7 juillet 2022
Citoyen

L'Aurore Boréal'Ain

EDITORIAL

L'oiseau, l'autour et l'alouette.

Catherine Hill, épidémiologiste "Il faut vacciner les gens chez eux"

Marche du Réveil : 8 ème édition 

Un week-end de folie à Contrexeville

Instruction en famille : de la déclaration à l'autorisation préalable

Intervention du docteur Pascal Sacré

Interview du docteur Alexandra Henrion Caude

« L’OISELEUR, L’AUTOUR ET L’ALOUETTE


Les injustices des pervers
Servent souvent d’excuses aux nötres.
Telle est la loi de l’Univers :

Si tu veux qu’on t’épargne, épargne aussi les autres.

Un manant au miroir prenait des oisillons.

Le fantôme brillant attire une alouette.

Aussitôt un autour planant sur les sillons

Descend des airs, fond, et se jette

Sur celle qui chantait, quoique près du tombeau… »

Jean de La Fontaine

 

L’alouette à ses griffes de justesse échappe.

Souriant à cet oiseleur déçu d’avoir été devancé.

Rapportant des vivres de l’échoppe,

Sauve, elle embrasse ses petits protégés.

Bredouille s’en retourne l’autour.

De sa mésaventure, penaud sort notre oiseleur vautour

De loin à la scène ayant assisté :

Ces oisillons en joie de belles retrouvailles.

L’oiseleur, attendri, pensant à sa bambaille

Revint en paix sur ses pas.

Tel un ange lui ayant apparu

Sourire aux lèvres, il courut...

Retrouver ses enfants chéris

Pour les serrer fort dans ses bras.

Depuis, l’oiseleur et l’alouette sont amis.

CATHERINE HILL, EPIDEMIOLOGISTE, insiste : « Il faut aller vacciner les gens chez eux » Déclaration du 12 mai 2022 sur Radio France

 

  • Bien que retraitée et n'exerçant plus son métier d'épidémiologiste statisticienne, Catherine Hill fait partie des personnalités régulièrement consultées dans les médias au sujet de la Covid-19. Elle demande à la Sécurité Sociale pourquoi 11 pour cent des personnes de plus de 80 ans ne se sont pas fait injecter cette thérapie génique contre le Covid.

Ce sont des personnes qui ne peuvent plus se déplacer selon elle.

Il ne s’agit certainement pas d’un choix personnel. Il n’y aurait pas 11 pour cent d’anti-vax dans cette tranche d’âge.

Il faut en gros si nous résumons bien ses dires aller les vacciner à leur domicile.

Elle est consciente que si des personnes vont à leur domicile leur proposer cette injection...

Sommes-nous toujours dans le respect de la dignité de ces personnes ?

Certains ne vont-ils pas les pousser voire les forcer à se faire vacciner ?

Bien évidemment que si Mme certaines personnes de plus de 80 ans sont encore capables de penser par elles-mêmes et bien évidemment que si dans cette tranche d’âge des personnes curieuses qui ont effectué leurs recherches sur ces produits Bigpharma et leurs effets secondaires potentiels refusent tout simplement de se faire injecter, d’accorder leur confiance à des personnes millionnaires et milliardaires prêtes à tout pour vendre, même à sacrifier une partie de la population.

Combien gagne cette épidémiologiste dans cette propagande à l’égard de personnes plus vulnérables puisque chez elles, seules, face à une force étatique... ?

Combien gagne-t-elle en refourguant les « vax » de Pfizer et ses acolytes ?

Serait-elle en lien avec tous ces commerciaux corrompus et mafieux ?

Est-elle soignante ou commerciale prête à vendre n’importe quelle camelote chimique qui mettrait en danger ses potentiels patients ?

Quand ces personnes qui se croient détenir la vérité vont-elles cesser de jouer avec la peur des peuples, de nuire à la population française ? Cette scène télévisée me fait penser à une des comédies de Molière...Je vous laisse deviner laquelle ?

Cette femme a-t-elle encore une conscience professionnelle ? Là est la question.

 

ADDENDUM des Dépêches Citoyennes :

Nombre de ces personnes âgées s'informent et notamment en écoutant les vidéos du Professeur Didier Raoult : microbiologiste français, spécialiste des maladies infectieuses, professeur des universités, praticien hospitalier, directeur de l'IHU. Il est dans le classement des scientifiques dans les domaines de la virologie et de l'immunologie, un des meilleurs, pour ne pas dire le meilleur au monde. Il affirme très clairement que "ce vaccin ne fonctionne pas", ni en termes de prévention, ni en termes de transmission, ni en terme de limitation des formes graves.

"Un non vacciné ne représente pas un danger particulier puisqu’ici la proportion de personnes positives est aussi important chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Avec des données de cette nature, vous ne pouvez quand même pas mettre les gens en camp de concentration ou les enfermer chez eux parce qu’ils ne vous obéissent pas ! Sinon, vous tombez dans des choses qui rappellent une partie de la deuxième guerre mondiale. Quand on veut que les gens obéissent, cela s’appelle le totalitarisme."

https://www.entreprendre.fr/professeur-didier-raoult-nous-avons-la-preuve-que-le-vaccin-ne-fonctionne-absolument-pas/

MARCHE DU REVEIL 8EME EDITION ENTRE LONS ET LE PIC DE L'AIGLE

 

L'association Parents en Colère, avec la participation des Collectifs Pour la Liberté de Choix 01 et Les Lucioles 39, propose une nouvelle Marche du Réveil...Sa 8ème édition...Qui cheminera cette fois-ci entre Lons-Le-Saunier et le Pic de l'Aigle les 2 et 3 juillet prochains.

Initiée par Marc Vauzelle, ostéopathe et Gauthier Bein, médecin généraliste, pour donner suite aux milliers de personnes suspendues de leurs fonctions professionnelles à partir du 15 septembre dernier. Ils étaient partis d'Epinal le 30 octobre et avaient marché jusqu'au Mont Valérien afin d'alerter, dialoguer avec les citoyens français sur les conditions dans lesquelles ils étaient alors privés de leurs fonctions professionnelles, rappelant en même temps comment agissaient l'Ordre des Médecins ou l’Ordre des Infirmiers à leur égard, pour certains et leur direction pour les autres.

Les Lucioles 01, avec la participation des Collectifs Pour la Liberté de Choix 01 et Parents en Colère 01, ont déjà organisé une Marche sur le même modèle de Notre Dame des Conches à l’Abbaye de Notre Dame des Dombes dans l’Ain au mois de Janvier 2022.

Nous avons récidivé dans le Jura avec l’appui de nos amis Vosgiens L'Union Fait La Force 88 en faisant une boucle de Poligny à Baume-les-Messieurs les samedi 26 et dimanche 27 mars derniers.

La dernière en date, la 7ème Edition, a eu lieu à Montbrison (42) le samedi 23 avril 2022 au départ de la Collégiale Notre Dame de l'Espérance à 14h. Nous nous sommes retrouvés à une vingtaine. Chrystelle, trésorière, a présenté l'Association Parents en Colère et ses actions.

Les Marches du Réveil, entre autres, permettent de se rencontrer entre Collectifs locaux, d'échanger des idées et surtout de rencontrer d'autres citoyens sur le lieu choisi et d'échanger, partager sur ce qui se passe depuis 2 ans dans notre pays. Nous étions venus de l'Ain pour certains, de Chazelles-sur-Lyon, Saint-Etienne, Sainte-Colombe-sur-Gand (42), Saint-Martin-En -Haut (69) pour d'autres. Sous l'égide de Liberté 42 43 et Parents en Colère. Nous avons eu la chance de marcher aux côtés de ce médecin généraliste YvesAlexandre Rafalovitch suspendu de ses fonctions. Il a été ridiculisé par des passants interviewés le lendemain de la suspension de ses fonctions, dires de passants publiés dans Le Progrès.

Fallait-il à tout prix prendre parti et approuver une décision aussi radicale que cette suspension de fonctions professionnelles survenue pour des milliers de travailleurs français ? Savent-ils au moins ce que cela signifie : ils sont privés de leur dignité professionnelle et surtout le pompon... : ils ne touchent plus aucun revenu. Il leur faut trouver un job purement alimentaire pour beaucoup et donc renoncer à sa passion...

Ce qui est à la fois rageant et incompréhensible c'est que ce médecin...Ces passants l'ont jugé sans connaître son point de vue sur la situation actuelle.

Cependant, n'y a-t-il pas ici un non-sens ? Qui serait le mieux placé, selon vous, pour parler d'une telle situation ?

Le port du masque est rendu obligatoire partout sous prétexte de se protéger et de protéger son prochain d'un virus le Covid ? Le médecin généraliste lui-même ne possède-t-il pas les compétences nécessaires et suffisantes pour rendre un avis justifiable sur la question ? N'a-t-il pas étudié la médecine ? Ne s'est-il pas documenté sur le bien-fondé d'un masque pour lutter contre un virus ? N'est-il pas à même de réfléchir, de penser par lui-même et d’avoir un point de vue sage et éclairé sur la question ?

Je remercie toutes ces personnes, soignants et scientifiques, qui ont pris des risques en nous mettant en garde, honnêtes, loyaux et dépourvus d'intérêts commerciaux individuels,

  • Des effets néfastes dus au port du masque

  • Des effets indésirables dus aux injections contre le Covid.

Je remercie personnellement Yves Alexandre Rafalovitch de m'avoir corrigé sur le terme employé : il s'agit bien d'une injection ou d'une thérapie génique. Il ne s'agit aucunement du vaccin puisque les personnes une fois injectées contractent encore le covid.

...

Nous souhaitons également échanger avec les citoyens Jurassiens à propos d'un sujet souvent oublié par les Médias télévisés Mainstream, presque tabou peut-être, ...

Celui de nos enfants et jeunes qui ont parfois, pendant ces deux années très spéciales au niveau des restrictions de nos libertés, des mesures sanitaires souvent poussées à l’extrême, tout simplement craqué psychiquement parlant...Et qui sont, pour certains d’entre eux, passés à l’acte en mettant fin à leurs jours.

En effet, entre autres, une fillette de 10 ans s'est suicidée. Selon sa famille, elle vivait une grande détresse causée par les mesures sanitaires. Une adolescente de 13 ans, nièce d'une de mes connaissances, se défenestre...Une jeune fille de 15 ans renonce à s'alimenter...Ne trouvant plus d'intérêt à une vie où il faudrait vivre masquée et éloignée de ses pairs en permanence.

Surtout, si nous nous souvenons bien, ces mesures sanitaires changent régulièrement et la plupart des professeurs les appliquent quelles qu'elles soient...Certains ont même fait porter le masque en cours de chant ou encore en activité sportive intense ou non d'ailleurs...Ont-ils perdu leur cœur ? Leur capacité de discernement ?

 

1er jour Samedi 2 Juillet : LONS-LE-SAUNIER

A la Rencontre de citoyens jurassiens...Des galets, le Journal indépendant et des flyers pour informer autrement...

Départ prévu : Eglise Saint-Désiré à 10h30 vers Mancy 9 km environ

 

Arrêt pique-nique Repas tiré du sac en fonction de l avancée de tous les Marcheurs 

A 17H Accueil de notre hôte qui nous montre le fonctionnement de la salle

Goûter Moment de détente

A 19h Show Mi-Parcours suivi d'un repas partagé

Chacun apporte un plat sucré ou salé et une boisson

 

2ème jour Dimanche 3 juillet : PIC DE L'AIGLE

Départ prévu : 9h30 Parking Sud Lac d'Ilay

Direction Pic de l'Aigle

Un jeu de piste est prévu à cette occasion

 

Hébergement possible sur place

 

Pour toute information et inscription, merci de nous contacter par mail à l’adresse suivante :

8emeMarcheDuRéCette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


https://depeches-citoyennes.fr/2022/06/marche-du-reveil-8eme-entre-lons-et-le-pic-de-l-aigle.html

UN WEEK-END DE FOLIE (11 ET 12 JUIN) A CONTREXEVILLE SOUS L’EGIDE DE L’UFLF88 ET PEC88 :


L’association l’Union Fait La Force 88 et le Collectif Parents en Colère 88 étaient ravis de proposer un week-end de folie dans Contrexeville soit les 11 et 12 juin 2022.

Les fondateurs de l’UFLF88 soit Gauthier Bein, médecin généraliste et Marc Vauzelle, ostéopathes suspendus de leurs fonctions professionnelles, épaulés par les Parents en Colère 88, étaient ravis de proposer aux Marcheurs du Réveil des Vosges et de l’Ain et à des personnes venues de Contrexeville et alentours une mini Marche autour du Lac des Folies à partir de 14h samedi 11 juin. Ils étaient environ une trentaine à marcher accompagnés de Benoît Ochs, médecin du Luxembourg également suspendu ainsi qu’Andreas Pfeiffer et Jocelyne Chassard, professeurs suspendus de leurs fonctions professionnelles également.

A 18h30, ils sont rejoints par la Présidente de l’Association Parents en Colère Violette Bufalini qui soutient activement les professionnels suspendus de leurs fonctions ainsi que tous les parents en colère en raison de ces mesures sanitaires souvent extrêmes imposées dans tous les établissements scolaires à leurs enfants sans leur accord préalable. Vous n’êtes pas sans savoir que ces mesures sanitaires ont provoqué le mal-être de milliers d’enfants et d’adolescents au cours de ces 2 années consécutives les poussant parfois vers l’irrémédiable : le suicide.

En effet, le port du masque, entre autres, était imposé toute une journée pendant les apprentissages autant en salle de classe qu’en chant et souvent même pendant leurs activités sportives et en cours de récréation. Les professeurs et surveillants pour beaucoup punissaient les élèves réfractaires qui osaient retirer le masque pour respirer librement. Les Directeurs d’établissements scolaires refusaient dans la majorité des cas de tenir compte des certificats médicaux qui venaient autoriser le non-port du masque à ces patients scolarisés. Des enquêtes empiriques menées par des parents en colère dans toute la France ont permis d’ailleurs à des milliers de Français d’ouvrir les yeux sur les maltraitances infligées à leurs enfants par les personnels de ces établissements scolaires, avec la bénédiction des gouvernants.

Cette marche est suivie d’un pique-nique puis du concert de notre engagée Chloé que nous remercions infiniment. Ses chansons, dont la plus connue : « Liberté, j’écris ton nom », toujours aussi chargée en émotions, ravivent les coeurs et font encore verser des larmes par moments.

Le concert est suivi d’une fête d’anniversaire qui se termine tard dans la nuit.

Le lendemain matin dès 9h la journée débute par une interview réalisée par Vosges TV de Benoît Ochs, médecin du Luxembourg suspendu de ses fonctions professionnelles. Celui-ci dénonce l’existence d’effets secondaires dus à l’injection thérapeutique contre le Covid. Il s’exprime ainsi :

« L’Union Fait La Force 88 » essaie de bouger et de faire bouger les choses. J’ai participé à la Marche de la Résistance avec ce groupe qui avait déjà fait la Marche du Réveil qui cheminait d’Epinal au Mont Valérien. J’ai appris beaucoup de choses avec eux. J’ai vécu des choses très intéressantes surtout à cette période où les gens ont tendance à avoir peur, à vivre dans leur coin et inquiets sur les évènements qui se passent en ce moment. Là j’ai vécu de la solidarité. »

« Concernant les vaccins, il existe une balance bénéfice risque. Pour la mise sur le marché de vaccins, il est nécessaire de réunir deux conditions :

  • Aucun médicament actif sur le covid

  • Un avantage à se faire vacciner

Or, la phase de test de ce médicament n’est pas finie. Il pourrait être dangereux. Alors il est impératif d’avoir un avantage à se faire injecter.

La pharmacovigilance est quelque chose qui a été mise en place pour protéger les populations contre les médicaments qui pourraient être dangereux pour eux.

C’est la 1ère fois qu’on parle de taux de mortalité pour un vaccin.

On connaît la mortalité des enfants avec le covid : 250 morts du Covid sur un an en Europe.

Officiellement, le taux de mortalité par million d’enfants de moins de 20 ans vaccinés  serait de 40 par million. ; 100 millions d’enfants en Europe dont 16 millions en France. Par conséquent, en Europe : 40 x 100 = 4000 morts – en France : 40 x16 = 640 morts. Ceci reste une estimation de la pharmacovigilance.

Un débat au Sénat a eu lieu sur ces potentiels effets indésirables. Il a été reconnu qu’il y a 10 à 100 fois plus de décès à la suite de l’injection de nos enfants.

Quelle alternative ?

  1. Ce débat au Sénat

  2. J’attends que la presse en parle de ces effets secondaires.

  3. Certains professeurs et médecins commencent à en parler et donc à tourner leur veste.

Je vais apporter des arguments…

En l’occurrence, en 2017, le vaccin Dengvaxia est fabriqué par Sanofi et très rapidement 800 000 enfants des Philippines sont vaccinés » Seul Radio France en parlera :  « Le fiasco d’un laboratoire » accusé aux Philippines. Il avait mis au point un vaccin contre la Dengue qui va entraîner officiellement la mort de 600 enfants. Officieusement de 10 000 enfants. Sanofi a un énorme procès actuellement. La fabrique qui produisait ces vaccins a par conséquent été fermée. Il y avait à l’époque un faisceau de preuves suffisant pour inculper les personnes accusées. Cependant, les familles savent que ce procès peut prendre des années. En effet, s’attaquer à des laboratoires pharmaceutiques est un sujet « tabou ».

 

 

« Est-ce qu’on a le droit de le dire maintenant ? Est-ce qu’il y a une ouverture d’esprit pour pouvoir dire qu’il peut y avoir de mauvais vaccins ? Et que quand on a un mauvais vaccin et qu’il n’y a pas d’avantage à faire ce vaccin, on l’arrête ? »

 

A la suite de ces interviews des différents intervenants prévus à l’occasion de cette Conférence débat, cette dernière commence enfin.

 

Les différents intervenants sont les suivants :

Chloé artiste engagée

Benoît Ochs, médecin généraliste du Luxembourg suspendu

Maître Faivre qui défend les personnels suspendus

Gauthier Bein, organisateur et médecin généraliste suspendu

Benoît AKPEMADO médecin suspendu et écrivain « Et j’ai refusé l’injection »

Jocelyne Chassard, professeure en Documentation, révoquée pour avoir dénoncé le harcèlement moral.

 

Le thème : Ces intervenants viennent débattre sur l’intérêt du « Vaccin » contre le Covid chez les enfants et adolescents de moins de 20 ans.

 

Gauthier rappelle ceci : « Cette prétendue vaccination contre l’infection et la transmission marche peu. » « Attendons la rentrée de septembre qui sera sans doute un moment clé ou peut-être d’ici une semaine...Après les Législatives… Il nous faudra agir en vue d’empêcher qu’on injecte enfants et femmes enceintes. »

Une Etude danoise nous montre que les moins de 50 ans ne présentent aucun risque avec le covid.

Il faudrait faire abroger cette loi d’urgence. En effet, il n’y a pas d’urgence.

Benoît Ochs approuve les dires de Gauthier en mentionnant quelques études scientifiques réalisées chez les enfants.

Jocelyne Chassard répond ensuite à la question suivante : « Que pouvons-nous faire dans l’Education Nationale pour que les enfants ne soient pas injectés ? »
Selon elle, les parents doivent attaquer : par des courriels d'interpellation directement aux établissements ou aux hiérarques, par l'envoi de documents factuels, par des plaintes auprès des procureur.es de la République. Les actions individuelles, certes très rares, peuvent devenir emblématiques avec une médiatisation appropriée et un fort soutien local et/ou national. Et des actions collectives sont aussi nécessaires : les 13 sommations interpellatives délivrées par voie d'huissier, entre mi-novembre 2021 et mi-janvier 2022, à 13 rectrices et recteurs de régions académiques, ont réuni 3600 personnes. Elles pourraient avoir une suite pénale avec l'aide d'une avocate de la région Bourgogne-Franche-Comté. Pour informations sur la sommation du Grand Est, contactez : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Une autre action collective importante actuellement est l'interpellation des membres de l'O.P.E.C.S.T., cet organisme parlementaire qui enquête depuis 2 mois sur les Effets indésirables des faux-vaccins Covid, qui a organisé une audition publique le 24 mai 2022 :
https://depeches-citoyennes.fr/2022/06/transcription-de-l-integralite-des-auditions-opecst-du-24-mai-2022.html
et qui vient de rendre un rapport d'étape : https://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/opecst/OPECST_2022_rapport_659.pdf
 

Benoît AKPEMADO, suspendu de son activité salariée et menacé de suspension de ses fonctions de médecin généraliste, intervient à son tour. Il porte un regard différent sur le soin à travers la crise. Il explique pourquoi on en est arrivé là...Et c'est le sujet de son livre. "Et j'ai refusé l'injection. Crise de la covid-19. Constats et réflexionSelon lui, les conflits d’intérêts pharmaceutiques en sont la cause principale. Dès la faculté de médecine, les étudiants en médecine sont déjà bercés dans des conflits d’intérêts. Conditionnés et formatés, dès le début de leurs études, même le contenu de leurs prescriptions est influencé et subit la pression pharmaceutique. Ça se poursuit à l’hôpital et une fois diplômés. Beaucoup de médecins négligent l’impact que cela a dans leurs prescriptions.

La croyance selon laquelle on peut éradiquer une maladie infectieuse par la vaccination de masse est présente depuis l'éradication de la variole. Cette croyance est tenace alors même que l'OMS elle-même indique dans son rapport sur le sujet (début des années 80), que la vaccination de masse n'a pas contribué à cette éradication.
Malheureusement, s’est posée la même question pour éradiquer la covid 19…es autorités sanitaires nous ont fait croire qu’une fois tous vaccinés,
nous pourrions revivre tranquillement. 
La suite nous la connaissons. Malgré une couverture vaccinale très haute dans l'ensemble des pays européens, le virus circule toujours.
Que pourrions-nous alors proposer à nos patients ? La phytothérapie, l’hygiène de vie...A titre d'exemple, 149 plantes, moléculairement ont un impact sur la Covid. En l’occurrence, la Réglisse. Elle a une action sur l’entrée du virus dans la cellule ainsi que les complications vasculaires. A tous les stades, elle est efficace. Or, ces trésors au niveau phytothérapie ont été mis de côté. Face à l'impasse thérapeutique que nous avons vécue, des moyens financiers auraient pu être déployés pour confirmer définitivement l'intérêt de ces traitements naturels dans la pandémie.

 

Benoît Ochs partage l’avis de Benoit Akpemado : « Une étude issue du Japon nous rapporte que la médecine préventive, méthode choisie par les Japonais, a eu de meilleurs résultats. Ils ont eu 20 fois moins de morts que nous européens. »

Maître Faivre prend enfin la parole afin de nous éclairer sur les actions envisageables pour nous citoyens. 

Son expérience notamment dans le domaine de la maladie de Lyme lui a permis de faire face à des situations totalement inédites et illogiques en son sens. En effet, elle a eu à défendre des médecins poursuivis pour manquements déontologiques. Or, Maître Faivre a mis en avant l’intérêt supérieur du patient retenu par ces médecins inquiétés contre le dogme soutenu par l’Ordre des Médecins. En effet, ce qui compte avant tout c’est qu’il ait soigné et amélioré l’état de santé de ses patients.

D’abord pour les personnes vaccinées dans les Centres de Vaccination qui souhaitent agir en justice en raison d’effets indésirables notables après injection, celles-ci ont reçu une fiche de synthèse sur laquelle figure le nom du médecin ou du dentiste qui donne son accord pour la vaccination individuelle. A ce stade, ils engageraient leur responsabilité juridique en tant que « sachant ». L’avocate part, sur le conseil du Dr Ochs, de chiffres officiels sur les effets indésirables ce qui coupe court à toute discussion, interprétation pour battre en brèche la crédibilité de ce « vaccin » et juridiquement en contester l’éventuelle obligation. La preuve du lien de causalité entre la maladie survenue à la suite de l’injection et l’injection elle-même est rapportée à la suite d’une expertise.

Ensuite, au 31 juillet 2022, les mesures d’urgence sont censées prendre fin. Il est donc indispensable de se mobiliser en vue d’un futur projet de loi qui viserait à encadrer, hors urgence exceptionnelle, tant la prévention et l’obligation vaccinale que les moyens laissés au gouvernement national ainsi qu’à la gouvernance européenne pour décider en cas de recrudescence de l’épidémie.

Pour cela, nous devons mobiliser des députés en allant voter. C’est par là que passe le processus législatif. Il est en effet difficile de détricoter les choses quand une majorité de parlementaires a voté.

Sur le plan juridique, il n’y a pas eu des centaines d’actions portées en justice. Il faut se dire que l’avocat représente quelqu’un qui le mandate. Il ne peut défendre aucune liberté si personne ne vient l’engager comme défenseur de ses droits. Il faut donc des personnes qui veulent qu’on les défende. Or, cela demande du courage. 

Concernant les personnes suspendues de leurs fonctions, il n’y a en vérité que quelques résultats positifs sur des petites nichés de procédure. Le socle législatif ne pouvait pas être renversé.

En matière prud’homale cependant, pour les personnels privés, les juridictions non professionnelles ont une connaissance du terrain qui fait que des choses peuvent bouger dans des cas individuels particuliers. En l’occurrence, une soignante sous contrat privé suspendu, en soin pour un cancer, avait refusé l’injection anti-Covid-19 au motif que cela mettait en péril l’équilibre général de son traitement. Le Conseil des Prud’hommes estime alors que ce cas est entendable et par conséquent ne la sanctionne pas. Il impose alors à son employeur de la réintégrer dans ses fonctions.

Posons-nous la question suivante : les Cours d’Appel et magistrats professionnels vont-ils confirmer ou infirmer cette tendance ?

Chloé auteur compositeur interprète nous parle de son ressenti de cette crise de son point de vue de jeune femme et d’artiste. Chloé est connue entre autres pour sa chanson « Liberté j’écris ton nom » que je vous invite à écouter et réécouter sur YouTube. 

Dans cette chanson, elle alerte sur la violence policière dont elle sera elle-même victime à Nice, à la suite de la manifestation « antivax » du 21 février 2022. En l’occurrence, elle décide de prendre sa guitare et de jouer pour égayer l’événement qui se voulait pacifique.

La police municipale armée de LBD arrive sur les lieux et lui demandent de cesser. Des policiers se saisissent de la sono puis de sa guitare au cours d’une altercation durant laquelle Chloé sera violentée. 

Isolée pour l’intimider sans doute, les policiers et elle commencent à discuter. Refusant qu’elle prenne la parole en public, elle est mise en garde à vue et les infractions retenues contre elle furent les suivantes : tapage nocturne et incitation à la rébellion.

Selon elle, trop peu de jeunes et d’artistes se sont mobilisés pour défendre leurs libertés. Elle nous invite pour conclure à rester dans l’Amour et la Bienveillance qu’elle véhicule dans ses chansons.

L’INSTRUCTION EN FAMILLE : DE LA DÉCLARATION À L’AUTORISATION PRÉALABLE

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 L’éducation c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’Etat qui la doit (…) ces deux lumières se complètent l’une par l’autre » disait Victor Hugo.
Les lois instituées par Monsieur Jules Ferry en 1881 et en 1882 ont acté le triptyque suivant « l’école est obligatoire, gratuite et laïque ».
Il faut comprendre que ce n’est pas la scolarisation qui est obligatoire mais bien l’instruction. Ainsi l’instruction en famille ou l’école à la maison est tout à fait possible. Cependant, ce droit est de plus en plus réduit par le législateur. A l’approche de la rentrée 2022, il apparaît important d’éclaircir les évolutions.

I- L’instruction en famille : une simple modalité du droit à l’instruction.

A) Un droit à l’instruction assuré en principe par l’Etat.

L’instruction obligatoire implique l’obligation faite aux parents de faire instruire leurs enfants. Cette obligation est impérative.

L’instruction obligatoire a pour objectif de

« garantir, d’une part, l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des éléments de la culture générale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d’autre part, l’éducation lui permettant de développer sa personnalité, son sens moral et son esprit critique, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle, de partager les valeurs de la République et d’exercer sa citoyenneté » [1].

L’article L111-1 du Code de l’éducation proclame un principe de devoir d’instruction, que l’on retrouve dans le bloc de constitutionnalité et notamment au treizième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946 qui écrit que « La Nation garantit l’égal accès de l’enfant et de l’adulte à l’instruction, à la formation professionnelle et à la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l’Etat ».

Le principe du droit à l’éducation et l’accès de tous à l’instruction est inscrit au sein du premier article du Code de l’Education qui écrit que « Le droit à l’éducation est garanti à chacun afin de lui permettre de développer sa personnalité, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insérer dans la vie sociale et professionnelle, d’exercer sa citoyenneté » [2].

Cette instruction obligatoire est encadrée par l’article L131-1 et suivants du Code de l’éducation et dispose depuis l’entrée en vigueur de la loi pour une école de la confiance que « L’instruction est obligatoire pour chaque enfant dès l’âge de trois ans et jusqu’à l’âge de seize ans ».

Le principe de liberté d’enseignement est un des corollaires du droit à l’instruction en famille.

Celui-ci a notamment été reconnu par le Conseil Constitutionnel, dans sa décision 77-87 du 23 novembre 1977.

En outre, le Conseil d’Etat a jugé, dans sa décision du 19 juillet 2017, Association Les enfants d’abord, n°406150 que « Le principe de la liberté de l’enseignement, qui figure au nombre des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République, implique la possibilité de créer des établissements d’enseignement, y compris hors de tout contrat conclu avec l’Etat, tout comme le droit pour les parents de choisir, pour leurs enfants, des méthodes éducatives alternatives à celles proposées par le système scolaire public, y compris l’instruction au sein de la famille ».

Ce droit est ainsi protégé à la fois au plus haut niveau sur le plan du droit national mais aussi au niveau international.

L’Etat est donc débiteur d’une obligation positive qui consiste à permettre à chaque enfant de pouvoir bénéficier d’une instruction.

En principe, c’est l’Etat qui se charge de cette instruction et qui prend en charge le coût de cette dernière.

B) Un droit à l’instruction adapté par exception par les parents.

Le nombre d’enfants instruits à la maison est en hausse. Ainsi on comptait un peu plus de 35 000 enfants faisant école à la maison en 2017. En 2020 ce chiffre était passé à plus de 50 000 élèves en 2020.

L’instruction en famille constitue un corollaire de la liberté d’enseignement. C’est une modalité de mise en œuvre du droit à l’instruction. Ce droit à l’instruction fait toutefois l’objet d’un contrôle de l’Etat qui peut même donner lieu à des infractions pénales dans l’hypothèse où les mineurs ne seraient pas scolarisés [3].

Le droit à l’instruction en famille n’existe pas dans tous les pays, lesquels ont donc une grande marge de manœuvre pour sa mise en œuvre.

Ainsi la Cour EDH recense notamment le fait que si la pratique des Etats diffère sur l’instruction à domicile, l’article 2 du protocole additionnel n°1 à la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales implique pour ledit Etat « le droit d’instaurer une scolarisation obligatoire, qu’elle ait lieu dans les écoles publiques ou au travers de leçons particulières de qualité et que la vérification et l’application des normes éducatives fait partie intégrante de ce droit » [4].

En d’autres termes, les Etats ont une marge d’appréciation leur permettant de juger eux-mêmes les modalités pratiques de l’instruction des enfants.

Cette liberté est donc consacrée mais n’est pas absolue.

II- L’instruction en famille : une faculté de plus en plus restrictive.

Le droit à l’instruction en famille peut donner lieu à des difficultés pratiques de contrôle par l’administration.

Ce contrôle a divers objectifs. Tout d’abord, s’assurer d’une réelle progression des enfants par rapport au niveau de connaissance qu’ils doivent acquérir, d’autre part, des éventuels abus dont ces enfants peuvent faire l’objet dans le cadre inter-familial.

Depuis le premier mandat du Président Emmanuel Macron, l’instruction en famille a fait l’objet de deux nouvelles lois. Ces lois ont encadré l’instruction en famille.

A) Rappel de l’ancien régime de la déclaration préalable.

L’instruction en famille était soumise, comme chaque inscription au sein d’un établissement d’enseignement public ou privé, d’une inscription prenant la forme d’une déclaration annuelle d’instruction en famille auprès du maire et à l’autorité de l’Etat en matière d’éducation d’après l’article L131-5 du Code de l’éducation.

Cette obligation de déclaration s’appliquait à compter de la rentrée scolaire de l’année civile, dès lors que l’enfant atteignait l’âge de trois ans.

Il s’agissait d’une déclaration, laquelle était suffisante pour débuter.

Des contrôles étaient bien entendu réalisées au cours de l’année pour s’assurer des progrès pédagogiques des enfants.

Ainsi le représentant de l’Etat vérifiait que l’instruction ne dépassait pas le cercle familial.

En effet, l’instruction en famille n’est possible que pour un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernés, seulement s’ils sont de la même famille. Dans le cas contraire, il ne s’agit alors plus d’instruction en famille, mais d’un établissement scolaire de fait, ne respectant pas les formalités prescrites pour l’ouverture d’un tel établissement.

Ce n’est que si ces contrôles révélaient des carences que les parents pouvaient se voir enjoindre l’obligation de réinscrire leurs enfants dans un établissement scolaire.

Déjà par une loi du 26 juillet 2019 « une école de la confiance », l’instruction en famille a vu les modalités de son contrôle renforcées.

On constate différentes dynamiques concernant la loi pour une école de la confiance :
 L’abaissement de six à trois ans de l’âge de l’instruction obligatoire ;
 Le renforcement du contrôle de l’instruction dispensée en famille.

Le Conseil d’Etat a été saisi en ce sens le 22 octobre 2018 dudit projet de loi. Il a rendu un avis aux termes duquel il a considéré que

« le choix du législateur de fixer à trois ans l’âge de l’instruction obligatoire et d’étendre la durée de celle-ci de dix à treize ans, motivé par l’objectif de renforcer l’égalité d’accès à l’acquisition de la langue orale et écrite notamment pour les enfants issus des milieux les moins favorisés, de lutter le plus précocement possible contre les risques ultérieurs de décrochage scolaire et d’affirmer l’identité pédagogique propre de l’école maternelle, contribue à garantir les principes d’égal accès à l’instruction et de droit à l’instruction » [5].

Ce même projet de loi prévoit que deux refus consécutifs de contrôle pourront déboucher sur la mise en demeure des personnes responsables de l’enfant de l’inscrire dans un établissement d’enseignement scolaire de leur choix.

B) Le régime nouveau de l’autorisation préalable.

La loi n°2021-1109 du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République, dite loi séparatisme, a modifié cet article.

La loi du 24 aout 2021 dites loi contre le séparatisme a modifié l’état du droit pour la rentrée 2022.

Dorénavant, pour qu’un enfant bénéficie de l’instruction en famille, il faudra que le Maire autorise préalablement celle-ci.

Cette loi entrera en vigueur à partir de la rentrée 2022.

Dorénavant L131-5 du Code de l’éducation indique : « L’instruction obligatoire est donnée dans les établissements ou écoles publics ou privés. Elle peut également, par dérogation, être dispensée dans la famille par les parents, par l’un d’entre eux ou par toute personne de leur choix, sur autorisation délivrée dans les conditions fixées à l’article L.131-5 ».

Dès lors, le régime envisagé de manière antérieure, guidée par le principe de liberté de l’instruction, va être réduit à un régime dérogatoire.

Cependant, l’instruction en famille se trouve au centre de deux principes. D’une part, la liberté d’enseignement. D’autre part, le droit à l’instruction de chaque enfant.

Le contrôle se déroule en plusieurs phases.

1- L’enquête administrative incombant au maire.

D’après l’article L131-6 du Code de l’éducation, la première partie du contrôle concernant l’instruction obligatoire incombe au maire, qui est chargé de dresser chaque année, la liste de tous les enfants résidant dans sa commune et qui sont soumis à l’obligation scolaire.

Concrètement, le maire procède à un contrôle dès la première année de l’instruction en famille, puis tous les deux ans.

Quel est le but de cette enquête ?

Dans sa version initiale, d’après l’article L131-10 alinéa 1er du Code de l’éducation, cette enquête a pour objectif « d’établir quelles sont les raisons alléguées par les personnes responsables de l’enfant, et s’il leur est donné une instruction dans la mesure compatible avec leur état de santé et les conditions de vie de la famille ».

La loi du 24 août 2021 est venue remplacer l’objet de cette enquête au vu du changement de régime opéré sur l’instruction en famille. Désormais, l’enquête administrative aura pour objectif « de vérifier la réalité des motifs avancés par les personnes responsables de l’enfant pour obtenir l’autorisation mentionnée à l’article L131-5 ».

A cette enquête administrative est couplé un suivi médical.

En effet, un nouvel alinéa prévoit que « Dans le cadre de cette requête, une attestation de suivi médical est fournie par les personnes responsables de l’enfant ».

Le résultat de l’enquête est communiqué à l’autorité de l’état compétente en matière d’éducation.

Afin de renforcer les modalités de l’enquête administrative, l’article L131-6-1 dudit Code prévoit que chaque enfant soumis à l’obligation scolaire se voit attribuer un identifiant national.

L’autorité de l’Etat est créancière d’une mission d’information en matière de risques de sanctions pénales encourues par les personnes responsables de l’enfant. En matière d’instruction en famille, vous l’aurez compris, il s’agira des parents.
C’est justement cette autorité qui va se charger du deuxième volet du contrôle de l’instruction obligatoire.

2- Le suivi par l’autorité de l’Etat.

Cette deuxième partie du contrôle a notamment été accrue par la loi du 18 décembre 1998 tendant à renforcer le contrôle de l’obligation scolaire.

Quelle est la fréquence du suivi ?

L’article L131-10 du Code de l’éducation dispose que

« L’autorité de l’Etat compétente en matière d’éducation doit au moins une fois par an, à partir du troisième mois suivant la déclaration d’instruction (…) ce contrôle permet de s’assurer de l’acquisition progressive par l’enfant de chacun des domaines du socle commun de connaissances, de compétences et de culture défini à l’article L122-1-1 au regard des objectifs de connaissances et de compétences attendues à la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolarité obligatoire. Il est adapté à l’âge de l’enfant et, lorsqu’il présente un handicap ou un trouble de santé invalidant, à ses besoins particuliers ».

Dès lors, nous pouvons en conclure que le deuxième volet de l’enquête s’intéresse à la progression des connaissances de l’enfant, par rapport à l’état de connaissances attendues dans un établissement d’enseignement public ou privé.

L’autorité compétente va dans un premier temps, vérifier que l’instruction ne va pas au-delà du cercle familial, c’est-à-dire qu’elle est donnée à un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernés, qu’ils sont de la même famille.

Ce contrôle est de nature pédagogique. Il doit normalement permettre de vérifier la maîtrise progressive de chacun des domaines du socle commun.

D’après l’article R131-13 du Code de l’éducation, le contrôle « est fait au regard des objectifs de connaissances et de compétences attendues à la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolarité obligatoire, en tenant compte des méthodes pédagogiques retenues par l’établissement ou par les personnes responsables des enfants qui reçoivent l’instruction dans la famille ».

L’article L131-10 dudit code prévoit que le contrôle est adapté à l’âge de l’enfant et, en présence d’un handicap ou un trouble de santé invalidant, à ses besoins particuliers.

L’article R131-14 du Code de l’éducation précise que lors du contrôle, l’enfant effectue ensuite des exercices écrits ou oraux, qui sont adaptés à son âge et son état de santé.

Le Code de l’éducation prévoit donc la prise en compte du statut particulier de certains enfants dans son contrôle de l’instruction en famille et en fait donc une obligation légale pour le contrôleur.

Ces contrôles inopinés sont-ils légaux ?

Le Conseil d’Etat a validé le nouveau dispositif de contrôle inopiné des familles assurant l’instruction à domicile de leur enfant, institué par la loi pour une école de la confiance [6].

Inopiné ne signifie pas que les intéressés ne sont pas prévenus du jour et de l’heure de ce contrôle.

III - Un affaiblissement du droit à l’instruction en famille.

La nouvelle rédaction de l’article L131-5 du Code de l’éducation a été validée par le Conseil Constitutionnel, dans sa décision du 23 août 2021, n°2021-823 DC.

Le Conseil Constitutionnel rappelle que « (…) L’instruction primaire est obligatoire … elle peut être donnée soit dans les établissements d’instruction primaire ou secondaire, soit dans les écoles publiques ou libres, soit dans les familles, par le père de famille lui-même ou par toute personne qu’il aura choisie », selon l’article 4 de la loi du 28 mars 1882 portant sur l’organisation de l’enseignement primaire.

Il résulte cette loi que le législateur n’a fait de l’instruction en famille qu’une modalité de mise en œuvre de l’instruction obligatoire.

Ainsi il ajoute que l’instruction en famille n’est pas une composante de la liberté de l’enseignement mais une modalité de mise en œuvre de l’instruction obligatoire.

Ce raisonnement est très critiquable car dans la célèbre décision du Conseil Constitutionnel du 16 juillet 1971, consacrant l’existence des principes fondamentaux reconnus par les lois de la république, le Conseil Constitutionnel avait censuré une loi qui souhaitait faire passer le principe de la déclaration préalable de la constitution des associations à un régime d’autorisation préalable [7].

Le raisonnement était tout à fait transposable à la loi modifiant l’instruction en famille. Le Conseil Constitutionnel n’a pas saisi cette occasion pour renforcer l’instruction en famille.

Surtout, de nombreux parents ont souhaité s’engager dans cette voie afin d’éviter les difficultés liées aux restrictions sanitaires (port du masque et vaccination). Cette solution risque bientôt de ne plus être possible.

Article juridique rédigé par Maître Guyon, Avocat

 

https://www.village-justice.com/articles/instruction-famille-declaration-autorisation-prealable,43040.html

 

 
INTERVENTION DU DR PASCAL SACRE MEDECIN REANIMATEUR LICENCIE PAR LE GRAND HOPITAL DE CHARLEROI LE 20/10/2020

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Médecin réanimateur en Belgique, le DR Pascal Sacré est licencié par le Grand hôpital de Charleroi le 20/10/2020 pour faute grave ; il aurait osé critiquer la crise Covid.

« Lorsque j’ai repris l’écriture engagée en 2020, à propos de la gestion politique de la crise COVID, mais aussi généralement, sur la corruption endémique de la médecine, de la science et des organes officiels en Belgique, j’ai senti que ce serait risqué. Je n’ai pas renoncé pour autant car je ne laisserai jamais ma vie être contrôlée par la peur... » Lire la suite de l’article : https://www.mondialisation.ca/dr-pascal-sacre-un-reanimateur-licencie-injustement-en-pleine-crise-covid-droit-de-reponse/5650433

 

Il intervient au sujet de l’injection anti-covid 19 : « Cette « vaccination » ne protège pas. Ni de la transmission, ni de l’hospitalisation, ni des formes graves comme en témoigne la lecture des documents Pfizer déclassifiés par ordre des juges. Ces documents, Pfizer les voulait tenus secrets pendant 75 ans encore. Cette « vaccination » n’immunise pas. Pire : elle dégrade l’immunité aussi bien via les anticorps que via les cellules. Publié dans le Landcet et à 2 reprises dans le New England Journal of Medecine.

Normalement, on devrait arrêter cette vaccination anti-covid 19. Mais la solution imposée est toujours plus d’injections donc persévérer dans l’erreur. Et comme le disait le philosophe Sénèque : « L’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique. »

La 2ème chose : c’est le danger des effets indésirables, voire secondaires. Des myocardites, péricardites qui touchent des jeunes qui ne peuvent plus faire de sport, ne peuvent plus vivre normalement, voire mourir. Pour les femmes, 10 % des femmes à la suite de l’injection auraient des troubles menstruels. Chez les hommes, des spermatozoïdes qui auraient 22 % en moins de mobilité. Ceci signifie une possible stérilité pour beaucoup. » C’est donc la fertilité qui est atteinte par ces injections.

INTERVIEW DU DR ALEXANDRA HENRION CAUDE PAR SUD RADIO LE 23 JUIN 2022

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Sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM.

Généticienne, titulaire d’un doctorat en génétique de l’Université de Paris Diderot, ancienne Directrice de Recherches de l’Hôpital Necker à Paris, vous avez posté un twitt qui m’interpelle… Pourriez-vous nous en dire plus je vous prie…

« Je vais essayer de garder mon calme et de retenir mes larmes. Le produit qu’on injecte massivement et dont on réclame une 4ème dose affecte déjà les cycles menstruels des femmes (10% des femmes sont concernées à ce jour).

En novembre 2020, quand je suis venue la toute 1ère fois je vous disais que nous serions revenus au temps des devins. Parce qu’on nous prédisait des vagues que mon collègue Laurent Toubiana a très largement déconstruit, démonté l’affaire pour donner des chiffres derrière ces éléments de langage. Je constate aujourd’hui que ces éléments de langage deviennent de plus en plus catastrophiques c’est-à-dire on acquiert un nouveau langage.

Par exemple, il devient « banal » qu’une femme soit ménopausée à 30 ans. Non, ce n’est pas normal !

Ça devient normal qu’on parle de myocardite et péricardite. Saviez-vous seulement ce que signifiait ces mots il y a 2 ans ? ça devient normal que des jeunes en souffrent. Et puis ça devient normal que quand on vaccine une population à 85%, il est normal de voir des pics épidémiques ressurgir et donc d’alterner ainsi des campagnes de vaccination, des pics épidémiques…

On prend ce rythme…. On tombe en fait sur une propagande, sur un produit qui n’a pas fait ses preuves, qui n’a pas apporté la protection que nous aurions aimé qu’il nous apporte.

Selon moi, il faut arrêter de traiter la population saine comme si elle était malade.

En 2 ans on a dérivé vers une médecine d’une maladie le covid avec une seule solution thérapeutique qui est évidemment la solution vaccinale… »

 

 

 

L'ASSOCIATION PARENTS EN COLERE ET SON ACTION DEVANT LE CONSEIL D'ETAT

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Helloasso propose de participer à leur fonctionnement. Sachez que cela est uniquement volontaire. Vous pouvez modifier le montant et même le passer à 0 si vous souhaitez uniquement adhérer à l'association sans participer au fonctionnement d'Helloasso.

Une cagnotte est également en ligne pour le financement de la plainte CSA :
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Pour plus d'informations sur cette action, je vous invite à (re-)visionner l'intervention de Me Guyon qui nous accompagne sur ce dossier ⬇️
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Aurore Boréal'Ain

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