifique connaît la différence entre un système immunitaire humoral et mucosal. Une injection dans le sang ne peut protéger d'un virus aéroporté qui passe par les muqueuses ». Il dénonce également les « falsifications » de chiffres communiquée en France et en Europe et enfin il alerte concernant l'effet shedding des injections-poisons, toxiques pour chacun d'entre nous, vacciné ou non. Il parle de ses analyses dans plusieurs vidéos accessibles sur les chaînes des Dépêches Citoyennes.

 

Sébastien, infirmier que nous avions rencontré au tribunal administratif de Nancy était présent pour soutenir l'action. Il a repris le travail et exerce dans le handicap. Il témoigne de la "propagande" faite aux personnes vulnérables et hésite à employer le terme de chantage à l'injection. Il se questionne sur les vaccins infantiles, personnellement concerné en tant que père. Il voit parmi ses patients la prise de conscience se faire petit à petit.

Photo de Serge Lorber 

 

Andreas Pfeiffer, enseignant, fervant militant de la cause des enfants et membre de l'Union Fait La Force 88  a pris la parole pour rappeler les dangers du Traité Pandémies de l'OMS et de RSI (règlement sanitaire international) et appeler à rejoindre les manifestations à venir.  

 

 

Virginie Joron, député européenne a longuement échangé avec des victimes et les organisateurs et est restée pour la soirée qui s'en est suivie.
Virginie Joron, député européenne a longuement échangé avec des victimes
et les organisateurs et est restée pour la soirée qui s'en est suivie.

 

Les vidéos de cette journée et les interviews sont dans « nos vidéos ». Un grand merci à Serge pour son aide concernant les corrections sur son. Vous pourrez retrouver les photos de l'évènement sur son canal télégram.

Faites passer pour aider les victimes, ces associations et chacun de nous, en tant que membre de l'humanité toute entière.

 


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