29 mars 2023
Scientifique

Gardasil / Cervarix ou comment stériliser, tuer ou handicaper votre enfant...

L'AIMSIB, association internationale pour une médecine scientifique et bienveillante, a publié 7 articles concernant le Gardasil... En voici un résumé :

 

Si vous doutiez encore de la corruption des politiques par les lobbies pharmaceutiques, cette nouvelle tentative pour rendre obligatoire le vaccin Gardasil (ou Cervarix de GSK) contre le papillomavirus (HPV), soi-disant pour protéger nos enfants contre le cancer du col de l'utérus, doit tous nous alerter.

Après des années d'utilisation, des milliers de décès et d'handicapés à vie, un juge a ordonné l'ouverture du premier grand procès contre Merck, accusé d'avoir caché les effets secondaires graves et exagéré les bénéfices.

De nombreux effets secondaires sont des réactions auto-immunes (fibromyalgie, troubles neurologiques, fatigue chronique, problèmes de reproduction, stérilisation, myocardites...) et des décès. Il est à noter que ce vaccin est le favori de Bill Gates en Afrique et en Inde. Merck ne signale que des effets secondaires légers (maux de tête, nausées, douleur au point d'injection...).

Histoire et lois.

Dans les années 80, après avoir perdu de nombreux procès, les fabricants de vaccins ont exigé le NCVIA (National Childhood Vaccine Injury Act). Cette loi leur donne l'impunité totale concernant les vaccins du calendrier vaccinal du CDC pour les enfants, que la vaccination soit obligatoire ou non. Les victimes sont indemnisées par un fonds de compensation fédéral. Ce fonds, comme lONIAM en France, est alimenté par les contribuables. C'est pour cela que la FDA (food and drugs administration - équivalent de l'ANSM en France) valident toutes les injections adultes, enfants, bébés. Ainsi, aux USA, dès lors que le vaccin est sur le calendrier vaccinal des bébés, le fabricant est protégé quel que soit l'âge de la victime.

La limite de cette loi : que les victimes prouvent que le fabricant a caché, menti ou falsifié des données importantes. De très nombreuses victimes ont été déboutées faute de voir leurs preuves retenues comme recevables.

Aux USA, il ne peut pas y avoir de procès contre un vaccin recommandé par le CDC (centers for disease control - agence gouvernementale chargée de la prévention, de l'étude et du contrôle des maladies).

Pfizer a imposé cette clause d'irresponsabilité totale à presque tous les gouvernements du monde pour les injections Covid19.

Ce n'est pas tout. depuis le « Vaccine Act », et sous la pression du département américain des armées sous prétexte de pouvoir rapidement injecter des soldats en cas d'attaque bactériologique, les fabricants sont exonérés de le nécessité d'utiliser un vrai placebo et de nombreux tests (bio-distribution, génotoxicité - altération du génome humain -, cancérogénicité - favorisant le cancer, ...). Cette réglementation s'applique à tous les vaccins destinés à la population civile ! L'EMA (agence européenne du médicament) suit les recommandations de la FDA, donc nous sommes, en Europe, sous la même réglementation, bien qu'aucune loi française ne le permette. Le code pénal français n'autorise pas une telle clause d'immunité.

2007 : Merck s'acquitte d'une amende de 7 milliards de dollars concernant la mort régulière des consommateurs de Vioxx que Merck a continué à commercialiser malgré des rapports internes catastrophiques, intentionnellement dissimulés au grand public et à la communauté médicale.

Aux USA : 500 000  morts selon les dernières estimations. En France ?... aucun ! La probabilité que le Vioxx n'ait pas tué en France est nulle. En 2004, Merck retire le Vioxx du marché et accélère la mise sur le marché du Gardasil pour combler les pertes. (HPV help pay for Vioxx - aide à payer amende pour le Vioxx).

 

Merck n'a jamais réellement étudié si son vaccin prévenait réellement le cancer du col de l'utérus ! Les avocats qui poursuivent Merck : « Merck s'est livré à des méfaits d'entreprise similaires au Vioxx avec son vaccin contre le HPV ».

Le Gardasil pourrait être plus susceptible de provoquer le cancer chez les personnes précédemment exposées au HPV que de le prévenir. Merck a délibérément dissimulé que les sulfates d'hydroxyphosphate d'aluminium (AAHS) déclenchent des maladies auto-immunes et autres infections graves.

En 2014, les parlementaires de tous les pays européens, simultanément, ont poussé le Gardasil dans leurs pays respectifs.

Ancien employé de Merck, le Dr Bernard Dalbergue : « le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps ». C'était avant les injections Covid19

En 2018, Agnès Buzyn a envisagé de le rendre obligatoire mais a reculé devant la mauvaise presse.

En décembre 2019, les effets secondaires déclarés étaient supérieurs à n'importe quel autre vaccin... Plusieurs millions de dollars versés aux victimes par le VICP (système de compensation du gouvernement  américain aux victimes des vaccins - équivalent de l'ONIAM en France).

Doit-on faire confiance à Merck ? Vioxx, Lévothyrox, ... la réponse est clairement : NON.

Merck a commercialisé le Gardasil de manière agressive en utilisant des tactiques alarmistes, de fausses publicités et des lobbyistes politique pour inciter des millions de parents à vacciner leurs adolescentes. Merck a contribué aux campagnes politiques et au financement des services de santé des États. Un montant de 92 millions de dollars pour payer des responsables scolaires pour faire croire aux élèves et parents que le vaccin était obligatoire.

Le vaccin a tué et handicapé des jeunes filles indiennes.

Le 15 novembre 2022 : proposition de lui en France visant à rendre ce vaccin obligatoire. Le 8 décembre 2022, Emmanuel Macron et François Braun se disent favorables à cette obligation.

À ce jour, le compteur des amendes de Merck : 10 467 160 581 $.

Les chiffres concernant les cancers du col de l'utérus :

Il existe plus de 200 types de papillomavirus (PVH). Plus de 90% des infections disparaissent naturellement en 1 à 2 ans. L'infection est éliminée dans les 6 mois. Les lésions (changements anormaux dans les cellules) évoluent rarement vers un cancer !

En France l'âge médian du cancer du col de l'utérus est de 64 ans : 2,8 cas pour 100 000 habitants en 2020 - 1 000 morts par an soit 0,0015%. Il faut entre 15 et 30 ans pour qu'une infection aboutisse à un cancer. Compte tenu du peu de personnes touchées, il est impossible de réaliser une étude statistiquement significative pour monter que le Gardasil protège du cancer.

Le cancer du col de l'utérus : 600 000 cas par an dans le monde dont la grande majorité se résorbe sans traitement : la prévalence est de 0,0075% !

La baisse de la mortalité des cancers du col de l'utérus est due au dépistage et aux traitements précoces. La mortalité est de 2,8/100 000 tandis que la mortalité dans l'essai clinique Gardasil est de 85/100 000 !!

Les ingrédients du Gardasil : 

L'adjuvant utilisé, le AAHS (sulfate d'aluminium) est intégré au placebo, ainsi les effets secondaires graves sont effacés ! Un nombre égal de sujets dans le groupe vacciné et le groupe placebo ont subi des effets indésirables donnant l'impression que le vaccin était aussi sûr qu'un placebo (voire même que du sérum physiologique dans la tête du quidam moyen).

L'aluminium : ce sulfate - AAHS - est ajouté au Gardasil pour une réponse immunitaire plus longue et plus forte par rapport à l'aluminium utilisé dans les autres vaccins. Comme les autres sels d'aluminium, il est neurotoxique s'il s'accumule dans le cerveau.

Il n'a jamais été testé ni par le gouvernement ni par Merck. Les autorités ont validé le vaccin sans étude d'innocuité de l'adjuvant tout en sachant qu'il est dangereux.

CHD (Children Health Defense) note que des études indépendantes attestent que des souris et moutons soumis à des concentrations équivalentes à celles des vaccins développent d'étranges schémas comportementaux et des maladies ressemblant à des maladies auto-immunes.

Une étude parue dans Nature en 2020 indique que le cerveau est un tissu cible : des recherches antérieures confirment un niveau d'aluminium élevé pour les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, d'autisme ou de sclérose en plaques. Un rapport de 2021 dans Medscape indique un stress oxydatif dans le tissu cérébral et une demi-vie de 7 ans qui peut entraîner des dommages cumulatifs.

Le Polysorbate 80 : affaiblit la barrière hémato-encéphalique et se lie avec l'aluminium. Il est associé aux chocs anaphylactiques et réactions d'hypersensibilité. Selon L'American College of Pediatricians, il serait lié à des insuffisances ovariennes dont l'aluminium et le polysorbate pourraient être à l'origine.

Le borate de sodium : interdit aux USA car dangereux pour le système reproducteur masculin et le fœtus en développement.

L-histidine : composé chimique utilisé par le corps pour produire de l'histamine qui débarrasse le corps de substances allergènes. Combiné à des surfactants, il provoque une inflammation et coagulation. La mort par caillots sanguins est la forme de décès la plus courante pour le Gardasil.

Levure chimiquement modifiée : ce type de levure peut provoquer une maladie auto-immune.

Fragments d'ADN non divulgués : on ne connaît pas les conséquences quand un segment est inséré dans une cellule humaine.

Le Gardasil ne contient ni de parties de virus réel, ni de matériel génétique provenant de virus naturels sensés provoquer des cancers. Pourquoi ne pas utiliser de vraies particules virales ?

 

 

Les essais cliniques : TRUQUÉS

Aucun des essais n'a utilisé un véritable placebo. Merck n'a pas signalé un grand nombre d'effets indésirables graves et a classé ces maladies graves comme de « nouvelles conditions médicales » sans rapport avec le vaccin, signalées par 50% des participants ! 

L'OMS a révélé de graves dommages et le VAERS un nombre disproportionné de cas d'infertilité directement liés au vaccin qui commencent à être rendus public. Après vaccination, le corps crée une réponse immunitaire qui attaque des protéines spécifiques qui assurent le bon fonctionnement des ovaires.

L'Université de la Colombie Britannique a publié une étude : « Les vaccins administrés à des personnes en bonne santé doivent respecter des normes de sécurité les plus élevées possibles : (...) les données des essais révèlent un profil de sécurité troublant (...) leur efficacité à prévenir tout décès par cancer ne sera pas connue avant plusieurs décennies (...) le taux de mortalité du cancer du col de l'utérus chez les filles de 9 à 20 ans est nul (...) les risques encourus semblent surpasser de manière significative les potentiels avantages à long terme encore non prouvés (...) les vaccins doivent être réévalués de toute urgence (...) doivent être demandés de vrais placebos pour prouver l'innocuité des vaccins ».

 

2014 : Les rapporteurs de l'EMA constatent beaucoup d'effets secondaires systémiques graves. Ils considèrent que les cas de leucémies pourraient être beaucoup plus nombreux, car, éloignés dans le temps (jusque 4 ans après l'injection), les victimes ne font pas le lien. Plus de la moitié des vaccinés ont développé une maladie post-injection. Maladies neurologiques - leucémies - maladies auto-immunes - douleurs thoraciques et abdominales - vascularite pulmonaire - lupus - POTS syndrome de tachycardie postural extrêmement handicapant - fausses couches des femmes ayant reçu la vaccin dans les 30 jours précédents - arthrites, précurseur de maladie auto-immune - encéphalomyélite - ...

Les tests excluaient toute personne ayant une vulnérabilité immunologique ou génétique : preuve qu'ils savaient que le vaccin aggraverait leur condition.

2015 : l'EMA approuve le Gardasil malgré les signaux de sécurité criants, malgré les preuves accablantes.

 

 

L'efficacité

LE PIRE est que Merck n'a jamais démontré que le Gardasil pouvait prévenir le cancer du col de l'utérus.

200 souches de papillomavirus humain (PVH) - 90% des infections qui disparaissent d'elles-mêmes, ceci est su grâce aux dépistages réguliers, reconnus pour être la meilleure prévention sans aucun risque pour la santé.

Les femmes n'ont pas été informées qu'en cas d'exposition antérieure à des VPH, la vaccination accélère la progression des anomalies cervicales (+ 45% de risques). En supprimant certaines souches de VPH, d'autres sont favorisées qui peuvent engendrer un cancer (phénomène de remplacement). Certaines souches deviennent dangereuses À CAUSE du vaccin.

Après l'introduction du vaccin en Grande-Bretagne : +54% de cancer chez les femmes de 25 à 29 ans ; en Australie +16% chez les 25/29 ans et + 30% chez les 30/34 ans. 

Les informations indiquant que le cancer du col de l'utérus aurait été éradiqué en Australie est pure propagande, basée une fois de plus sur des modélisations mathématiques et non des chiffres réels.

 

Retrouvez tous les détails et les sources dans les 7 articles de l'AIMSIB, association à laquelle vous pouvez adhérer ou faire un don.

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

https://www.aimsib.org/2023/02/19/gardasil-episode-3-devastateur-et-pourtant-17-ans-sans-proces-pourquoi/

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/

https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/

https://www.aimsib.org/2023/03/12/gardasil-episode-6-aucune-preuve-quil-previenne-le-cancer-du-col-de-luterus-au-contraire/

https://www.aimsib.org/2023/03/19/gardasil-episode-7-entre-mensonges-et-corruptions/

 

ADDENDUM : Gérard Delépine : Télécharger 20PARIS


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