Collectif Parents Résistants : un an d'actions hebdomadaires
17 novembre 2022
Reportage
Collectif Parents Résistants : un an d'actions hebdomadaires
Le collectif des Parents Résistants 57(anciennement collectif PIIC)manifeste chaque semaine, depuis un an, devant le bâtiment de l’Inspection académique de Metz (rue Wilson). Nous les avions rencontrés en février, voir notre article ici.
Depuis le mois de juillet 2022, les Parents résistants ont choisi de rendre hommage aux victimes des injections expérimentales(appelées "vaccin Covid-19") pour porter sur la place publique les effets délétères des mesures sanitaires, les effets secondaires indésirables graves des injections, dont les décès. Ils exposent des affiches, distribuent des flyers et répondent aux questions des citoyens.
L’accueil est dans l’immense majorité très positif. Les gens sont à l’écoute et nombreux sont ceux qui n'avaient pas l'information, ne savaient pas et remercient de l'information qui leur est donnée.
« De nombreuses personnes, lorsque l’on aborde les effets secondaires, prennent conscience de la causalité de leurs maux avec ces injections. C'est en discutant qu'ils se questionnent et réalisent qu'ils sont peut-être, eux aussi, victimes d'effets secondaires. »
Néanmoins, certaines personnes, moins nombreuses, sont choquées de ce qui est dit, de la présence du collectif, car pour elles, ce qui est dit est faux. Elles restent persuadées que le Covid-19 a beaucoup tué, que les injections les protègent et pensent sincèrement que la balance bénéfice-risque est en faveur de l'injection. Elles n'envisagent absolument pas que le « traitement »puisse être plus dangereux que la maladie.
Nous interrogeons quelques personnes sur place : «les médias ont un rôle d'information, pensez-vous qu'ils faillent à leur tâche ?". La réaction est immédiate et spontanée : ils éclatent de rire en choeur. "les médias, mais cela fait longtemps que nous ne regardons plus la télé, ce ne sont que des mensonges!»
Certains parents dont les enfants sont des victimes, qui sont dans la douleur, ont rejoint le collectif. Il leur permet d’être soutenus, représentés, écoutés, mais aussi de pouvoir témoigner de la perte de leur enfant. Ils espèrent et témoignent afin que cela n'arrive pas à d'autres.»
Il y a un noyau dur au sein du collectif et beaucoup de parents résistants en satellite. Chaque semaine une quinzaine de parents, grands-parents participent à ces actions d’information. A la question que nous leur posons sur l'information qui est le rôle porté par les médias dans l'information, la réponse est immédiate et commune : un grand éclat de rire pour dire ensuite que cela fait longtemps qu'ils ne regardent plus la télé. Il n'y a plus aucune confiance dans les médias.
Afin de toucher plus de monde, les actions se passent en centre-ville : place de la République chaque mercredi entre 14h et 17h en conservant un mercredi dans le mois devant l’Inspection pour maintenir la « pression ».
«Nous restons vigilants sur les agissements orchestrés par l’administration. Par exemple, nous avons appris qu’en Meuse, un médecin de centre de vaccination, avec autorisation de l’inspection académique, va se déplacer dans un collège afin de contrôler les carnets des enfants et leur proposer une vaccination sur place. »
« Nous devons porter la parole car nous souhaitons que les parents prennent conscience de l’attaque qui est faite à leurs enfants. Ils étaient nombreux à vouloir agir contre le port du masque mais depuis que celui-ci n’est plus obligatoire ils se sont relâchés dans la lutte. Ils ne semblent pas avoir pris conscience que nous devons protéger nos enfants de bien plus que cela. Ce combat est devenu viscéral, les enfants doivent retrouver une vie normale, ils sont traqués toutle temps. Nous voyons les angoisses sur nos enfants, ils n’ont plus un sommeil réparateur, vivent dans la peur. Nous ne voulons plus voir nos enfants se suicider (augmentation alarmante et jamais vue jusque là de suicides de jeunes enfants). Je suis une maman, une adulte ; il nous appartient de les protéger. Ce sont nos enfants, ils n’appartiennent pas à l’État ! Nous les connaissons bien mieux que tout le monde. Nous savons ce qui est bon pour eux. Très clairement les mesures prises ne sont pas là pour protéger les enfants et nous avons, statistiques à l’appui, les preuves du mal qui leur est fait.»
La sommation interpellative* qui avait été faite à Monsieur Jean-Marc Huart le 24 novembre 2021 est restée sans réponse. Pourquoi ? Jean-Marc Huart a été nommé directeur du cabinet du ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et Richard Laganier a été nommé recteur de l'Académie de Nancy-Metz en juillet 2022.
Aujourd’hui, le collectif informe de l'action des Parents en Colère et des courriels** qui ont été adressés dans tous les établissements scolaires de France afin d’informer les directeurs d’établissements de la légalité des mesures (notamment l'illégalité du protocole sanitaire) d’une part et de leur toxicité et effets délétères d’autre part.
Le 10 décembre, une action nationale sera relayée à Metz sur le Parvis des droits de l'homme (quartier Muse) à partir de 14 h à l’initiative de Action 200 et des parents des victimes des injections afin d’alerter la population des effets secondaires gravissimes et nombreux. Le Docteur Benoît Ochs sera présent.
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