9 juin 2023
Littéraire

Fernand Delarue : « L'intoxication vaccinale »

Fernand Delarue, essayiste français, est né en 1924. Il fut président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations de 1969 à 1979. Fernand et sa compagne, Simone, seront très actifs, redonnant un nouvel essor à la Ligue. Après sa mort en 1979, Simone Delarue dirigera l'association jusqu'en 1992.

« L'intoxication vaccinale » est le livre qu'a écrit Fernand Delarue en 1977. Il dédia ce livre à ceux qui se sont obstinément refusés à subir le conformisme général et à ceux dont les études et travaux sont étouffés par le mur du silence auxquels il rend hommage.

Ce livre a également été écrit par Fernand Delarue afin de toucher le grand public, auquel, dans aucun pays, ce sujet n'est présenté. Il a pour but d'amener le lecteur à sortir de la pensée unique, de « la citadelle de certitudes gardée par les remparts infranchissables d'un conditionnement distillé par tout l'appareil social. »

Il met à jour la propagande vaccinale dont il prouve les mensonges, chiffres et études à l'appui, les manipulations exercées sur la population, les membres du corps médical et les politiciens. Il espère conduire son lecture de surprises en étonnement et en déconditionnement.

Qu'est-ce que la vaccination ? L'inoculation d'éléments microbiens ou viraux à la toxicité atténuée afin de provoquer une réaction défensive de l'organisme lui permettant de se protéger efficacement contre une atteinte ultérieure. Ceci est appelé immunisation. Le consommateur de vaccin pense bénéficier d'un produit dont le fabricant aura pris toutes les précautions afin de lui assurer efficacité et innocuité.

« La variole a été éradiquée grâce à la vaccination ! ... les vaccinations ont sauvé des millions de vies... l'espérance de vie et la mortalité infantile se sont améliorées grâce à la vaccination...» Combien de fois avons-nous entendu cela depuis des décennies ? La croyance en l'efficacité des vaccinations est de ce fait quasi religieuse. 

 

Fernand Delarue propose une étude des statistiques afin de vérifier la véracité de ces allégations.

« En 1348, la peste noire emporta les deux tiers de la population française. Le choléra sema l'épouvante pendant des siècles. Ces deux maladies ont disparu de notre pays mais persistent dans d'autres malgré les vaccinations. »  S'il y avait eu vaccination, n'aurait-on pas dit que ces disparitions ne pouvaient être dues qu'à la vaccination ? C'est ce qui a été dit pour la variole, la diphtérie, la poliomyélite, le tétanos et la tuberculose. 

« Ainsi nous constaterons successivement :

1- la régression des épidémies s'est produite dans les pays non vaccinés comme vaccinés : c'est donc à d'autres facteurs que la vaccination qu'il faut attribuer ces régressions ;

2- les vaccinations (même sur des populations entières) n'ont pas empêché le retour d'épidémies parfois catastrophiques ;

3- la systématisation des vaccinations n'a pas eu d'incidence notable sur l'évolution de la maladie. »

La diphtérie :

Écosse : en 1941-1951, la diphtérie a régressé (nombre de cas et de décès) sans vaccination (de 10 000 cas à 112 et de 514 décès à 5).

Australie : dès 1923, la diphtérie a autant baissé dans les localités non vaccinées que dans celles où avait été réalisée une campagne de vaccination. 

Hongrie : la ville de Budapest a connu le même déclin de la diphtérie sans avoir connu de vaccination.

Suisse : en 1932, dans le Canton de Genève, on attribue la baisse considérable de la mortalité de la diphtérie à la vaccination. Elle fut équivalente dans les 24 autres cantons sans vaccination.

Allemagne : à  Berlin, après abandon de la vaccination, en 4 ans, la mortalité a été divisée par 40  (74.8 à 1,9/100 000 hab). Les autres capitales : division par 10 en moyenne. La mortalité ayant chuté 91,6% en 6 ans, après l'introduction de la vaccination rendue obligatoire sous Hitler, le nombre de cas augmenta de 17%.

USA, Pologne : mêmes observations ; la non-vaccination a des effets aussi spectaculaires que la vaccination.

Si l'on compare les 19 pays d'Europe : vaccinés ou non, la chute de la morbidité et de la mortalité fut la même. Il en va de même pour la comparaison entre le Canada (vaccinés) et le Japon (non vaccinés). L'Allemagne et le Japon, après à leur défaite n'ont pas procédé à des vaccinations collectives : l'effondrement de la diphtérie y a été tout aussi spectaculaire. 

La tuberculose :

La tuberculose-infection ne protège pas contre la survenue d'une tuberculose-maladie: Elle est une maladie non immunisante. Les Pays-Bas qui n'ont jamais pratiqué le BCG ont le taux de mortalité le plus bas d'Europe.

Le Concours médical 20/04/1974 : la vaccination par le BCG n'est scientifiquement plus fondée et n'est plus médicalement défendable.

La tuberculose a diminuée de 75% entre 1851 et 1939 en Grande-Bretagne où les vaccinés représentaient 0,05% : la baisse de mortalité est comparable au Danemark et en Norvège où l'efficacité du vaccin a été célébrée. La mortalité a régressé au même rythme avant l'emploi du BCG qu'après. Il n'a donc joué aucun rôle dans l'éradication de la maladie. 

La rougeole a connu une décroissance flagrante bien avant le début de la vaccination.

Le tétanos : n'est pas une maladie contagieuse. Les campagnes de vaccination n'ont fait varier les décès ni dans la population française ni dans l'armée française. L'armée grecque, non vaccinée, a connu 7 fois moins de décès. Il paraît difficile d'imaginer une vaccination contre le tétanos alors que la maladie ne confère pas d'immunité et que les chevaux hyper-immunisés dans les labos en meurent. Le vaccin fait la preuve de sa parfaite inutilité.

La variole : il a été démontré que les gens vaccinés n'ont pas de protection mais aussi que des règles d'hygiène, l'isolement des malades et une abstention de vaccination ont donné les meilleures résultats. (Ville de Leicester 1871-1872). La décroissance des cas de décès par variole a suivi la décroissance de la fréquence des vaccinations.

Dans son rapport l'OMS fait état de campagnes de vaccinations arrêtées en raison des épidémies qui s'ensuivirent et de nombreux témoignages attestent du constat de l'augmentation de cas et de décès affectant les personnes vaccinées. Fernand Delarue en rapporte de nombreux.

Les travaux du Dr Buchwald qui a consacré sa vie ces problèmes l'ont amené à publier une étude en 1965. Non seulement la vaccination ne protège pas contre une contamination mais les vaccinés peuvent être atteints de la forme la plus grave de la maladie.

Le Dr Diehl conclut dans son rapport : « la vaccination ne procure certainement aucune protection contre la maladie et, de plus, elle ne protège vraisemblablement pas contre la mort. En revanche, tout semble indiquer que les cas mortels survenus immédiatement après la deuxième revaccination sont de véritables cas d'accidents post-vaccinaux ».

Grande-Bretagne : en 1853, la vaccination est obligatoire ; en 1872, il y a une importante épidémie - devant cet échec flagrant la vaccination a été ralentie, un programme d'hygiène mis en place (égouts, adductions d'eau, ramassage des ordures, isolement des malades et soins prodigués). C'est alors que la variole a régressé de façon spectaculaire. Il n'est pas possible d'attribuer à la vaccination le moindre rôle dans l'éradication de cette maladie en Grande-Bretagne, puisque la variole a ravagé le pays quand le taux de vaccinés était à son maximum.

La poliomyélite : ici encore on constate qu'en l'absence de conditions favorables à la régression d'une maladie contre laquelle on vaccine, non seulement cette régression peut ne pas se produire mais que trop souvent, la vaccination systématique coïncide avec une rapide et importante progression de ladite maladie. 

 

La vaccination n'est pas indispensable à la décroissance voire à la disparition d'une maladie, elle ne protège pas comme on l'affirme et se montre impuissante au niveau collectif. Le dogme intouchable doit être remis en cause et les faits examinés avec un esprit critique et objectif. Rien ne permet de mieux juger l'efficacité d'une vaccination que de noter la date de mise en place à grande échelle sur la courbe générale l'évolution de la maladie (historique précédent la date).

 

En résumé :

1 - à égalité de niveau de vie, les maladies évoluent selon des courbes parallèles dans les pays vaccinés et dans les pays non vaccinés ;

2 - en l'absence de vaccinations, les épidémies régressent dans tous les pays dont le niveau de vie s'élève ;

3 - en dépit des vaccinations, les épidémies ne régressent pas dans les pays où les conditions d'hygiène ou de niveau de vie s'y opposent ;

4 - rien en permet d'affirmer que les vaccinations ont fait disparaître ou régresser les épidémies : tout porte à croire que l'évolution de celles-ci n'a rien à voir avec celles-là.

5 - présenter les chiffres de régression des maladies à partir des dates où l'on a vacciné et omettre ceux qui précédaient celles-ci est une astuce publicitaire indigne de l'objectivité scientifique. En conclure que ces régressions sont dues aux vaccinations est tout le moins une grave inexactitude.

 

Persistance et développement du mythe vaccinal

Les faits exposés surprennent. « Mais si c'était vrai, ça se saurait ! » est l'argument rassurant par excellence. À la fin du siècle dernier, le congrès de la Ligue était suivi par des centaines de médecins convaincus par la pratique dans toute l'Europe. Ils menaient des enquêtes, faisaient des comptes rendus avec rigueur. Leur conclusion était simple : il faut arrêter la vaccination anti-variolique. Ils ont ensuite mené une énorme campagne d'opposition contre l'obligation vaccinale concernant la diphtérie. Ils constataient que le vaccin ne protégeait pas et provoquait bien d'autres accidents.

Mais malgré les catastrophes maintes fois annoncées puis dénoncées la vaccination resta, dans les esprits, un triomphe. Pourquoi ? La réponse est la force de la propagande et la puissance des pressions systématiques réalisées pour rendre inaudibles les voix dissonantes, les travaux qui dérangent, les accidents gravissimes et multiples et toute personne qui pourrait remettre le mythe en question. Le vaccin étant d'une innocuité parfaite, il ne peut être responsable, CQFD !

La ligue connaît des centaines d'exemples d'accidents post-vaccinaux mis sur le compte des coïncidences. Ceci est impossible car ils sont beaucoup trop nombreux. (Dr Chavanon 1938 - On peut tuer ton enfant, Médicis 1938).

Le Dr Arbeltier raconta souvent comment il écrivit à l'Institut Pasteur après avoir constaté qu'il avait tué des enfants avec le BCG. Il lui fut répondu « Mon cher confrère, nous n'avons jamais entendu parler de cela. Vous êtes le seul à qui pareil accident est arrivé. Vous auriez sans doute intérêt à prendre quelques précautions ». Ses confrères avaient reçu la même réponse ! C'est en recherchant dans des revues étrangères qu'il constata l'évidence : en dehors de la France le BCG pouvait être dangereux, il pouvait tuer, mais en France il était parfaitement inoffensif !

Le médecin qui ouvre les yeux préfère se taire. Il a peur de se singulariser, s'attirer les foudres du Conseil de l'Ordre... Il demeure un bon conformiste. Aucun médecin n'aime attribuer un décès à un traitement qu'il a lui-même recommandé et pour lequel il a été payé. Il se refusera à rédiger un certificat de constat des faits ou encore de contre-indication à la vaccination.

La Ligue a soutenu plusieurs actions en justice. Fernand Delarue donne ici plusieurs exemples de l'incroyable omerta qui règne dans l'administration, la justice, le corps médical, le ministère de la Santé. Il aura fallu jusque 9 ans de procédure devant différentes juridictions pour obtenir gain de cause. Pour tout autre motif, l'affaire eût été simple.

En 1964, le Parlement vota le principe de responsabilité de l'État dans les accidents post-vaccinaux, mais en le limitant aux seules vaccinations obligatoires. Les plaintes et procès durent des années qui s'écoulent dans les méandres des tribunaux, Conseil d'État, etc.. L'accumulation de ces obstacles, le plus souvent infranchissables pour le citoyen isolé, a pour effet de minimiser le nombre apparent de victimes. Faute d'autres statistiques, c'est le chiffre de ces affaires judiciaires qui fut repris pour évaluer les nombre réel d'accidents ! Tous les exemples détaillés par Fernand Delarue visent à démontrer l'incroyable obstruction des autorités devant toute initiative de nature à porter les moindre préjudice au prestige des vaccinations.

Le refus de reconnaître les accidents n'est pas le seul processus par lequel le dogme est protégé. On trouve à la base de son édification et de son maintien une série de confusions volontaires, d'ambiguïtés voulues ou d'échappatoires, contraires à l'honnêteté scientifique. Un des trucages consiste à assimiler les morts vaccinés à des individus non vaccinés. Jamais, au cours des siècles, on n'a vu, dans la science, une telle dénaturation d'une statistique et une mystification aussi absurde.

On retrouve dans les multiples exemples cités par Fernand Delarue, une similitude avec les chiffres présentés pour les injections expérimentales Covid-19. Un vacciné qui décède du Covid-19 dans les 14 jours après vaccination est considéré comme non vacciné. Lorsque l'on sait qu'un grande partie de ma mortalité post-vaccinale se situe dans les 10 jours, on comprend cette « définition ». L'inverse était fait pour la poliomyélite, on ne considérait la survenance de la poliomyélite chez un enfant que dans les 6 jours suivant la vaccination. On retrouve également ces soi-disant réductions des formes graves, tout comme le refus de d'imputer la maladie sur le certificat de décès si le mort était vacciné. 

Le refus de reconnaître les accidents constitue l'une des raisons qui permettent de maintenir le dogme de l'innocuité des vaccinations. Les autorités françaises ne tiennent tout simplement aucune statistique concernant les accidents post-vaccinaux. Quand on ne tient aucune statistique comment peut-on dire que les accidents sont rarissimes ? Cette absence de statistiques permet de nager dans la contradiction, les affirmations dont seuls les auteurs savent sur quoi elles sont fondées et d'entretenir le conditionnement psychologique gravant le dogme que les accident sont rarissimes et négligeables au regard du bienfait apporté par de telles mesures d'obligation. 

C'est dans le but de mettre de la clarté dans l'évaluation rigoureuse du passif des vaccinations que la Ligue a demandé le recensement de tout accident ou incident occasionné par une vaccination. La France s'y est refusé alors que le ministre de la Santé britannique eut plus de courage. « (...) il faut que les risques qui sont attachés aux programmes d'immunisation soient moindres que le risque que fait courir l'épidémie » (Pr G. Dick). « Ce dont le pays a besoin maintenant c'est non pas d'une protection contre la variole mais contre la vaccination » (Dr C.Henri Kempe, 1970). En France, les foules, les médecins et les parlementaires sont maintenus dans une confortable ignorance.

Un exemple d'altération de la vérité :

- Bonn, 1871 : 116 varioleux ; 112 vaccinés et 4 non-vaccinés ; 13 moururent chez les vaccinés et 2 chez les non-vaccinés. Conclusion : 50% de morts chez les non-vaccinés et 12% chez les vaccinés... Si ceci est statistiquement correct, c'est évidemment trompeur dans le sens où l'on pourrait déduire sans avoir les chiffres bruts que la vaccination est efficace.

- peu de gens savent que le propriétaire du chien « mordeur », et plusieurs autres personnes mordues le même jour par cet animal restèrent en bonne santé, en l'absence de tout traitement ! (Béchamp ou Pasteur Études sur la rage, 1948) - Pr Tadeusz Victor - Colloque 1974 : « après 90 années, l'efficacité du procédé n'a pas pu être prouvée de manière expérimentale ».

 - si la mortalité de la variole et les épidémies ont baissé rapidement ce n'est pas dû à l'introduction de la vaccine, alors fort peu pratiquée, mais à l'interdiction d'inoculer le pus variolique aux sujets sains.

 - Le Pr Lépine confirma lors d'un colloque que 95 à 99% des individus étaient naturellement immunisés contre la poliomyélite, ce qui réduisait à peu de choses l'intérêt du vaccin. Ce taux fut confirmé par le Dr Morton Klein, chef de département de virologie à Philadelphie aux USA en 1969.

Le mythe vaccinal depuis Pasteur jusqu'à nos jours s'appuie sur des approximations de ce type, voire des mensonges purs et simples.

Exemple : vaccin diphtérie en France : en 1938, 15 000 cas - systématisation de la vaccination en 1942 : 31 466 cas ;  1943 : 46 750 cas ; 1945 : 45 500 cas  ;  1952 : 2 547 cas

     -> propagande « la vaccination a fait diminuer considérablement la morbidité de la diphtérie » : 1942 : 31 466 cas et en 1952 : 2547 cas.

     -> pourquoi ne pas dire :  1938 : 15 000 cas ; 1943 (après 5 ans d'obligation vaccinale) : 46 750 cas ou 1945 : 45 500 cas ? 

    -> les faits : avant 1924 : 12 000 cas annuels en moyenne - 1924 (début de la vaccination par anatoxine de Ramon) - 1924 à 1938 : moyenne annuelle : 20 000 cas - 1938 vaccination obligatoire des enfants - 1942 : 31 466 cas - 1943 : 46 750 cas - 1945 : 45 500 cas.

La diffusion de la vaccination consécutive à son obligation s'est accompagnée d'une poussée sans précédent de la diphtérie. La diphtérie, que l'on sait par ailleurs parfaitement guérir, a disparu dans le même temps des pays non vaccinés ! 

Le Pr Delbet expérimenta avec succès le chlorure de magnésium. Lorsqu'il transmit sa découverte à l'Académie de médecine, on lui répondit que son travail devait être soumis à une obscure commission d'hygiène pour enfin lui répondre : « après 6 mois de réflexion, en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l'intérêt général est de généraliser les vaccinations ». Cet aveu est incroyable. L'étouffement d'un traitement qui aurait pu sauver des milliers d'enfants est chose si inattendue de la part de la première société médicale de France dont le but est d'assurer à la médecine le maximum d'efficacité.

À partir de 1943, le Dr Neveu eut le bonheur de constater que le chlorure de magnésium guérissait également la poliomyélite en 48 heures avec administration dès l'apparition de l'angine, de la raideur de la nuque ou même le début de la paralysie. Rien ne parvint à entamer le mur du silence. De la même manière, lors d'une audition le 13 mai 1941 le Dr Martin : « L'homéopathie est tolérée et ne tombe pas sous le coup de la loi tant qu'elle ne s'occupe pas de vaccins, mais, du moment qu'elle traite par ce moyen, elle ne peut être autorisée ». 

Devant les preuves, les statistiques, les études, les ministres et autorités de santé préfèrent se taire, refusent tout débat et les mêmes approximations et erreurs se maintiennent au fil des années. « (...) il paraît donc superflu d'engager des polémiques qui ne servent qu'à alimenter la propagande contre des méthodes de prévention qui ont fait la preuve de leur efficacité ». (M. Poniatowski, 1973) - « La vaccination ça ne se discute pas » (Marisol Touraine, 2015). Chacun reprend ce que ses pairs affirmaient avant lui, sans avoir rien vérifié parce que la parole est d'or !

Fernand Delarue avait déjà analysé la psychologie des foules : « la lutte contre la maladie et la souffrance est perçue d'autant plus fortement que la culture médicale de l'individu est moins profonde : la peur est un mobile qui agit puissamment sur les foules ». Dr Jean Lartigue, directeur départemental de la Santé d'Alger en 1955 : « Tous les 5 ans à l'aide d'une campagne savamment orchestrée, les quelques cas sporadiques seront promus au rang de menace d'épidémie ». Quelle est la moralité des entreprises qui basent leur campagnes publicitaires sur les faiblesses de la population ? Quelle est la moralité de la manipulation des enfants avant qu'ils ne soient légalement responsables de leurs actions ? Les propagandes incessantes préparent minutieusement toute la population à accueillir la parole des pontifes avec foi et révérence.

« Ainsi, par tous les moyens, le dogme de l'innocuité et de l'efficacité des vaccins est protégé de toute atteinte et les Français continuent d'y croire, en face de l'évidence. Dès l'enfance, puis à l'école maternelle, primaire, au collège puis au lycée, ils contractent l'habitude de se soumettre à la vaccination et de la considérer comme une formalité utile, bienfaisante. Indispensable même et sans aucun danger à laquelle l'homme se prête d'autant plus volontiers qu'il est plus évolué ou qu'il a plus de caractère.

Dès l'école primaire et tout au long de la scolarité, les vertus des vaccinations sont répétées à satiété et le credo est inculqué systématiquement dans l'esprit malléable des jeunes enfants. Un peu plus tard, la confirmation est plus poussée encore, car elle prend une allure scientifique et réfléchie. On n'affirme pas, on rapporte des expériences, on donne des éléments, des faits, des statistiques et on les commente. Jamais, par contre, dans aucun livre de sciences, dans aucun cours, il n'est fait état des échecs et des dangers des vaccinations. Jamais un seul mot ne peut ouvrir l'esprit au doute, à l'esprit critique. Tout concourt à la conformation parfaite du futur consommateur et, plus que tout, le climat de parfaite unanimité semble régner dans ce domaine. Lorsqu'il devient adulte, le citoyen retombe sous la direction de son médecin, qui assure la pérennité de la doctrine en distribuant à la fois bonne parole et vaccins.

À cause de tout cela et parce qu'il croit que les mesures légales ne peuvent avoir pour objet que la recherche du bien de la communauté, chaque Français est persuadé qu'aucune obligation n'aurait jamais été votée, si les vaccinations présentaient le moindre inconvénient. Sans rien connaître du problème statistique, il est prêt à affirmer que l'on ne saurait mettre en doute l'efficacité des vaccinations à qui nous devons la disparition des épidémies passées.

Le médecin est conformiste, comme tout Français moyen puis imprégné de la doctrine à la faculté. Non seulement les paroles et les cours mais aussi le silence concernant les anticonformistes, les dangers de la vaccination et sur l'énorme littérature anti-vaccinaliste. Le silence est le plus fort des maîtres et établit le plus solidement dans l'esprit du jeune médecin la certitude absolue et indubitable.

S'il reconnaît parfois que le vaccin peut être dangereux, il reste persuadé (inconscient prime sur le rationnel) que la vaccination constitue un bienfait pour l'humanité.

Ainsi, en dépit du démenti constant des faits, au fil des générations, s'est maintenu et se développe le mythe vaccinal.

 

Le mécanisme de la contrainte

La contrainte n'est pas le seul fait des lois. La propagande insidieuse et légère ou fracassante et brutale joue sur tous les leviers psychologiques.

En 1950, le succès du vaccin BCG fut mitigé car la moitié du corps médical restait hostile au vaccin. Il fut même question d'abandonner le vaccin car l'opinion publique n'était pas « préparée ».

En 20 ans, il fut accompli des progrès considérables : gigantesques budgets publicitaires, utilisation de moyens psychologiques plus pointus et plus systématiques et création de structures adéquates.

L'opération publicitaire à la radio et la télévision que l'on pourrait appeler matraquage dépasse toutes les espérances de rentabilité. Ces campagnes payées par les fonds publics sont-elles objectives ? On affole la population afin de lui faire croire que le vaccin doit être consommé pour son salut. On prédit une prochaine épidémie de grande envergure et on enfonce dans la tête de chacun le concept essentiel du vaccin sauveur.

1970 : en Espagne, on déclare quelques cas de choléra. Les experts de l'OMS assurent que les risques d'extension sont nuls, que l'on sait soigner le choléra à 95%, que la vaccination n'offre aucune garantie. Les vacanciers, affolés par la presse et la radio se ruèrent sur les Instituts Pasteur. Les bruits officieux : « la vaccination ne sera pas obligatoire, elle sera obligatoire à partir du 4 août, elle pourra l'être au retour des vacances, elle est vivement conseillée...». La France fut sur le grill jusqu'au 30 juillet et puis silence. On n'en entendit plus parler. La campagne avait permis à l'Institut Pasteur de vider ses stocks et rétablir son équilibre financier.

En 1957-58, le gouvernement avait tiré les enseignements de la panique organisée en 1955 sur la variole et utilisa la psychologie des foules pour la poliomyélite. « recrudescence prévue pour l'été, efficacité démontrée, la vaccination doit être généralisée, l'immunisation est garantie à vie, on peut vacciner en pleine période épidémique... ».

Dr Jean Lartigue (directeur départemental de la santé d'Alger) : « (...) tous les 5 ans, à l'aide d'une campagne de presse savamment orchestrée, les quelques cas sporadiques seraient promus au rang de menace épidémique. Les quotidiens et hebdomadaires feraient paraître des articles... psychose, esprit grégaire feraient le reste feraient le reste bien mieux qu'un texte de loi... ».

1967, la plus grande parade vaccinale jamais réalisée. « La France est plus menacée qu'un autre pays. Nous risquons à tout instant de voir surgir une épidémie. Deux modes d'action à envisager : une action par la presse, la radio et la télévision - une intervention directe auprès des associations de parents d'élèves et des collectivités de travail et de loisirs - collaboration des maires, médecins, infirmières et du corps enseignant. Les campagnes instillent culpabilité, peur et incitation à l'agressivité envers les réfractaires avec menaces à leur encontre. « ne pas vacciner son enfant, c'est exposer quelqu'un à un péril de mort, les parents peuvent être poursuivis pour non-assistance à personne en danger, la poliomyélite adulte survient de plus en plus dans les foyers où les enfants ne sont pas vaccinés, le problème de la liberté individuelle est un faux problème, un non-vacciné constitue une menace, se faire vacciner pour se protéger soi et les autres... ». Une technique commerciale habituelle : des articles bien sentis et une campagne d'affolement amène le public à désirer le produit. Le demande doit venir du consommateur. L'opinion publique et médicale est ainsi parfaitement conformée.

On remarque que ce sont souvent les mêmes noms qui figurent aux commissions, Conseil permanent d'Hygiène sociale, Académie de médecine et Institut Pasteur.

En dépit de cette réussite remarquable du conditionnement de la mentalité du public et des médecins, l'État est amené à imposer la vaccination aux citoyens par une contrainte légale. Pourquoi ?

L'obligation légale de consommation (qui n'existe que pour les vaccins) rend ces marchés très lucratifs. Aucune hésitation à tromper les parlementaires par des mensonges réitérés (le BCG a été rendu obligatoire dans de nombreux autres pays : Suède, Danemark, Hongrie, Brésil... ce qui était faux). La Sécurité sociale s'était refusé à rembourser le vaccin sous le prétexte d'offrir la même protection aux pauvres et aux riches, justifiant son refus par le fait que les cotisants payent pour se soigner et non pour réaliser une hypothétique protection. Le Parlement convaincu de la parfaite innocuité du vaccin vota donc l'obligation pour une question financière et non pour préserver la santé publique. Obligatoire, le coût de la vaccination devait être assumé par la collectivité.

Le groupe communiste précisa que cette obligation ne devait jamais devenir une contrainte. Il est évident que les réfractaires subissent pressions et excès : exclusion des écoles, des classes de neige, des terrains de sport, se voient refuser l'inscription aux examens et cours... Ils sont même passibles de lourdes amendes et de prison. Jusqu'en 1973 (décret Poniatowski) le refus de vaccination était considéré comme un délit mineur, chacun restant légitimement maître de son propre corps. L'exigence de la vaccination antivariolique à l'école fut une contrainte illégale exercée sur des générations d'écoliers. En 1950, l'étau se resserre et les certifications de contre-indication peuvent être contestées. Cette mesure visait à ôter aux milliers de médecins hostiles aux vaccins la possibilité d'exprimer leur opposition.

En 1964, les services de Santé scolaires et universitaires sont passés sous la coupe du ministre de la Santé. Les médecins n'étant pas assez chauds partisans des vaccinations et répugnaient à assurer leur mission de « flics » de santé. L'interdiction systématique de la fréquentation d'un établissement scolaire pour tout enfant non vacciné fut appliquée et même aux enfants présentant un certification de contre-indication. Les médecins qui rédigent ces certifications subissent des pressions.

Suite à l'éviction des 5 enfants Véron, la Ligue nationale pour la liberté de vaccinations fut victorieuse au tribunal de Lille en obtenant gain de cause à la liberté individuelle et médicale des Français. Aucune loi n'oblige à subir ce que l'administration se pique d'imposer, forgeant sa propre loi et se mettant dans l'illégalité. Plusieurs jugements de procès initiés par la Ligue contraignirent les inspecteurs d'Académie à respecter la loi.

Qu'en est-il d'un État dans lequel les citoyens doivent se liguer contre l'administration pour faire respecter la loi ?

Depuis l'ordonnance de 1958, « le juge des enfants a maintenant le droit d'imposer des mesures d'assistance éducative quand la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation du mineur sont compromises ».

La Ligue déclencha une campagne de protestation : « Notre but est de rappeler que le refus conscient et délibéré des vaccinations, au mépris de toutes les pressions et contraintes, est l'expression de convictions profondes issues de la connaissance des dangers qu'elle comportent et des accidents qu'elles entraînent. Aux yeux de ceux qui la refusent, la vaccination est une pollution. S'en protéger est un droit, en protéger ses enfants, un devoir. Priver le citoyen de les exercer, c'est le priver de sa liberté d'opinion et de sa liberté individuelle. La France est le seul pays d'Europe occidentale à imposer les vaccinations tandis que d'autres pays les ont abandonnées. Elle devrait être première sur le plan sanitaire, elle est en fort loin. 50% des Français échappent aux vaccinations obligatoires, la Santé publique n'est pas menacée et la loi est mauvaise et impopulaire. »

Qui sont les opposants ?

Ceux qui considèrent que les produits toxiques que nous respirons, buvons, mangeons sont filtrés par les organes naturels alors que le vaccin constitue une agression totale, irréparable et imparable. Aucun médecin ou biologiste n'est en mesure d'expliquer ce qui se passe au niveau cellulaire lors d'une vaccination. Personne ne sait ce dont il retourne. Personne ne cherche à voir plus loin que la réaction immédiate et ne se soucie de l'incidence sur les générations à venir d'une pratique dont la systématisation et l'extension n'ont jamais été aussi poussées. Aucun médecin ne pouvant garantir les bénéfices ou exclure les effets secondaires à long terme ne peut convaincre l'homme de bon sens.

Ceux qui craignent pour eux-mêmes ou leurs proches un danger car ils ont été témoins de conséquences malheureuses et d'atteintes multiples. La « coïncidence » ne tient plus pour celui qui cherche autour de lui des victimes de vaccinations. Ce sont les révoltés qui mènent leurs enfants d'hôpital en hôpital et rencontrent d'autres parents présents pour les mêmes raison.

Ceux qui sont arrivés à la conclusion que les vaccinations sont mauvaises après avoir étudié profondément la question. Savants, biologistes, médecins, parents scrupuleux, désireux de connaître précisément le risque pour leur enfant.

Ceux qui suivent un traitement médical incompatible avec la vaccination, comme l'homéopathie et préfèrent en appeler aux ressources naturelles, sous couverture médicale (l'homéopathie est une branche médicale). La médecine allopathique, bien qu'ayant droit de cité, n'est pas la seule et la plus jeune des médecines.

L'obligation vaccinale consistant à contraindre un individu, contre son gré et l'avis de son médecin, à un acte médical qu'ils estiment dangereux est une atteinte à la liberté la plus fondamentale.

Ceux qui savent qu'ils ne supportent pas les vaccins et qui connaissent les conséquences dramatiques voire funestes. Il ne suffit pas d'avoir failli mourir ou d'avoir eu des réactions très graves pour obtenir un certificat de contre-indication.

Notre société doit réaliser le problème moral, social et humain des vaccinations.

Le Conseil de l'Europe a rappelé les droits fondamentaux des malades et donc à fortiori de l'homme sain à la dignité, à l'intégrité de son être tout entier (corps et esprit), ainsi que le droit d'être complètement informé. On insiste sur la nécessité d'obtenir du patient son consentement libre et éclairé, qui sera donné après information complète et exacte des conditions et des effets d'une action proposée. La politique suivie en matière de vaccinations obligatoires est en contradiction complète avec cette éthique. Elles sont imposées impersonnellement par la loi sans autre indication médicale que l'âge de l'assujetti, non seulement l'information à leur sujet est dérisoire, non seulement les autorités refusent de se donner les moyens d'évaluer les dommages qu'elles entraînent mais leur systématisation engendre des conflits dramatiques où les droits fondamentaux et les responsabilités de l'homme sain (de corps et d'esprit) sont foulés aux pieds.

Quand on voit des exemples d'excès de zèle allant parfois jusqu'au fanatisme, on peut se demander à quels mobiles ceux qui s'y laissent aller et parfois semblent s'y complaire. L'immense majorité des exécutants sont de bonne foi mais leur aveuglement, inexcusable, leur fait perdre de vue les limites de leurs attributions et oublier le respect normalement dû à autrui.

 

Il est commode pour les partisans des vaccinations d'affirmer qu'à moins d'être médecin ou biologiste, nul n'a le droit d'émettre un avis sur le sujet même s'il les subit. Doit-on être théologien pour décider si l'on doit baptiser son enfant ou avoir faire Sciences-Po pour voter ? Pour se faire une opinion scientifique, il suffit de savoir lire. On constate des faits, des expériences depuis plus d'un siècle battent en brèche les théories pasteuriennes. Les Pasteuriens n'apportent pas la moindre explication, le moindre éclaircissement. Leur silence et leur habileté étouffent l'adversaire.

Leurs arguments / les conclusions de Fernand Delarue

1- Les vaccinations ont fait leurs preuves puisque les épidémies ont disparu grâce à elles / L'ampleur des maladies épidémiques concernées avait déjà régressé de moitié ou des trois quarts avant l'intervention des vaccinations. Aucune inflexion de la courbe n'est constatée à l'instauration de la vaccination. Les vaccinations ont commencé massivement en pleine « marée descendante ».

2- Les individus non vaccinés peuvent être porteurs de germes et disséminer la maladie. Il importe de maintenir la barrière d'immunité pour protéger la collectivité : la couverture vaccinale est efficace à 80% ou 85% de la population / aucune vaccination massive n'a pu enrayer ou empêcher une recrudescence au taux d'épidémicité quand on a vacciné à marée montante. dans les pays où le taux de vaccination est minime, les maladies régressent aussi bien qu'ailleurs, toutes choses égales par ailleurs, et on n'assiste pas au retour, inévitable affirme-t-on, des épidémies du passé. La théorie de la couverture vaccinale n'a jamais eu le moindre fondement.

L'étude de nombreuses poussées épidémiques révèle que ce sont des vaccinés qui en sont presque toujours à l'origine. Un exemple est la contamination par les virus vaccinaux des nappes phréatiques à New-York, des eaux usées de Hambourg et des mouches au Costa Rica. John Enders, Prix Nobel de médecine en 1954 lança un cri d'alarme sur la dangereuse contagion des vaccinés aux femmes enceintes pour la rubéole.

Enfin, il n'est pas inutile de rappeler qu'en médecine vétérinaire ce sont les animaux vaccinés que l'on considère comme des porteurs de germes et non le contraire. En 1971 aucun pays anglo-saxon ne conçoit la vaccination comme une politique sanitaire efficace. Le directeur général des Services vétérinaires précise qu'un bovin vacciné reste porteur du virus aphteux pendant au moins 2 ans (Ouest-France 1974).

Par ailleurs, le retour à la virulence de souches vaccinales de virus est un phénomène suffisamment connu pour que l'on puisse le considérer sérieusement. Le Dr Rendu, chef adjoint de clinique à la faculté de Lyon, rapporte que plusieurs études attestent que les vaccinations ne diminuent pas et ne peuvent pas diminuer les portages en germes chez les vaccinés.

C'est bien l'évolution du niveau de vie qui protège et non la vaccination. Les grandes maladies ont toujours connu des phases d'évolution, de périodicité et d'alternance.

Un étude exhaustive, publiée en 2000 dans la revue Pediatrics par des scientifiques du CDC et du centre John Hopkins a conclu, après avoir examiné un siècle de données médicales que la vaccination n'explique pas le déclin impressionnant de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours du XXème S. Une autre étude, celle de McKinlay et McKinlay a montré que toutes les interventions médicales (vaccins, chirurgie, antibiotiques) étaient responsables de moins de 1% et pas plus de 3,5% de la baisse spectaculaire de la mortalitéLes McKinlay avaient prévenu avec perspicacité que les profiteurs de l'establishment médical chercheraient à attribuer le mérite de la baisse de la mortalité aux vaccins afin de justifier les mesures gouvernementales servant ces produits pharmaceutiques. Kass a reconnu que les véritables héros étaient les ingénieurs qui avaient apporté les stations d'épuration des eaux usées, les chemins de fer,  les routes pour le transport alimentaire et les réfrigérateurs électriques et l'eau chlorée. (https://depeches-citoyennes.com/litteraire/anthony-fauci-bill-gates-big-pharma-par-robert-f-jr-kennedy-volet-2)

Ainsi le Pr Basser, qui n'est pas un détracteur des vaccins et croit à leur efficacité dans certains cas, demande que leur emploi soit strictement limité, en raison de la gravité des accidents et de la brièveté de l'immunité qu'ils sont susceptibles de conférer : « les vaccinations devraient être subordonnées aux circonstances ; en temps normal, ce sont des mesures d'hygiène générale que l'État doit dispenser ».

En attribuant aux vaccinations le recul des épidémies, on impose dans l'esprit du consommateur la notion de qualité des produits concernés et de leur efficacité ; en présentant les non-vaccinés comme de dangereux porteurs de germes, on culpabilise les réfractaires et on suscite contre eux l'agressivité générale ; enfin la nécessité de l'existence d'une couverture immunitaire globale justifie à la fois les obligations et la contrainte.

 

Un bienfait social ?

Que penser du fait que l'introduction systématique et obligatoire de produits dangereux dans notre sang n'ait jamais donné lieu à aucune recherche scrupuleuse, à l'établissement d'aucune statistique concernant les inconvénients ? Comment peut-on parler de bienfait quand on ignore tout de l'importance du volume des décès et des accidents à court ou long terme ?

Il y a quelques réactions spectaculaires à la suite d'une vaccination, mais elles sont en général insidieuses et se développent à bas bruit et parfois longtemps après l'inoculation. Un individu réagit à chaque vaccination mais aussi avec la totalité de son être à la totalité des vaccins qui lui sont inoculés. Le calendrier vaccinal Mérieux (1970) conseille 38 stimulations immunologiques jusqu'à l'âge de 20 ans. Réalise-t-on vraiment quelle agression cela représente pour l'organisme ?

L'immunologie a fait des pas de géant et ses découvertes confirment le caractère insensé de notre furie vaccinale. Il est établi que la stimulation dans les processus immunitaires est loin d'être sans danger. Les processus sont à l'origine de manifestations de pathologies graves complètement inconnues il y a quelques années. Dans un certain nombre de cas, c'est la réaction immunitaire déclenchée par le virus qui affecte directement la cellule. C'est alors le complexe virus+lymphocytes immunisés qui entraîne la maladie. Ce seul aspect nocif du processus de l'immunité explique les accidents rénaux, hépatiques et même vasculaires, couramment observés après vaccination, condamne la systématisation et justifie le refus de certains parents.

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Dans « La rançon des vaccinations », les rapports entre vaccination et leucémie ou cancer sont mis en lumière. La stimulation répétée et intense des éléments lymphoïdes peut aboutir à un réveil de virus latents. Pourtant on sait fort bien que tout virus « atténué » est capable de revenir à une virulence normale. Ce que la science découvre peu à peu au sujet des vaccinations est infiniment plus préoccupant que la description des accidents visibles et évidents qui les suivent immédiatement.

À l'état naturel, les virus vivent en équilibre écologique et entrent souvent en compétition. La vaccination trouble cet équilibre, en augmentant la virulence de certains, le rendant pathogène alors qu'il était tout à fait asymptomatique. (Les virus Echo et Coxsackie ont pris une importance nouvelle avec la vaccination contre la poliomyélite).

Il est impossible d'être sûr de la composition d'un vaccin, au sens de sa contamination par des agents étrangers. La plupart des vaccins fabriqués avant 1960 le virus simien SV40 et ce, à l'insu de tous. De même avec le virus de la leucose aviaire, cela contamina la plupart des vaccins jusqu'en 1962. Ce virus cause leucémie et autres maladies malignes chez les poules. Chez l'homme ? Quand on pense que des vaccins contaminés ont été administrés à des millions de personnes, on a de quoi remettre en question les certitudes affichées par les producteurs.

Chaque auteur est persuadé que les accidents sont rarissimes mais personne ne songe à rassembler l'ensemble des observations exceptionnelles pour en esquisser un panorama général. Personne ne se livre à des enquêtes systématiques pour évaluer l'impact réel de ces « bavures ».

Les défenseurs des vaccinations opposent souvent la faiblesse numérique pour minimiser les accidents mais comment parler de faiblesse lorsque l'on ne recherche pas à comptabiliser les cas ?

Dès 1922, des observations furent rapportées de leucémie imputables à la vaccination antivariolique, confirmées en 1947 puis 1955.

Que penser des vaccinations par milliards, rendues obligatoires, sans savoir exactement comment réagissent les organismes dans l'intimité de la cellule ? Cette attitude paraît légère et préoccupante si, à défaut de preuves formelles établissant l'existence d'un rapport de cause à effet entre les vaccins et la cancérisation, l'on considère le faisceau de présomptions concomitantes qui en suggère la réalité.

Houston, 1970 : non seulement l'apparition de la tumeur peut être différée et tardive mais le cancer peut apparaître sur une des générations suivantes. L'infarctus vaccinal doit être considéré comme un risque possible dans le cas de vaccinations répétées et peu espacées (vaccinations réalisées aux armées).

Combien de retards dans le développement physique et intellectuel des enfants, combien de troubles caractériels, d'inadaptations sont à mettre au passif des vaccinations ? Bien des enseignants et de nombreuses mamans constatent l'effondrement de bons élèves juste après une vaccination. Rakte a étudié l'encéphalogramme de 58 enfants sains venant de subir leur première vaccination. Pour 4 d'entre eux, les changement furent constatés. Lorenzoni constata la même chose sur 30 adultes sur 108. 55% des vaccinés contre la poliomyélite présentent des altérations microscopiques et biochimiques des liquides baignant le cerveau.

Le Dr Kalmar (vaccinations et troubles caractériels, 1967) met en garde concernant l'altération du pouvoir de concentration et du pouvoir critique tandis que l'émotivité et l'anxiété sont accentués. Le comportement est-il influencé au point de préparer des générations de gens amorphes, atones, craintifs ?

Le Pr de Long signala des altérations génétiques constatées dans le sperme ou l'œuf. Les virus utilisés dans le vaccin vivant anti-rougeole causent de nombreuses maladies dans les chromosomes des cellules humaines. La vaccination engage non seulement l'avenir de chacun d'entre nous, mais celui de nos enfants et de leurs descendants.

À Hambourg, Ehrengut et ses collaborateurs exploitèrent les dossiers des enfants hospitalisés afin de comparer le risque de la vaccination de la coqueluche. Ils démontrèrent qu'il se produit une crise de convulsion pour 2 300 vaccinations et une perturbation durable sur la santé pour 22 500 vaccinations. Les atteintes dues à la coqueluche sont inférieures.

Pourquoi le public ou les médecins ne sont-ils pas informés ?

Il ne sert à rien de multiplier les quêtes publiques, les recherches sur le cancer et les instituts pour handicapés si l'on n'arrête pas, à la source les causes de l'extension des fléaux qui nous frappent.

 

Conclusion

Il sera sans doute difficile de se libérer du conditionnement résultant de l'intoxication psychologique. L'individu de bon sens et de bonne foi se posera des questions sur l'opportunité de poursuivre les vaccinations systématiques. L'évidence s'impose de la nécessité urgente de réviser nos habitudes vaccinales et la prise de conscience du caractère légitime du refus des obligations dans ce domaine.

Nous avons assisté à la mise en place d'une politique qui a pris l'allure d'un « dirigisme ». Ceux qui contraignent ont la certitude de posséder la vérité. Or, cette notion est étrangère à la médecine, art dont les données changent constamment. La médecine n'est pas codifiable en lois et décrets.

L'individu est dépossédé de sa responsabilité en matière de santé. Une politique de santé fondée sur les vaccins peut constituer un alibi permettent d'esquiver les problèmes réels.

Notre air, notre eau, nos aliments sont pollués par des éléments chimiques cancérigènes. cela émeut moins la population dans la mesure où chacun espère qu'un vaccin anti-cancer sera bientôt trouvé.

Le vacciné est content car il se croit protégé. Les pouvoirs publics et partis politiques sont contents car ils font du social et ont la conscience tranquille à bon compte. Les producteurs, vendeurs et distributeurs sont contents parce qu'ils font des affaires.

Ainsi la grande machine continue-t-elle à tourner sans que la responsabilité des conditions socio-économiques favorisant les maladies ne soit impliquée. La vaccination, dans laquelle sont engloutis des milliards est offerte gracieusement.

Il faut prendre conscience du rôle doublement néfaste de l'intoxication vaccinale. Elle nous berce d'illusions, inhibe nos réflexes de méfiance et de prudence et nous dépossède de notre corps en même temps qu'elle aliène nos esprits. Elle nous détourne de la recherche et de la mise en œuvre d'une autre politique de prévention et augmente ainsi les conséquences préjudiciables de la pratique vaccinale au niveau de la santé publique.

 


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